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  • Bernard Jean 20 h 42 mi le 31 October 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , plastiques,   

    Pollution des mers avec les plastiques 


    Selon le capitaine Charles Moore : « les océans sont devenus une véritable soupe de plastique ».
    La zone la plus polluée est au niveau du tourbillon du Pacifique nord surnommé la grande plaque de déchets du Pacifique qui à elle seule représente la moitié des déchets plastiques des océans.

    http://www.dailymotion.com/embed/video/xjhvtx

     
  • Bernard Jean 9 h 24 mi le 28 April 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , ,   

    Attention, un deuxième Fukushima n’est pas exclu 


    Six semaines après le séisme et le tsunami qui ont causé un grave accident à la centrale nucléaire de Fukushima, le climat au Japon semble être à l’union nationale pour la reconstruction et la reprise du travail.

    Les grands médias japonais ont pris l’initiative de cette mobilisation et dénoncent, dans le même temps, le gouvernement et Tepco, l’exploitant de la centrale. Mais que faisaient-ils jusqu’à la veille de l’accident ? La publicité est leur ressource financière principale et les entreprises d’électricité ainsi que les constructeurs des centrales sont une bonne clientèle. Par ailleurs, de grands quotidiens ont mis à la « une » la communication ministérielle qui expliquait la nécessité et la sûreté de l’énergie nucléaire. Au Japon, pour parler du nucléaire civil (à l’opposé du nucléaire militaire), on a inventé l’expression d' »utilisation du nucléaire pour la paix », que la presse n’a cessé de reprendre.

    Mais le pays n’affronte pas le problème fondamental, qui est de savoir pourquoi les Japonais ont construit, depuis quarante-cinq ans, plus de 50 réacteurs nucléaires, sans prendre en compte les failles sismiques sous-marines de l’Archipel ?

    Les Japonais ne peuvent pas s’excuser de n’avoir pas su. Le Japon n’est pas un régime soviétique, ni une dictature, mais un pays qui a des institutions démocratiques, des élections et une presse libres. Fukushima n’est pas le premier accident nucléaire. Des citoyens et des scientifiques ont tiré la sonnette d’alarme à maintes reprises, sans être écoutés. Dans ce pays où règnent l’ordre et le conformisme, les minorités ont du mal à se faire entendre. Les Japonais, dans leur majorité, ont cru volontiers les discours officiels sur la nécessité et l’avantage de l’énergie nucléaire parfaitement maîtrisée.

    Alors que faire des centrales qui sont en activité dans le pays ? Le Japon est situé au carrefour de trois grandes plaques tectoniques et, étant donné le manque de compétences et de crédibilité des autorités nucléaires japonaises, la probabilité d’un deuxième et d’un troisième Fukushima n’est pas impensable. Et le problème n’est plus seulement japonais : notre planète vit avec des bombes à retardement.

    Malgré les circonstances, la priorité du Japon est de rétablir son économie. Le PDG de Toyota, Akio Toyoda, a évoqué, devant ses employés, la nécessité de« travailler aussi dur que possible pour reconstruire le pays et soutenir la croissance » (Le Monde du 8 avril). Si l’accord est unanime pour reprendre le travail, le débat sur la sortie du nucléaire n’est pas visible : c’est précisément d’électricité qu’on manque le plus pour redémarrer la production.

    Suicide collectif

    Depuis le séisme, en France, on applaudit souvent la « dignité » des Japonais, qui se remettent au travail sans pleurer ni se plaindre ; autrement dit, cette « dignité » est à la fois une résignation (puisque c’est une catastrophe naturelle inévitable) et un effort collectif pour rebondir. Le système japonais qui cherche la croissance illimitée ne respecte pas les droits de la personne et il se moque éperdument de la planète. Le pouvoir est entre les mains de menteurs incompétents et irresponsables. C’est le résultat de soixante-cinq ans de démocratie japonaise.

    Le Japon est incapable de se regarder objectivement et de changer de l’intérieur. En outre, depuis le début de l’accident, l’énorme écart entre les informations étrangères et les informations japonaises est plus que choquant.

    Comme le Japon ne peut pas et ne veut pas changer de l’intérieur, il faudrait que s’exerce une pression de la communauté internationale pour que le Japon n’entraîner toute l’humanité dans un suicide collectif. Certains de mes amis français me disent que les Japonais ne sont pas seuls en cause. C’est vrai, mais cela n’excuse pas les erreurs humaines impardonnables. Et comme le Japon n’est pas le seul pays nucléarisé, la question se pose pour bien d’autres Etats.

    Les autorités politiques et industrielles internationales, la France en tête, qui sont impliquées dans le nucléaire, ont de bonnes raisons pour soutenir les centrales et admirer la « dignité » japonaise. Les citoyens du monde devraient, eux, tirer des leçons de cet accident honteux.

    Miho Matsunuma, historienne de la France contemporaine, maître de conférences à l’université de Gunma, à Maebashi (Japon)

    Article paru dans l’édition du 28.04.11

    Origine de l’article >>>

     
    • voiture occasion 5 h 58 mi le 9 novembre 2011 Permalien | Réponse

      Une triple catastrophe horrible. A ce moment la, j’ai vraiment cru que le sort s’acharnait… Des conséquences écologique, économiques et humaines bien lourdes pour une fichu centrale nucléaire.

  • Bernard Jean 21 h 46 mi le 5 November 2010 Permalien | Réponse
    Tags : Adam. Ève, , , , pranique   

    Adam et Ève, hypothèse sur la nourriture 


    Adam est, dans la Genèse, le premier homme et le compagnon d’Ève. Il mourut à l’âge de 930 ans (Genèse : 5-5). Tandis que l’Église catholique continue d’enseigner officiellement l’existence d’un premier homme, Adam, la plupart des scientifiques soutiennent que la théorie de l’évolution invaliderait la possibilité de l’existence d’un premier homme.

    Or, Dieu avait interdit la consommation du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, mais le Serpent (Nahash en hébreu) tenta Ève qui mangea du fruit défendu et en donna à Adam qui en mangea à son tour. L’origine du péché originel est cette faute commise par ces premiers humains, faute qui cause leur expulsion de l’Éden.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Adam

    Derrière ce récit, se cache sans doute une information importante. Je lance une hypothèse. Il apparaît maintenant clairement que l’Homme peut vivre sans manger et sans boire (voir le dossier sur l’alimentation pranique). Si le fait de manger de la nourriture terrestre (viandes, fruits, céréales …) avait simplement fait baisser le taux vibratoire de l’homme alors qu’au départ il avait été conçu pour vivre simplement de prana et d’énergie solaire.

    Le fait de manger a modifié son mécanisme et l’a de ce fait obligé à trouver de la nourriture (chasse, cueillette). Tous les problèmes sur Terre viennent du besoin de l’homme de se nourrir et de sa peur de la famine et de manquer de nourriture. Sur les images nous voyons Adam et Ève avec une pomme et une feuille de vigne. Je pense que la pomme symbolise la nourriture terrestre et la feuille de vigne l’obligation de trouver des vêtements du fait du changement de fonctionnement. Le corps devenant sensible au froid et n’ayant pas la protection des animaux il était impératif pour l’Homme de trouver des grottes, des peaux en fourrure, pour se protéger.

    Si au départ l’Homme est dans une alimentation pranique, nous pouvons imaginer un taux vibratoire assez haut et il est possible qu’à cette époque l’homme était moins dense, moins prisonnier de la matière. Manger use le corps qui se comporte comme une usine pour traiter la nourriture et évacuer les déchets. Le fait de manger de la matière l’a rendu plus dense, cela a fait baisser son taux vibratoire. De ce fait il a été coupé des contacts avec des Êtres moins denses, les Êtres éthériques, les Êtres invisibles qui sont souvent nommés gnomes, fées, lutins, plan angélique, extra-terrestres …

    Nous constatons depuis quelques années une augmentation du taux vibratoire de la Terre. Il y a 20 ans le taux était de 6 500 UB (Unité Bovis), il est actuellement de 14 000 UB. Donc naturellement le taux vibratoire des hommes remontent même s’ils se nourrissent de nourriture vivante. Il est surprenant de voir par contre que dans le même temps la nourriture proposée aux Hommes devient de moins en moins vivante comme pour les empêcher d’évoluer et sortir du piège en place depuis des millénaires. Un américain mange en quantité trois fois plus qu’un habitant de Thaïlande, il n’est pas plus vivant pour autant, et sans doute en moins bonne santé.

    La pomme de Ève est assimilée au péché original, ce qui fait l’affaire de la religion pour rendre l’homme coupable et le manipuler. Mais derrière cette pomme il y a simplement l’indication que l’Homme peut reprendre sa liberté en supprimant tout simplement la nourriture.

    Nous pouvons très bien imaginer la Terre et les Hommes qui ne mangent plus. Plus d’agriculture, plus d’élevage, les terres redeviennent sauvages, les animaux ne sont plus chassés, les poissons ne sont plus pêchés. Le temps passé à travailler est réduit. La famine n’existe plus, les maladies provenant de la nourriture sont supprimées. Son taux vibratoire élevé lui permet d’entrer en contact directement avec des civilisations lointaines. La pollution de l’eau et des terres disparaissent.

    Nous pouvons imaginer que l’avenir de l’Homme sur cette Terre passe par la nourriture pranique et par la suppression de la nourriture terrestre. Nous pouvons imaginer qu’en étant dépendant de la nourriture et de l’eau nous devenons fragiles, manipulables et des esclaves faciles pour ceux qui dirigent le monde.

    Reprendre son pouvoir et sa liberté passent sans aucun doute par la nourriture pranique.

    Bernard Jean

    http://respirationconsciente.wordpress.com/

     
    • Mébahiah 9 h 09 mi le 26 novembre 2010 Permalien | Réponse

      Mmmm, tout cela résonne en moi.
      Je trouve  » triste » de se retrouver autour d’une table pour manger.
      Pour se remplir?
      Nous avons tellemnt d’autres chose à partager. Nous-mêmes déjà.
      Se remplir donc il y a vide.
      Les arguments avancés pour me convaincre du genre
      « Le tour de table est le symbole de la famille »
       » Se nourrire c’est rendre hommage à la terre »
      Pour moi c’est BOF!!
      En tous les cas la lecture de ce texte, m’est  » agréable »
      Belle journée ensoleillée, enneigée à l’auteur.

    • roger 12 h 51 mi le 7 février 2011 Permalien | Réponse

      bonjour ,

      voici mon raisonnement à propos de l’alimentation pranique : dans le bouddhisme pour trouver l’ame ,on divise le corps à l’infini sans jamais rien trouver de concret ,cela rejoint la théorie quantique qui dit que plus on décompose le corps en particules , plus on se dirige vers l’infini et on ne parvient pas à prouver l’existence du corps de manière matérielle.
      donc , vouloir à tout prix nourrir un corps qui n’existe pas avec de la nourriture de la meme veine ,me parait absolument incompréhensible.
      pour moi prendre directement son énergie par la respiration et la lumière est tout à fait réaliste.
      mais nous avons tous baigné depuis notre plus tendre enfance dans la soupe aux « concepts et aux dogmes » dévoyés par l’homme pour servir des intérets aussi vils qu’inutiles.
      il suffit pour s’en convaincre d’observer les réactions de ma famille lorsque je prends mon repas du matin presque exclusivement composé de fruits

      merci pour toutes vos informations qui nous sortent de ce monde aux vues étriquées et à la pensée unique.

      au plaisir d’un autre commentaire

      roger

  • Bernard Jean 12 h 13 mi le 7 October 2010 Permalien | Réponse
    Tags : automne,   

    L’eau 


    Le moment présent (l’automne au bord du lac)

     
  • Bernard Jean 12 h 04 mi le 1 October 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , ,   

    L’alimentation pranique, un chemin d’exception 


    (MISE EN GARDE : Cet article n’est pas une invitation à pratiquer l’alimentation pranique tout azimut. Par contre, les personnes intéressées y trouveront des références pertinentes pour approfondir le sujet et contacter des ressources avisées.)

    Si on s’intéresse à l’alimentation vivante, inévitablement à un moment ou l’autre de notre démarche, on sera interpellé par l’alimentation pranique. Dans cette perspective toute particulière de la nutrition devenue explicitement spirituelle, l’expression bien connue « vivre pour manger ou manger pour vivre » pourra s’adjoindre une troisième alternative : manger en toute conscience pour Être.

    Qu’est-ce que l’alimentation pranique?

    Selon les Upanishads -écritures anciennes de l’Inde, le prana (terme sanskrit) est une énergie vitale universelle qui imprègne tout et que les êtres vivants absorbent par l’air qu’ils respirent. Voilà, tout serait donc déjà dit : l’alimentation pranique, c’est se nourrir de prana !

    L’alimentation pranique, ce n’est donc pas ne pas manger, c’est bien plutôt manger du prana, beaucoup de prana, en toute conscience.

    L’inconscience humaine
    Selon Reine Claire Lussier, pionnière de l’alimentation vivante au Québec (et ailleurs, car dans ce domaine les pionniers sont rares), la mécanique biologique maintient l’être humain dans un état d’inconscience. C’est-à-dire que n’étant pas « maître de sa matière » (l’expression est de R-C), l’humain peut s’accommoder de vivre en mode réflexe sa vie durant. On sait que notre organisme opère principalement par automatismes, les systèmes nerveux sympathique et parasympathique étant responsables des fonctions essentielles du corps : digestion, pulsations cardiaque, respiration, etc. Pour les adhérents à l’Âge du Verseau, l’humain est un être de lumière expérimentant la vie terrestre dans un corps de chair. À cette enseigne, son objectif est de maîtriser SA propre matière. C’est-à-dire spiritualiser son enveloppe physique à l’instar, peut-on dire, du créateur virtuose qui transmute littéralement la substance de son environnement : matériaux, sons, saveur, vibrations visuelles,… en chef-d’œuvres!

    Transformer son code biologique
    Pour vivre de prana, il faut d’abord réussir à transformer son code biologique (les fonctions digestives à tout le moins) en code pranique (la capacité d’extraire sa vitalité, dans le sens littéral du terme, de l’air ambiant). C’est quand même pas de la tarte! Là aussi, il faut être…virtuose. Maintenant, vivre de prana n’équivaut pas, selon Reine Claire, à arrêter de manger. C’est une conséquence possible. Hum, cette distinction a son importance, car la valeur de la démarche est transposée sur la conscience à acquérir vis-à-vis la nourriture -qu’elle soit dense avec les aliments physiques ou éthérée avec le prana, plutôt que sur le fait de ne plus manger. Le but recherché à travers l’alimentation pranique est donc de mettre de la conscience dans SA matière. Le chef-d’œuvre à réaliser, c’est soi-même! À l’instar de certains yogis qui possèdent la maîtrise de leur respiration et peuvent conséquemment réaliser des prodiges : longévité inhabituelle, insensibilité à la douleur, don d’ubiquité, etc, les adeptes de l’alimentation pranique réalisent ce qui nous semble aussi un phénomène improbable : ne plus manger.

    C’est-tu vrai ?
    Les adeptes de l’alimentation pranique sont désignés par les termes respirien, inédien ou pranien. S’ils ne sont pas légion, leur existence, même rarissime, s’impose à notre intérêt tel un formidable manifeste quant aux capacités de l’être humain.

    L’histoire officielle, mais surtout officieuse, nous signale au-delà d’une vingtaine de cas hypothétiques. Parmi les plus référencés dans notre culture judéo-chrétienne, signalons la française Marthe Robin qui a vécu sans nourriture pendant 50 ans et mourut en 1981 à 78 ans et Thérèse Neuman, cette allemande qui pendant près de 40 ans se nourrit exclusivement d’hosties humectées d’eau jusqu’à son décès à 69 ans. Actuellement, un ascète Hindou du nom de Prahladbhai Maganlal Jani anime le débat: il s’alimenterait de prana depuis 69 ans. Il aurait aujourd’hui 81 ans. En 2003, ce dernier a accepté de participer à une étude scientifique menée à l’hôpital Sterling d’Ahmedabad (état du Gujarat, Inde), sous surveillance vidéo constante. Plus récemment, en avril 2010, le même ascète s’est soumis à une autre étude, et ce encore pendant une dizaine de jours sans manger ni boire. Si la science n’a pas voulu valider l’expérience, faute d’un protocole considéré inattaquable, ce type de démonstration « alimente » assurément l’énigme des respiriens.


    Plus près de nous, d’autres personnes, apparemment saines de corps et d’esprit, jeunes et moins jeunes, confient leur cheminement d’exception sur Internet. Pour l’instant, il faut les croire sur parole. À cet égard, signalons l’athlète américain Jericho Sunfire (http://www.youtube.com/watch?v=ER7bmUSwsUI), la française Isabelle Hercelin (http://www.senourrirdelumiere.wordpress.com ) , le shaman Henri Monfort (http://www.wideo.fr/video/iLyROoafJK_K.html ), Ellen Greve alias Jasmuheen, la plus connue et assurément la plus décriée des respiriens http://www.jasmuheen.com et enfin la québécoise Reine-Claire Lussier par qui nous avons été sensibilisée à ce type d’alimentation http://www.ecole-de-vie-consciente.com. Marie-France Bernard responsable à « Conférences Québec » présente ainsi ses récentes allocutions:

    Se nourrir de Prana, Mythe ou Réalité ?

    «Tout être humain qui s’éveille à sa potentialité peut devenir autonome et s’affranchir des lois terrestres. C’est là le destin de l’humain : maîtriser totalement sa matière. Le corps humain est conçu pour vivre uniquement de l’énergie divine.» (Les Guides)

    Reine-Claire a transformé sa mécanique biologique en mécanique pranique. En toute simplicité et transparence, elle nous livre son expérience de cette troublante mais fascinante déprogrammation cellulaire. En nous décrivant ses peurs, ses résistances, ses recommencements, sa constance à poursuivre son objectif de maîtriser sa matière humaine, elle nous apprivoise et nous invite sur un chemin nouveau : celui de dépasser sans cesse ses limites et de s’harmoniser avec l’appel de son âme.

    Voir aussi le courageux livre de Reine-Claire et de son conjoint Gaal, Transparence II paru aux Éditions Ariane. Un journal de bord intime sur leurs aventures, si je peux me permettre, avec le prana.

    Dans cet article-ci, je m’inspire d’ailleurs largement de l’expérience de Reine-Claire.

    Alimentation pranique, mode d’emploi
    L’être humain s’alimente d’eau, de nourriture végétale et, selon le cas, de chair animale. Il se nourrit aussi de façon réflexe par tous les pores de sa peau grâce aux rayons du soleil et à l’air. Ce dernier élément également inhalé par ses poumons, une bonne dizaine de fois par minute. Ainsi, c’est d’abord l’air qui «nourrit» le corps de façon essentielle. Toutefois, pour la plupart des gens, manger renverra naturellement aux trois repas quotidiens. Alors, l’idée demeurera toujours : On mange sinon on ne mange pas. Ce n’est toutefois pas si simple.

    Sur la base de certaines expériences partagées (on est quand même en pleine « terra incognita »), on apprend que le processus de transformation du code biologique vers le code pranique se déroule –habituellement- par étape. Nous ne parlons pas ici de jeûner, car c’est une autre histoire. Nous en parlerons plus loin. Je laisse la parole à YV, l’auteur d’un site dédié http://www.pranique.com/

    Au sujet de la purification des corps physique, mental, émotionnel et spirituel par la maîtrise de l’alimentation, il semble qu’il y ait un parcours classique d’étapes, mais néanmoins toujours individualisé et personnel.

    […]

    Carnivore-omnivore→Végétarien (c’est moi qui ajoute ces étapes préliminaires potentielles)

    végétalisme/frugivorisme → élimination des feuilles, tiges, racines et tubercules amène au fruganisme → diminution drastique des fruits graines et de la majeure partie du cuit amène au fruitarisme/fructivorisme → élimination des fruits-graines comme les noix et les graines de tournesol (alimentation concentrée) amène au paradisianisme ou pulpivorisme ou fruitarisme/fructivorisme sans graines → phénomènes mystiques et/ou besoin de manger encore plus léger amène au liquidarisme → un passage difficile et inconfortable de 3 semaines à un mois en sevrage radical, ou bien progressivement en diminuant les repas jusqu’à ne plus prendre qu’un repas de jus de fruit par semaine sans perdre trop de poids amène à l’aquavorisme → curiosité et besoin de cohérence pousse à réduire aussi l’eau et amène au respirianisme […]

    […]Il est dit qu’il faut environ un an pour consolider chaque étape de ce parcours, au moins jusqu’à l’aquavorisme, pour se sevrer de tout aliment sauf l’eau, soit 5 ans.

    Ça peut paraître un peu compliqué, mais on comprend l’idée générale : on ne passe pas du steak au poivre au respirianisme. Reine-Claire, quant à elle, parle de sa démarche avec simplicité. D’omnivore-carnivore gourmande à végétarienne (cette étape initiée au début de la trentaine), elle est passée à l’alimentation vivante inspirée par une guidance intérieure, développant peu à peu son intérêt et ses connaissances de ce régime, pour finalement commencer à intégrer l’alimentation pranique en l’an 2000. Aujourd’hui son corps est ajusté à la mécanique pranique, elle peut ou non manger matériel à sa convenance. Elle confiera «partager» occasionnellement un repas avec son conjoint, au même titre qu’une autre activité comme aller au cinéma.  Depuis 10 ans, elle s’est prêtée à beaucoup d’expériences de transmutation cellulaire et après quelques mois à se nourrir presqu’exclusivement de prana, elle a adopté de façon définitive le morceau de pain quotidien qu’elle ajoute à ses repas de prana, avec beaucoup d’eau.

    L’importance du prana

    Tout est constitué de prana : vous, moi, la planète et tout ce qu’elle contient. Alors, la pomme ou la pizza, ou encore la boîte qui la recouvre, c’est seulement une question de quantité de prana. Quand on parle d’assimilation, autrement dit de transmutation alimentaire, il faut se rappeler que les aliments cuits fournissent peu de prana. Ils sont dévitalisés. Certains diront plus carrément, ils sont morts, car il ne reste aucun enzyme suite à leur cuisson au-delà de 104F. Quant à manger du carton… Enzymes = prana ? Un peu, oui. L’alimentation vivante ayant conservée ses enzymes contient de ce fait plus de prana. C’est le prana qui véritablement nourrit notre organisme, que l’on soit conscient ou non de son action subtile.

    L’alimentation pranique engage la conscience de l’action du prana et son utilisation optimale dans notre organisme.

    Lorsqu’on mange des aliments matériels, du plus dense au plus éthéré (viande, aliments cuits, aliments crus, liquides, eau), notre système digestif doit travailler en proportion afin d’en extraire le prana. Plus l’aliment est dévitalisé, plus le corps travaille laborieusement et plus la quantité est au rendez-vous dans notre assiette. On mange trop? Oui, car on mange vide. Le corps a faim, non pas de quantité, mais de qualité…Il a besoin de prana! Il est reconnu que les adeptes de l’alimentation vivante ont moins besoin de manger que ceux qui mangent cuit. Bon, je viens de prêcher pour ma paroisse.

    Nourrir les trois corps

    Manger pranique touche directement les trois corps suivants : physique, émotionnel et mental. Curieusement, on s’attendrait à ce que ce soit le corps physique qui se rebelle. Eh bien non, Reine Claire souligne que ce sont nos émotions et notre mental qui font le plus sérieusement obstruction à cette démarche. Le corps, au contraire, serait ravi de notre décision, quand elle est vraiment prise.

    En supposant qu’on désire s’initier à l’alimentation pranique, comment doit-on s’y prendre, en gros?
    Je précise bien EN GROS, car ce n’est surtout pas un mode d’emploi à l’aveugle… D’abord, lâcher prise à la performance. On n’y arrive pas avec son ego. Maintenir son régime alimentaire habituel. Si on aime la viande, on mangera de la viande. Si on est végétalien convaincu, on poursuivra sur cet élan. Même chose si on est un adepte de l’alimentation vivante. On part d’où l’on est; le prana fait le reste. C’est-à-dire? La première et la plus importante chose à faire, en fait la seule, c’est d’intégrer la conscience que c’est le prana et seulement le prana contenu dans l’aliment ingéré qui nourrit. On intériorisera cette idée de « manger » du prana avant le repas. On peut bien sûr faire l’« exercice » plus souvent, tout le temps. C’est encore mieux, car plus on « assimilera » le concept, plus on expérimentera véritablement ses effets dans notre corps, lequel va commencer à nous parler… En clair, il va peu à peu nous donner le goût du prana et donc, si on parle de nourriture matérielle, d’une alimentation de plus en plus vivante. Parallèlement, et conséquemment, on aura moins d’élan, et finalement plus d’élan du tout, pour la nourriture cuite. Éventuellement, constatant que notre corps se nourrit parfaitement de prana (attention, il y a des paramètres précis pour le vérifier), on décidera de ne plus manger de nourriture matérielle, car devenue superflue. La démarche, dans sa totalité, peut prendre un temps variable. On parle habituellement d’années. Mais comme le but, vous vous rappelez, n’est pas d’arrêter de manger, mais de mettre de la conscience dans notre matière, on suivra donc son bonhomme de chemin sans se soucier de la destination.

    Dans le cadre de ses conférences, Reine-Claire propose quelques fois à la curiosité de son auditoire quelques trucs pour « déjouer la révolte de la matière » pendant la « difficile » période du sevrage. Là, c’est presque rigolo de voir comment le corps fonctionne à l’automatique. Mais bon, ce n’est pas le propos de cet article d’aller dans le détail du pratico pratique. Je soulignerai cependant l’importance de l’eau à cette étape. Plusieurs litres (5-6) seraient requis en période de sevrage. L’eau est un remarquable véhicule (homéopathie) de l’information. Selon Reine-Claire, pas besoin d’appareils sophistiqués pour hausser ses fréquences. Il suffit de mettre notre eau de boisson (verre ou pichet) à hauteur du cœur et de formuler en conscience notre intention. On peut faire de même avec la nourriture, et ce en toute discrétion en mettant nos mains de chaque côté de notre assiette ou en inclinant le torse (ici c’est le chakra du cœur qui est sollicité) vers celle-ci.

    Enfin, ceux qui sont sérieusement intéressés par la démarche de l’alimentation pranique seront bien avisés de se faire accompagner adéquatement sur ce chemin d’exception, potentiellement dangereux s’il est vécu dans l’ignorance de tous ses aboutissants.

    Se nourrir de prana, ce n’est pas jeûner

    Venons-en au jeûne. On peut survivre, selon les conditions, une semaine (certains même pas 3 jours) sans boire et un mois sans manger, plus longtemps pour  les constitutions solides. Alors, comment fait-on pour vivre sans manger des années durant? Voilà ce que j’en comprends : Quand on jeûne, on envoi aux cellules du corps le message suivant : « Prends ton mal en patience cocotte, on va re-manger bientôt » ou alors « C’est bien dommage, mais si on ne mange pas bientôt, on va mourir mon coco! ». L’un comme dans l’autre, le corps est en attente ou en panique et « gruge » dans la matière biologique. Les résultats peuvent être favorables si on sait contrôler l’expérience ou (c’est bien ça) mortels si ça dure trop longtemps. Par contre, quand on a vraiment transmuté son code biologique en code pranique, le corps a définitivement « compris » qu’il peut non seulement survivre, mais vivre de prana. Il a également admis que le prana vital peut être ingéré à partir de l’air ambiant. On est alors devenu un mutant, une mutante. Cool. On dirait de la science fiction.

    Mais pourquoi arrêter de manger? C’est si bon maman!

    À partir du moment où j’accepte que je puisse effectivement modifier ma mécanique biologique et vivre de prana, je calme mon corps mental. Quand j’ai enfin vérifié dans ma chair que je peux vivre de prana, j’ai définitivement rassuré le corps mental. La mécanique pranique est installée. Mon corps physique, lui, sait dès le départ qu’il peut réaliser ce prodige. Par contre, personne ne peut m’enlever les mémoires agréables que j’associe au fait de manger. Eh oui, manger est un plaisir (surtout dans notre société) même s’il s’évalue inégalement sur l’échelle du bien-être selon les individus et le moment. Le corps émotif résiste à ce qu’il considère comme une abomination : ne plus manger. Vivre de prana est donc une démarche extraordinaire qui ne rencontrera, éventuellement, la complicité des trois corps que très progressivement. Alors pourquoi se donnerait-on le défi inconcevable pour la plupart de ne plus manger? Pour devenir le maître de sa matière, lancerait assûrément une Reine-Claire triomphante; pour goûter la légèreté intrinsèque d’un corps libéré des contingences de la digestion (un immense travail au quotidien), pour l’éclatant regain d’énergie qui s’en suit, pour la diminution de nos besoins en sommeil (un p’tit 4 heures de sommeil, super), pour l’expansion de nos facultés intellectuelles et parapsychiques et, plus pragmatiquement, pour épargner tout le temps et l’argent qui sont liés au fait de manger, au niveau individuel et, imaginez la merveille, au niveau planétaire…

    Mettre du prana dans mon assiette et dans ma vie

    En conclusion, si vous êtes comme moi,  ben tiens, nous sommes les plus nombreux à cette étape, vous serez plutôt interpellés par le projet de mettre davantage de prana dans votre assiette, c’est-à-dire tout en continuant de manger. En premier lieu, en ce qui me concerne, à travers les bienfaits reconnue de l’alimentation vivante et aussi l’incorporation consciente du prana. Mon programme est simple. C’est d’ailleurs une des convictions que partage volontiers Reine Claire Lussier : plus c’est simple, plus c’est efficace! Alors quoi? Manger vivant en conscientisant l’importance du prana dans ma nourriture. Parallèlement, respirer le prana dans l’air ambiant, le plus souvent et particulièrement quand je suis en nature, en méditation, au lever et au coucher. Boire plus d’eau, une eau programmée par mes soins à ma fréquence lumineuse, celle de mon âme. Et puis laisser vivre tout ça dans mon corps, dans la Joie.

    Voilà, j’espère que cette incursion sommaire dans le monde de l’alimentation pranique vous aura inspiré le meilleur pour votre cheminement personnel. Toutefois si jamais vous êtes de ceux qui sont interpellés plus radicalement par la démarche, n’hésitez pas à contacter des personnes ressources compétentes. Au Québec, Reine-Claire Lussier http://www.ecole-de-vie-consciente.com

    Bon prana!

    Publié par Sylvie Alice Royer http://www.vertparnature.blogspot.com



     
    • bisson veroniqueb 13 h 27 mi le 9 décembre 2010 Permalien | Réponse

      bonsoir , je souhaiterai connaitre des personnes respiriennes . Pouvez-vous SVP m’aider ?

  • Bernard Jean 13 h 13 mi le 13 September 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , épuration, , lagunage   

    Le lagunage ou la phytoépuration 


    Le lagunage est une technique naturelle d’épuration des eaux basée sur la déseutrophisation. Il s’inspire des systèmes naturels d’épuration et filtration par des micro-organismes, des algues et des plantes aquatiques. Parfois, on fait aussi ruisseler l’eau au travers des racines de plantations d’arbres, éventuellement des saules traités en taillis coupés en courte rotation (Taillis à courte rotation). Origine du texte >>>

    Description

    Le lagunage consiste à établir un écoulement lent par gravité des eaux usées dans plusieurs bassins de rétention peu profonds en éliminant le risque d’infiltration dans les eaux souterraines.

    L’eau usée arrive d’abord dans les prétraitements : dégraisseurs, déshuileurs, dessableurs, etc. qui, comme leur noms l’indiquent, sont chargés d’éliminer les particules solides et les graisses.

    Les premiers bassins sont des bassins à micro-organisme, où est dégradée la matière organique (MO) contenue dans les eaux usées. L’eau transite ensuite dans des bassins moins profonds, à macrophytes (iris, roseaux, joncs…). Ceux-ci absorbent les éléments minéraux issus de la dégradation de la matière organique pour leur croissance.

    Cette technique présente la caractéristique de nécessiter une surface importante, entre 15 et 20 m² pour un volume de 50 m³ d’eau, voilà pourquoi on lui attribue la propriété extensive. Le temps de séjour doit être élevé (minimum 30 jours, voire plus). Les boues se concentrant sur le fond et intervenant dans la biologie du système ne doivent être évacuées qu’après quelques 5 à 10 années.

    Les lagunes de terre, pourvues de talus ayant une pente d’un tiers. Si une protection contre l’infiltration dans les eaux souterraines est nécessaire, les fonds et les remblais doivent être colmatés. Elles sont généralement rectangulaires.

    L’eau qui sort de ce système est conforme aux normes de la directive 91-271 du 21 mai 1999 concernant les paramètres d’épuration : DCO, DBO, MeS, Pt, Nk…

    Entretien

    Pour éviter toute contamination de l’eau, il faut faucarder les macrophytes chaque année, en automne. C’est l’un des principaux poste d’entretien des stations de lagunage. Les autres sont : un curage tous les 5 à 10 ans, un nettoyage hebdomadaire des pré-traitements, une tonte régulière des abords, et une surveillance hebdomadaire de l’ensemble de la station.

     
  • Bernard Jean 17 h 38 mi le 5 September 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , , toilette sèche   

    Toilettes sèches en Suède 


    Afin de limiter les consommations en eau, la commune de Tanum (12.000 habitants), en Suède, a interdit depuis janvier 2002, l’installation de toilettes classiques dans la commune. Pour les nouvelles constructions et rénovations, il y a obligation d’opter soit pour des toilettes sèches, soit pour des toilettes à séparation urine-matière fécale.
    Depuis 3 ans, des centaines de maisons sont désormais équipées par ces nouveaux WC respectueux de l’environnement, ainsi que la bibliothèque municipale et le lycée local. Ceux qui ont des toilettes à séparation voient leurs urines collectées par des agriculteurs qui l’utilisent ensuite comme engrais. La matière solide est soit évacuée, soit compostée. D’autres villes de Suède sont actuellement en train d’étudier une réglementation similaire.

    Les toilettes sèches c’est quoi ? Le principe est simple. Une toilette sèche se différencie d’une toilette à chasse d’eau par le simple fait qu’elle n’utilise pas d’eau. A la place, on recouvre les déjections d’une litière sèche généralement carbonée. Tout ce qui est disponible localement convient : sciure de bois, copeaux, paille ou foin séché et broyé, chanvre en paillettes, balle d’avoine… On les appelle aussi toilettes à compost car on valorise ensuite le potentiel fertilisant des urines et des matières fécales. La présence d’une base carbonée comme la sciure évite le développement d’odeurs désagréables. Certains esprits inventifs vont même jusqu’à connecter la prise d’air de leur VMC sur le réceptacle de la toilette sèche, assurant ainsi l’assèchement partiel des matières et permettant de diminuer le nombre de manipulations pour évacuer le mélange fèces + copeaux.

    Une chasse d’eau consomme de 1.5 l (cas rare mode économique sur toilette très économique) à 12 l pour une chasse d’eau « normale » d’une toilette « gaspi ».

    Un minimum de 8 m3 d’eau par an et par habitant dans nos toilettes. En prenant pour hypothèse raisonnable trois chasses d’eau par jour (2 chasses d’eau de 6 l correspondant à la chasse d’eau « économique » d’une toilette normale et une chasse d’eau de 10 l) et par habitant, la généralisation des toilettes sèches permettrait une économie de 22 litres d’eau par jour et par habitant soit 8 m3 d’eau par an par habitant, (32 m3 pour une famille de 4 personnes).

    Outre que les toilettes sèches permettent de diminuer de manière importante la consommation d’eau, en diminuant les rejets vers les stations d’épuration, les toilettes sèches permettent d’améliorer la qualité d’épuration des eaux (moins de matière organique dans les eaux à épurer = meilleure qualité des eaux épurées). Dans l’idéal, seules les eaux grises devraient être traitées en station d’épuration à défaut d’un traitement individuel. Et la production de compost chez les particuliers disposant d’un jardin diminuerait l’utilisation des engrais, tout en amendant les sols.

    Actuellement les toilettes sèches concernent environ 1500 foyers en France, à comparer aux 30 millions d’habitations, il nous reste une marge de progression importante et si, faute d’eau en quantité suffisante, 80% des toilettes sont sèches dans le monde, certains pays ‘développés’ (riches) sont nettement en avance sur nous. En Suède, la commune de Tanum (12000 habitants) a interdit depuis Janvier 2002 l’installation de toilettes classiques dans la commune pour les nouvelles constructions et les rénovations. Depuis 3 ans, des centaines de maisons sont équipées de ces nouveaux WC respectueux de l’environnement, ainsi que la bibliothèque municipale et le lycée local. D’autres villes de Suède sont actuellement en train d’étudier une règlementation similaire. A noter que le premier congrès sur les toilettes sèches s’est tenu en 2003 à Stockholm, la capitale suédoise.

    De plus, il est parfaitement possible de coupler les toilettes sèches avec le lombricompostage, les lombrics assurant un compostage rapide (quelques semaines) et une neutralisation des éléments pathogènes. Les streptocoques et staphylocoques passant par le système digestif d’un lombric sont éliminés. L’utilisation du compost sans phase exothermique (la réaction de production de chaleur que l’on retrouve dans les tas de fumier ou dans les tas de tontes d’herbe et qui permet une pasteurisation du compost avec élimination des germes) est alors possible.

    Cas particulier des toilettes sèches en France

    Les toilettes sèches enfin légales !
    Petit extrait du journal officiel du 9 octobre 2009

    Par dérogation à l’article 3, les toilettes dites sèches (sans apport d’eau de dilution ou de transport) sont autorisées, à la condition qu’elles ne génèrent aucune nuisance pour le voisinage ni rejet liquide en dehors de la parcelle, ni pollution des eaux superficielles ou souterraines.

    Les toilettes sèches sont mises en œuvre :

    • soit pour traiter en commun les urines et les fèces. Dans ce cas, ils sont mélangés à un matériau organique pour produire un compost ;
    • soit pour traiter les fèces par séchage. Dans ce cas, les urines doivent rejoindre la filière de traitement prévue pour les eaux ménagères, conforme aux dispositions des articles 6 et 7.

    Les toilettes sèches sont composées d’une cuve étanche recevant les fèces ou les urines.
    La cuve est régulièrement vidée sur une aire étanche conçue de façon
    à éviter tout écoulement et à l’abri des intempéries.
    Les sous-produits issus de l’utilisation de toilettes sèches doivent être valorisés
    sur la parcelle et ne générer aucune nuisance pour le voisinage, ni pollution.

    Sciures de bois

    Toilette séche

    Ustensiles en acier inoxydable

    Composteur


     
    • martini sylvie 0 h 51 mi le 29 août 2013 Permalien | Réponse

      bonjour, que devient le papier WC? des amis ont installé ce type de toilettes , ils mettent le papier Wc dans le poêle (qui se trouve dans la cuisine et qui ne brûle pas en permanence), comment désinfecter la cuvette? eau et eau de javel font-ils bon ménage avec cette technique? merci!

  • Bernard Jean 12 h 08 mi le 15 May 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , rêve, voyages   

    Vivre son rêve, au lieu de rêver sa Vie 


    «Il ne faut pas être quelqu’un de spécial pour réaliser quelque chose d’incroyable, il faut juste avoir un rêve, y croire, et travailler dur pour cela», a dit la jeune navigatrice, expliquant qu’elle avait prouvé qu’on peut tout faire si «on programme son cerveau, tout est possible».

    Jessica Watson (16 ans)

    Une adolescente australienne, Jessica Watson, a bouclé samedi son tour du monde en solitaire à la voile, sans escale et sans assistance, entrant dans l’histoire comme la plus jeune navigatrice ayant réussi un tel exploit.

    Après 210 jours en mer et avec un mois d’avance sur le programme, Jessica Watson, 16 ans, a franchi la ligne d’arrivée sous les hourras, à l’entrée du port de Sydney, peu avant 14H00 (04H00 GMT).

    Voir son site : ICI >>

     
  • Bernard Jean 16 h 18 mi le 16 February 2010 Permalien | Réponse
    Tags : adobe, , , , ,   

    La moitié des maisons dans le monde sont en terre 


    La terre est une matière première ! L’homme l’utilise comme matériau depuis des millénaires pour construire des maisons, même en France. Boudée depuis l’arrivée de son proche cousin le béton, dans les années 50, elle revient au goût du jour. Ses atouts écologiques et esthétiques attirent en effet les architectes contemporains.

    Construire une maison en terre ? A l’encontre des idées reçues, ce système de construction est possible pratiquement partout. La moitié de la population mondiale vit dans une habitation en terre crue et non en béton. Ces bâtiments sont écologiques et quasiment inusables : certains sont encore debout après des millénaires. Alors, la terre, une ressource pleine d’avenir ?

    Demain, bâtir avec des grains

    La terre possède une caractéristique unique : elle peut être mise en œuvre de façons très diverses. Torchis, pisé, adobe et bauge en sont quatre exemples, utilisés traditionnellement en France et dans le monde entier. En occident émergent aujourd’hui des filières industrielles de construction en terre, car ce matériau durable séduit architectes et éco-constructeurs.

    Un mur en terre est un assemblage de grains, d’eau… et d’air. Ces trois éléments doivent rester en équilibre pour que la construction tienne.

    Certaines habitations en terre dépassent les 8 étages et certaines ont plus de 7000 ans. La terre ne s’use pas, ne rouille pas.

    Pour ceux qui souhaitent avoir des informations sur les constructions des maisons en terre, il y a une exposition en France à Paris du 6 octobre 2009 à juin 2010.

    Une collaboration Cité des sciences / CRAterre – ENSAG

    Première exposition de cette ampleur sur le sujet, « Ma Terre première » pour construire demain dévoile tout le potentiel de cette matière granulaire sous quatre angles : géologique, physique, architectural et artistique.

    En collaboration avec CRAterre – ENSAG, la Cité des sciences et de l’industrie propose au public de redécouvrir les vertus de la terre, matière prometteuse à la fois traditionnelle et innovante, du 6 octobre 2009 à juin 2010.

    Cité des sciences et de l’industrie
    30 Avenue Corentin Cariou, 75019 Paris.
    Ouvert du mardi au samedi de 10h à 18h et le dimanche de 10h à 19h.

    CRATerre ENSAG, créé en 1979, est un laboratoire de recherche et une équipe d’enseignement de l’Ecole d’Architecture de Grenoble, soutenu par la région Rhône-Alpes et habilité depuis 1986 par la Direction de l’Architecture et du Patrimoine du ministère de la Culture et de la Communication. :

    http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/expositions/ma-terre-premiere/?skip=1

    Préparer sa visite :
    http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/expositions/ma-terre-premiere/decouvrir.php

    La terre est faite de grains :
    http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/expositions/ma-terre-premiere/decouvrir/terre/edito.php


    Les habitations « EcoDome » ICI >>

     
  • Bernard Jean 16 h 08 mi le 6 February 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , maigrir, poids, ,   

    Perdre du poids en respirant mieux 


    Le miracle de l’oxygénation : augmentez de 70% votre perte de poids

    Les chercheurs de l’Université de Los Angeles ont eu de la difficulté à croire les résultats de leurs études : des séances de respirations complètes procurent une perte calorique de 140% supérieure à celle obtenue lors d’une randonnée de vingt minutes à bicyclette. Ces résultats semblaient incroyables mais sont bien réels.
    Les scientifiques ont défini plusieurs explications pour expliquer ces résultats extraordinaires.

    Pourquoi respirons-nous mal?

    La conclusion globale est que la grande majorité de la population actuelle est en manque chronique d’oxygène et cela pour différentes raisons :

    • Le taux global d’oxygène disponible dans l’atmosphère a considérablement diminué au cours des dernières années. La pollution et le réchauffement climatique sont les principaux responsables d’une baisse de .002% d’oxygène dans l’atmosphère. Un chiffre qui semble insignifiant, mais qui accumulé sur plusieurs années représente un impact non négligeable.
    • Le stress chronique vécu dans la vie moderne réduit l’amplitude respiratoire. Plus de 90% de la population, particulièrement dans le monde occidental, adopte une respiration courte et limitée à la partie supérieure du thorax.

    Quel est le rôle de la respiration dans la perte de poids?

    1- L’oxygène favorise l’absorption des nutriments stimulants le métabolisme.

    De nombreux éléments nutritifs sont nécessaires pour stimuler le métabolisme. Ces nutriments sont absorbés au niveau des villosités de la paroi intestinale. Pour que cette absorption se fasse de façon optimale, une grande quantité d’oxygène est requise au niveau des cellules intestinales. Si l’oxygène n’est pas présent en quantité suffisante, il peut y avoir une perte d’absorption allant jusqu’à 70%, entraînant un ralentissement proportionnel du métabolisme. Dès que la quantité d’oxygène disponible augmente, il s’ensuit une augmentation importante du métabolisme, ce qui signifie plus de gras brûlés et éliminés.

    2- L’oxygène favorise la combustion des gras.

    L’oxygène alcalinise le liquide cellulaire, une qualité essentielle à la transformation de nutriments en ATP (adénosine triphosphate) un carburant essentiel à la production d’énergie. Les profondes respirations augmentent donc la production d’ATP et favorisent l’élimination des gras suite à la production d’énergie.

    3- L’oxygène élimine les toxines qui favorisent l’engraissement.

    L’élimination rapide des toxines et résidus de la pollution présents dans l’organisme, est importante pour favoriser la perte de poids. Lorsque ces produits se retrouvent en trop grande quantité dans le système sanguin, ils ralentissent le fonctionnement de certaines glandes, comme la thyroïde et les surrénales. Le corps a tendance à fabriquer plus de gras pour emprisonner les éléments toxiques et protéger ces organes vitaux. Heureusement, plus de 70% de ces éléments toxiques peuvent être transformés en gaz par l’organisme et être éliminés par les poumons lors de profondes respirations.

    4- Les corps gras se combinent à l’oxygène pour être éliminés lors de la respiration.

    Cependant, aussi incroyable que cela paraisse, et selon une étude de l’Institut Boulder du Colorado, la plupart d’entre nous n’utilisons que 25% de notre capacité respiratoire! Ce simple fait suffit à rendre difficile toute perte de poids et à réduire les kilos pouvant être perdus. Le simple fait de passer d’une respiration limitée à une respiration complète, permet de doubler la quantité de gras oxydés et brûler lors de la respiration.

    5- L’oxygène réduit le niveau de stress et diminue la production d’hormones favorisant l’accumulation de corps gras dans l’organisme.

    Lorsque le taux d’oxygène sanguin est élevé, il y a une grande sensation de calme, les hormones du stress sont neutralisées, le pancréas produit moins d’insuline, une des hormones favorisant le stockage des graisses.

    Comment pratiquer la respiration complète?

    Avec un peu de pratique il est très facile de pratiquer une séance de respiration complète. Une séance de 5 minutes, 3 ou 4 fois par jour, est amplement suffisante pour obtenir des résultats. En fait la pratique volontaire de ce genre de respiration va provoquer une modification inconsciente de votre façon de respirer. Avec le temps et la pratique, votre respiration habituelle deviendra plus ample, plus souple, plus complète, votre taux d’oxygénation augmentera considérablement.

     
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