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  • Bernard Jean 9 h 38 mi le 23 March 2014 Permalien | Réponse
    Tags : nourriture,   

    Le glutamate lié aux douleurs chroniques 


    « Que ton aliment soit ta première médecine ».

    Ce conseil d’Hippocrate (460-356 avant J.-C.), père de la médecine moderne, n’a jamais perdu de sa pertinence.

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    D’abord un neurotransmetteur naturel associé à l’apprentissage et la mémoire, le glutamate se retrouve aussi dans la nourriture que l’on consomme. En trop grande quantité, peut-il causer des douleurs chroniques? Lire la suite…

     
  • Bernard Jean 2 h 06 mi le 14 March 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , monsanto, nourriture,   

    Le film complet de 2 heures: Notre poison quotidien de Marie-Monique Robin 


    Origine de cet article >>> ICI

    Certains le savaient déja ce reportage doit être diffusé le 15 mars 2011 sur Arte. Je vous le partage en avance, profitez en et faites le tourner!

    Après «Le monde selon Monsanto», la journaliste Marie-Monique Robin présente un film sur les produits chimiques présents dans nos aliments…

    Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage est de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?

    De la Mutualité sociale agricole (MSA) à l’OMS (Organisation mondiale de la santé), Marie-Monique Robin a recueilli les témoignages de tous les experts impliqués dans le système de règlementation, la recherche ou l’utilisation des produits chimiques. Et les a mis face à leurs contradictions: les décisions de l’OMS basées sur des études confidentielles fournies par les industriels, l’Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) qui emploie des experts également salariés dans des entreprises utilisant des produits chimiques,  les listes de produits cancérigènes du Circ (Centre international de recherche sur le cancer) qui ne correspondent pas aux conclusions de certains de leurs rapports…

    «La littérature scientifique est polluée par des études faites sur mesure pour l’industrie», dénonce Marie-Monique Robin. Et lorsque les autorités, Efsa ou OMS, tentent de fixer des limites de consommation des produits chimiques, « doses journalières admissibles » ou «limites maximales de résidus», la complexité de la tâche les transforme en «acrobates des limites»: «Nous sommes dans une société du risque où nous acceptons des effets collatéraux au nom du progrès», analyse Marie-Monique Robin.

    Alors que l’OMS a qualifié d’«épidémie» l’augmentation du nombre de cancers dans les pays développés depuis une trentaine d’années, Marie-Monique Robin veut démontrer qu’il n’est plus possible aujourd’hui de dire que les produits chimiques présents dans l’alimentation n’y sont pas liés. En prenant notamment pour preuve les agriculteurs, victimes «à la source» des produits phytosanitaires, qui sont de plus en plus nombreux à affirmer que les cancers ou les maladies neuro-dégénératives dont ils sont victimes sont causées par les pesticides.

    Liens pour Le monde selon Monsanto:

    http://cequevousdevezsavoir.wordpress.com/2010/11/04/le-monde-selon-monsanto-une-enquete-de-arte-a-voir-absolument/
    http://s0.videopress.com/player.swf?v=1.02

    Le film complet de 2 heures ici >>>

    Lorsqu’on lance une vidéo tout devient blanc, c’est normal, ça peut durer 15 à 30 secondes et la vidéo commençera. Il faut simplement patienter un peu, ces vidéos font entre 700Mo à 900Mo, alors c’est normal.

    Erreur
    Cette vidéo est suspendue pour violation des Conditions d’Utilisation

    À la fin du film il est dit que ton aliment soit ta médecine et ta médecine ton aliment.

    Une citation populaire d’Hyppocrate qui est la base d’une vie en santé. Manger est un besoin fondamentale. Nous devons redéfinir nos valeurs alimentaires. Revenir à l’essentiel. Dicter au compagnies ce que l’on veut voir et ce que l’on ne veut pas voir sur les tablettes des épiceries.

    Le pouvoir citoyens est bien plus grand que l’on peut penser.

    L’histoire l’a démontré à plusieurs reprises. Si nous arrêtons tous d’acheter leur produits empoisonnés ils n’auront pas d’autres choix que de se plier à nos exigeances alimentaires, sinon il est clair qu’ils fermeront boutique asser rapidement.

    Manger bio coute il vraiment plus cher?

    Non, car lorsqu’on mange bio on ne gaspille plus et on achète que ce que l’on a vraiment besoin. De plus lorsqu’on le fait pour les bonnes raisons et bien de nouvelles valeurs s’installent petit à petit dans notre vie. Faites le test. Sinon et bien acceptez les conséquences et ne pointez pas du doigt les industriels, lorsque nous acceptons de vivre dans un système basé sur le capitalisme et le consumérisme il ne faut pas s’étonner de tout cela.

    Vous savez que la tentation vient de la publicité qui vous lave le cerveau à votre insu, et bien débarassez vous de votre téléviseur et revenez à l’éssentiel.

    Êtes vous forcé de manger des OGM, des pesticides, de boire des sodas légers ou standards à haute teneur en glucose-fructose? Êtes vous forcé de fumer un paquet de cigarettes par semaine? Êtes vous forcé de manger du McDonald? Quelqu’un vous a t’il empêché de regarder ce documentaire de Marie-Monique Robin?

    Vous connaissez la réponse et comme vous savez très bien que vous n’êtes pas forcé, demandez vous, qui est le monstre?

    Mais là encore, je sais très bien que beaucoup regarderont ce documentaire sans changer leur habitudes car cela est un trop gros « sacrifice ». Si votre santé et le respect de l’environnement ne compte pas pour vous et bien faites le pour la force du nombre. C’est la seule façon que nous avons pour faire changer les choses. Il est utopique de penser que des systèmes régulés par les gouvernements ou bien régulés par des membres ayant des intérêts avec les corporations qui nous ont déja trahi de nombreuses fois dans le passé, changeront leur fusil d’épaule du jour au lendemain. Devenons des consommateurs responsables et avisés. Cherchons la vérité et diffusons cette information pour le bien de tous.

    Origine de cet article >>> ICI

     
    • roger 5 h 36 mi le 14 mars 2011 Permalien | Réponse

      bonjour bernard,

      j’adhère de nouveau à cette manière de concevoir la vie.

      après plusieurs tentatives de sensibilisation au sujet du « déraillement » de l’espèce humaine ,dans ma famille , je pense etre arrivé à un résultat.
      mais comme je l’ai écrit dans un autre commentaire ,la révolte doit etre « soft ».
      j’ai commencé par changer moi-meme et évidemment les questions de mes proches ont fusé immédiatement :pourquoi tu ne manges presque plus de viande ,pourquoi tu manges autant de fruits ,de légumes ,bref autant de pourquoi que de changements.
      et cela a porté ses fruits , car de manière douce , la petite graine a commencé à germer dans leur cerveau : et s’il avait raison , t’as vu la forma qu’il a , il pète le feu pour ses 55 balais.
      et petit à petit , ils ont commencé à m’imiter de manière cool.
      je pense que c’est la meilleure méthode et quand je compare mon caddie à la sortie du magasin avec celui des autres clients et ben : y a pas photos , des fruits , des légumes , des bons produits équitables , bref un maximum de choses bonnes pour la santé et choisies avec soin. Ma compagne en est extrèmement fière.

      à bientot

      roger ( spécimen protégé en voie de disparition)

  • Bernard Jean 21 h 55 mi le 20 February 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , , nourriture   

    Les causes de la mort des abeilles 


    Origine du document >>> ICI

    Quelques notions pour comprendre le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles ou CCD

    Quelques chiffres:
    Depuis 4 ans, en Europe et aux États-Unis, les apiculteurs ont perdu jusqu’à 80 % de leurs cheptels.
    En 2007, le taux de ruches abandonnées
    atteignait 80 % dans les régions les plus touchés.
    En Europe, de nombreux pays ont
    annoncé des pertes importantes
    dès l’an 2000. Dans les ruchers les plus touchés, jusqu’à 90 % des abeilles sont supposées mortes, car non rentrées à la ruche.
    En France, entre 1995 et 2005, les
    pertes de ruches ont été jusqu’à 400 000 par an sur 1 350 000 ruches !
    1500 apiculteurs ont dû cesser leur activité.

    Le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles ou CCD (pour « Colony Collapse Disorder») décrit le fait que des abeilles domestiques, à n’importe quelle époque (hors hiver où la ruche est en quasi-sommeil) ne rentrent pas dans leur ruche et «disparaissent» massivement (aucun cadavre dans la ruche ou à proximité). Les pertes sont brutales : une colonie entière peut disparaître en une seule nuit. Curieusement, la reine abandonnée semble en bonne santé et souvent continue à pondre, alors qu’il n’y a plus assez d’ouvrières pour s’occuper du couvain. Les quelques abeilles restées à la ruche (de jeunes adultes) semblent manquer d’appétit et la production de miel chute fortement. Source Wikipedia

    Plusieurs causes possibles :

    Les produits chimiques

    On a découvert jusqu’à 170 produits chimiques différents dans les ruches de colonies malades et de colonies saines.

    Certains échantillons de pollen dans les alvéoles en contiennent jusqu’à 35 types! Bien qu’aucun produit chimique à lui seul ne semble être la cause du syndrome, les pesticides affaibliraient les abeilles. Ainsi, de nouveaux pesticides appelés néonicotinoïdes sont suspectés d’avoir un effet imprévu sur leur capacité à s’orienter et à mémoriser leur chemin. Sans cette mémoire, l’abeille ne peut pas rentrer à la ruche, et la colonie dans son ensemble risque de s’effondrer.

    La France est le 1er utilisateur européen de pesticides, avec 70 000 à 120 000 tonnes utilisées chaque année. Au niveau mondial, elle se place au 3ème rang après les USA et le Japon !

    Le Varroa

    Le Varroa, et particulièrement le Varroa destructor, est un acarien présent chez l’abeille domestique. Il les affaiblit et propage des infections virales. Véhiculé sur tous les continents (sauf l’Australie) par des transferts d’abeilles reproductrices ou de ruches, il reste une des causes initiales ou partielles possibles.

    Des parasites

    Des champignons tels que le Nosema Ceranae et Nosema apis infectent les abeilles en envahissant leur tube digestif et provoquant une dysenterie. Mais l’infection est trop faible pour être mortelle à elle seule.

    Le virus israélien de la paralysie aiguë

    Avec ce virus, l’abeille est prise de tremblement, puis de paralysie. En général, elle meurt à l’entrée de la ruche. Les symptômes sont donc différents de celui du CCD, mais le virus est présent dans la plupart des colonies malades.

    L’agriculture intensive

    Des apiculteurs spécialisés dans la pollinisation à échelle industrielle font voyager leurs abeilles sur des dizaines de milliers de kilomètres pour polliniser d’immenses zones de monocultures (amandiers de Californie par exemple). Ces déplacements incessants provoquent stress, désorientation, infections et détruisent les notions d’espace et de saisons. Cette agriculture intensive réduisant la variété et le nombre des fleurs, les abeilles souffrent également de déséquilibre alimentaire. En 2005, cette « économie mondiale de la pollinisation » a été évalué à plus de 153 milliards d’euros.

    Quelques liens :
    Apiwiki : l’encyclopédie Apicole
    La Cité des Sciences : des pages sur le CDD

     
  • Bernard Jean 1 h 05 mi le 12 February 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , , nourriture,   

    Manger local, même l’hiver à Québec 


    Origine du texte>>> ICI

    Manger local en hiver à Québec? C’est possible… en partie. Et c’est ce que favorise le Marché de solidarité régionale de Québec, qui, de six producteurs à sa création en 2007, est passé à une trentaine qui offrent quelques centaines de produits même au coeur de janvier.

    Des légumes de conservation comme les racines, du chou, des courges, des légumineuses, des viandes biologiques variées, des oeufs, du miel, des petits fruits congelés, des pousses germées, des tisanes, des produits transformés, l’éventail est somme toute assez large pour une saison où la terre a cessé de produire.

    Au-delà des étals, c’est toutefois une philosophie bien particulière de l’alimentation qu’offre ce projet issu d’une initiative des Amis de la Terre.

    Comptant sur une seule employée et une kyrielle de bénévoles, le Marché de solidarité régionale se veut une façon originale de rapprocher les producteurs des consommateurs. Son critère de base : la proximité. Ceux qui l’approvisionnent viennent de Québec et des alentours. Les clients passent leur commande par Internet et bénéficient de deux périodes dans la semaine pour en prendre livraison. Contrairement à d’autres formules de paniers, ce sont donc eux qui choisissent ce qu’ils veulent, à la fréquence qui leur convient, sans obligation d’achat.

    Les produits offerts ne sont pas nécessairement biologiques, mais ils répondent tous à des critères de production ou de transformation respectueux de l’environnement, dit la coordonnatrice Annick Béland-Morin.

    Les producteurs «sont souvent des gens impliqués dans leur communauté, qui encouragent eux aussi l’achat local». Ils sont pour la plupart trop petits pour se payer un kiosque dans un marché. Au moins 80 % d’entre eux comptent sur un revenu d’appoint pour vivre.

    Histoire de donner une idée juste de la valeur réelle des productions, la facture remise aux clients indique le montant remis aux fournisseurs séparément du 15 % que prend le Marché pour assumer ses propres coûts.

    Au fil de l’année, diverses activités permettent aussi de les rencontrer : visite ou corvée à la ferme, BBQ, dégustations…

    Solidarité

    Toute cette démarche a pour but de susciter une prise de conscience par rapport aux denrées que nous consommons, et de permettre aux citoyens de poser un geste de solidarité envers les agriculteurs, explique la porte-parole.

    «C’est une illusion de croire qu’au Québec on va sauver l’agriculture avec la distribution de masse.» Notre système de mise en marché est l’un des plus concentrés au monde, et les produits locaux n’y trouvent une place que pourvu qu’ils soient compétitifs. On l’a vu l’an dernier lorsque les fraises de Californie sont restées dans les étalages à côté de celles du Québec, illustre la jeune femme.

    L’enjeu majeur du projet est sa rentabilité. Pour cela, il lui faut grossir encore, tant du côté de ceux qui le fournissent que des adhérents. Ceux-ci sont présentement entre 300 et 500, pour environ 150 acheteurs chaque semaine. Pas question par contre de devenir gigantesque, histoire de maintenir le lien entre acheteurs et vendeurs. «On préfère laisser la place à d’autres projets», de conclure Annick Béland-Morin.

    En plus du 15 % ajouté à la facture, le Marché demande 20 $ par année en frais d’inscription. Le point de chute pour prendre livraison des commandes est le Centre Frédéric-Back, 870, avenue De Salaberry. Les commandes se font par Internet entre le vendredi et le lundi soir, et sont récupérées les mercredis ou jeudis en fin de journée. Le paiement se fait sur place. Pour plus d’information, voir le site http://www.atmsrq.org.

    Source : Le Soleil le 23 janvier 2011 : http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/201101/22/01-4362843-manger-local-meme-lhiver.php

     
  • Bernard Jean 13 h 18 mi le 5 February 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , nourriture,   

    Les semences 


    Le gouvernement français missionne le représentant du lobby semencier pour supprimer les droits des agriculteurs sur leurs semences

    Communiqué de presse – 2 fév 2011

    C’est avec stupéfaction que la Confédération Paysanne a découvert que le gouvernement a désigné le représentant du GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences) pour défendre la position française sur les droits des agriculteurs lors de la prochaine réunion du Traité international sur les semences.

    Un point important de l’ordre du jour de la quatrième session de l’Organe Directeur du Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture qui se tiendra en Indonésie du 14 au 18 Mars prochain est l’application des droits des agriculteurs sur leurs semences, définis aux articles 6 et 9 du Traité. Pour défendre la position française sur cette question précise des droits des agriculteurs, le gouvernement français a osé désigner… le directeur des relations extérieures du GNIS :

    • qui réclame à corps et à cris le paiement par les agriculteurs qui réutilisent leurs semences de ferme d’une Contribution Volontaire Obligatoire reversée directement, pour 85% de son montant, à l’industrie semencière,
    • qui poursuit en justice les agriculteurs qui reproduisent des semences de ferme des dernières variétés protégées par une loi française qui les interdisait, mais n’est presque plus utilisée depuis l’adoption en 1994 d’un règlement européen qui les autorise,
    • et qui envoie ses contrôleurs à la poursuite des agriculteurs qui conservent, utilisent, échangent ou vendent leurs semences de ferme.

    Les industriels des semences ne supportent pas que les agriculteurs puissent bénéficier, tout comme eux et en toute légalité, du « privilège du sélectionneur » d’utiliser les variétés disponibles sur le marché pour sélectionner leurs propres variétés et d’échanger leurs semences dans le but de les sélectionner et de les conserver.

    La reproduction, la sélection et la gestion dynamique des semences à la ferme sont pourtant aujourd’hui les compléments indispensables à la production de semences par la filière industrielle. En effet, seule l’adaptation locale des variétés cultivées permet de diminuer significativement ou d’abandonner l’usage des engrais et pesticides chimiques qui empoisonnent la santé et l’environnement et de rendre aux plantes la plasticité indispensable à leur adaptation aux changements climatiques de plus en plus importants et imprévisibles. La filière semencière industrielle ne peut pas et ne pourra jamais amortir la sélection et la multiplication de petits lots de semences adaptés à chaque terroir, seuls les paysans peuvent faire ce travail par multiplications successives dans leurs champs. Mais ils ne peuvent pas le faire si on leur interdit de ressemer et d’échanger leurs semences et si on les oblige de devenir totalement dépendant d’une poignée de multinationales productrices d’OGM.

    Les droits des agriculteurs de conserver, d’utiliser, d’échanger et de vendre leurs semences de ferme sont l’indispensable pilier de toute politique agricole durable préservant la santé, l’environnement et la souveraineté alimentaire. C’est pourquoi la Confédération Paysanne demande au gouvernement français d’engager une concertation avec les agriculteurs qui renouvellent et conservent la biodiversité cultivée avant de désigner, pour défendre sa position sur les droits des agriculteurs, un représentant des intérêts de l’ensemble de la population et non le représentant d’un lobby industriel qui milite pour leur suppression.

    Origine du texte >>> ICI

     
  • Bernard Jean 12 h 39 mi le 12 January 2011 Permalien | Réponse
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    Pour préserver la planète, l’homme devra modifier son alimentation 


    LEMONDE.FR avec AFP | 12.01.11 |

    "Dès que le régime alimentaire est caractérisé par une forte part de calories animales, la pression sur les ressources naturelles est beaucoup plus importante", notent des chercheurs de l'INRA.

    « Dès que le régime alimentaire est caractérisé par une forte part de calories animales, la pression sur les ressources naturelles est beaucoup plus importante », notent des chercheurs de l’INRA.AFP/JUNG YEON-JE

    Selon un rapport présenté mercredi 12 janvier par des chercheurs français, les pays riches devront mettre moins de viande dans leur assiette et en finir avec le gâchis pour nourrir neuf milliards d’individus en 2050, tout en préservant les ressources de la planète.

    Examinant la question de la subsistance alimentaire des êtres humains à l’horizon 2050, le rapport « Agrimonde », fruit de travaux lancés en 2006, répond par deux scénarios : l’un privilégie le bien-être immédiat et l’autre, le développement durable. Et ce dernier suppose « une vraie rupture », souligne cette étude réalisée par l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad).

    « Evidemment, ce n’est pas parce que je vais moins manger que quelqu’un du Sahel va mieux manger », nuance Sandrine Paillard, responsable de l’unité prospective de l’INRA. « Mais il est clair que si toute la planète mange comme on mange, et notamment autant de viande, la pression sur les ressources naturelles ne sera pas tenable ». En moyenne, un individu a à sa disposition 3 000 kilocalories par jour. Mais les disparités sont fortes : on atteint les 4 000 dans les pays riches de l’OCDE, et même 4 500 aux Etats-Unis, contre seulement 2 300 en Afrique sub-saharienne.

    DIMINUER LA CONSOMMATION DE VIANDE

    Dans le scénario axé sur le développement durable, les chercheurs estiment que les 3 000 kilocalories quotidiennes doivent être réparties de façon plus équitable dans le monde. Un postulat qui permet de « ne pas augmenter la pression sur les ressources naturelles par rapport à aujourd’hui ». Pour les pays du Nord, cela impliquerait de réduire la disponibilité en calories de 25 %. « Ce qui est assez énorme », commente Sandrine Paillard.

    Les moyens d’y parvenir sont multiples et impliquent toute le chaîne de production et de consommation. D’abord, il s’agit de réduire « les pertes à la consommation » qui peuvent s’élever jusqu’à 30 % dans les pays riches. Dans la ligne de mire : le gaspillage, notamment celui causé par les aliments jetés après la date de consommation optimale, souvent confondue avec la date de péremption.« L’industrie agroalimentaire aussi se protège, les dates de péremption ne reflètent pas forcément la réalité de la sécurité des aliments », avance la chercheuse.

    Ce scénario suppose également des politiques de santé publique « plus ambitieuses » pour lutter contre la suralimentation et les maladies associées, écrit le rapport. En 2003, 1,3 milliard d’adultes dans le monde étaient en surpoids, dont 400 millions d’obèses. Il ne s’agit donc pas seulement de moins manger mais de manger différemment, et notamment de limiter la viande : la production de ruminants a augmenté de 40 % entre 1970 et 1995. Le scénario durable suppose que la part des calories végétales représente 2 500 kilocalories sur les 3 000 journaliers.

    « Dès que le régime alimentaire est caractérisé par une forte part de calories animales, la pression sur les ressources naturelles est beaucoup plus importante », rappelle Mme Paillard. Pour l’eau par exemple, le rapport souligne que, quand 100 litres d’eau sont nécessaires pour produire un kilo de pommes de terre, la quantité s’élève à 13 000 litres pour un kilo de viande de bœuf.

    Une partie des efforts pourrait être faite sans s’en rendre compte. En 2050, les plus de 60 ans représenteront 20 % de la population, contre 10 % aujourd’hui. « Les besoins caloriques de ces personnes étant moindres, le vieillissement de la population mondiale pourrait aussi contribuer à rendre plausible la diminution des consommations alimentaires moyennes dans les pays riches », écrit le rapport.

     
  • Bernard Jean 11 h 13 mi le 5 January 2011 Permalien | Réponse
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    Le nouveau film « lumière » sur le respiranisme 


    Un film de : Peter-Arthur Straubinger. Sortie le 15 décembre 2010

    Peut-on survivre sans prendre de nourriture ni d’eau pendant des semaines, des années voire des décennies? La plupart des gens, scientifiques ou spécialistes répondront spontanément : c’est impossible ! Mais comment réagiront ces mêmes scientifiques et spécialistes lorsqu’ils seront confrontés aux preuves, rapports certifiés, interviews et expériences en laboratoire à l’appui, constatant que ce phénomène, parfois aussi désigné par « Respirianisme », existe ? En effet, pour répondre à cette question, le réalisateur mène une enquête aux 4 coins de monde (Suisse, Allemagne, Autriche, Russie, Etats Unis, Grande Bretagne, Inde, Chine) afin de rencontrer à la fois médecins, scientifiques et universitaires, mais aussi ces personnes qui affirment ne plus se nourrir, ou avoir expérimenté ce phénomène. Ainsi, Lumière explore non seulement la connaissance issue des traditions spirituelles asiatiques, mais dévoile aussi les derniers modèles d’explications tirés de la physique quantique. Serait-il alors possible de vivre autrement ?

    Site internet du film >>> ICI

    Pays d’origine : Autriche
    Genre : Documentaire
    Année de production : 2010
    Version originale : Allemand
    Versions doublées : Français
    Durée : 89′

    Article paru dans http://blog.psychotherapie-integrative.com/le-film-lumiere/
    Le film « Lumière »

    Il est bon d’aller voir ce film, histoire d’oublier cette débauche d’aliments des fêtes de fin d’année, afin de faire de nous les obèses d’une société de l’hyperconsommation matérielle.
    Il s’agit d’un documentaire intéressant, réalisé par un jeune autrichien Peter Arthur Straubingen, qui a mis dix ans pour mener à bien son enquête sur un phénomène hors du commun : sa possibilité de vivre sans aliment solide et sans eau, en se nourrissant uniquement de la lumière ou de l’énergie – les orientaux diraient du « prana » ou du « qi ».

    L’enquête
    P. A. Straubingen a accumulé les exemples de ces hommes vivant ainsi de cette lumière provenant surtout de la nature et du soleil, en nous emmenant pour un voyage à travers le monde. En Autriche d’abord, nous rencontrons un yogi de la montagne, à l’allure assez marginale, qui a l’air de vivre heureux ainsi, avec un large sourire, dans son ascétisme extrême.
    Beaucoup plus troublant, est la visite chez un médecin suisse, le Dr Werner, vivant dans le conformisme social. Pourtant, il a abandonné lui aussi toute nourriture solide et liquide, partageant une retraite très normale, avec sa femme, entre partie de tennis et ballade en voilier sur le lac de Neuchatel.
    Nous allons bien sûr en Inde, où Patanjali, il y a 2000 ans, mentionnait déjà dans son fameux traité sur le yoga, la possibilité pour les yogis les plus accomplis de vivre uniquement du « prana ». Là, nous rencontrons le sage Mataji Prahlad Jani, un petit vieillard alerte, à l’oeil illuminé, qui après avoir eu à 7 ans « la révélation des 3 déesses », vit sans manger ni boire depuis 70 ans, en semblant se porter comme un charme.
    Nous allons aussi en Chine, dans un superbe temple taoïste, où des moines pratiquant qigong et taïchi, nous parlent du degré suprême de l’accomplissement spirituel : le » bigu » qui consiste à ne plus avoir aucun besoin matériel, dont celui de manger et boire.
    Nous rencontrons aussi Jasmuheen, une femme australienne, style « new age », qui a créé les stages de « respirianisme » de 21 jours pour s’initier à vivre uniquement de lumière – stages qui ont défrayé à juste raison la chronique , car ils ont entrainé la mort de plusieurs personnes ayant suivi inconsidérément une démarche trop difficile, à ne pas proposer à tout le monde. Mais il faut souligner ici l’honnêteté du film, qui met en garde le spectateur sur les dangers d’une telle pratique, en visitant d’ailleurs à Berlin un groupe de disciples « respirianistes », pas très recommandables.

    Le questionnement scientifique
    Un des intérêts du film est de montrer la confrontation entre la science médicale conventionnelle et ces phénomènes inexplicables.
    Il y a d’abord, au début du film, la dénégation presque drôle tellement elle est caricaturale, de plusieurs experts scientifiques criant à l’imposture et au mensonge. Plus intéressant est le séjour dans un hôpital de Berne, du Dr Werner, qui pendant 10 jours va se prêter à toutes les études et expérimentations cliniques sur son cas, avec ensuite la plus grande peine pour obtenir les résultats – résultats médiocres concluant à une simple expérience de jeûne prolongé avec apparition des signes cliniques habituels.
    Beaucoup plus intéressant, est de voir notre yogi indien séjournant, pieds nus et vêtu du traditionnel sari safran , dans un hôpital d’Ahmedabad ultra-moderne, pendant 15 jours, avec une surveillance video constante, passage au scanner quotidien, analyses permanentes multiples. Les médecins indiens avec un certain courage passant outre leurs croyances, en concluent au miracle inexplicable de ce corps âgé de 80 ans, dont les organes en parfait état sont comparables à ceux d’un jeune homme de 25 ans, et dont l’absence d’élimination de l’urée dans le sang – ce qui est la principale cause de mortalité quand on arrête de boire – pose toutes les questions sur la possibilité d’un tel phénomène.

    Les explications et les hypothèses
    La dernière partie du film s’en va enquêter auprès de certains scientifiques à l’avant-garde du développement des sciences. Ce sont des chercheurs autour de la physique quantique – dont le britannique Brian Josephson, prix Nobel 1973 -, c’est un docteur en psychologie engagé dans la recherche de pointe sur la conscience, le Pr Dean Radin de l’université de Princeton. Tous disent qu’il est nécessaire de dépasser le paradigme réducteur de la science conventionnelle matérialiste, vieille de quatre siècles, et incapable de prendre en compte et d’expliquer un nombre important de phénomènes énigmatiques, dont celui-ci.
    Il faut faire l’hypothèse d’un champ quantique de tous les possibles qui sous-tend et modèle la réalité matérielle. Il faut étudier avec rigueur tous les pouvoirs de la conscience humaine, capable par exemple de gérer et de modifier le fonctionnement d’un tout extrêmement complexe comme le corps. Cela rejoint d’ailleurs les recherches, dont nous avons déjà parlé au sujet de la pleine conscience.

    Pourquoi en France une telle résistance ?
    C’est la question que l’on peut se poser, quand on considère la manière dont ce film a été accueilli au pays de Descartes, alors qu’outre-Rhin, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, il remporte au contraire, un certain succès pour un documentaire (environ 170 000 entrées fin novembre). En effet, seulement trois salles de cinéma à Paris ont accepté jusqu’ici de visionner le film dans toute la France. La critique dans les journaux oscille entre le déni d’information, ou l’utilisation des étiquettes habituelles – dont la France s’est fait malheureusement une spécialité – en criant à la secte, la manipulation, le mensonge, etc… Pourquoi, une telle fermeture et une telle agressivité, dés que l’on sort des cadres de la croyance dominante, surtout dans le domaine sensible de la santé et de la médecine ?

    En tout cas, ce film ne m’est pas apparu comme une incitation à manipuler les esprits, pour entreprendre par exemple ce processus respirationiste », mais plutôt comme une incitation à réfléchir sur un phénomène hors du commun, afin de se poser des questions, d’ouvrir son esprit et sortir des cases toutes faites d’une vision rétrécie et unidimensionnelle de la réalité.

    .

    Voir le groupe de discussion sur Facebook >>> ICI

     
  • Bernard Jean 21 h 46 mi le 5 November 2010 Permalien | Réponse
    Tags : Adam. Ève, , nourriture, , pranique   

    Adam et Ève, hypothèse sur la nourriture 


    Adam est, dans la Genèse, le premier homme et le compagnon d’Ève. Il mourut à l’âge de 930 ans (Genèse : 5-5). Tandis que l’Église catholique continue d’enseigner officiellement l’existence d’un premier homme, Adam, la plupart des scientifiques soutiennent que la théorie de l’évolution invaliderait la possibilité de l’existence d’un premier homme.

    Or, Dieu avait interdit la consommation du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, mais le Serpent (Nahash en hébreu) tenta Ève qui mangea du fruit défendu et en donna à Adam qui en mangea à son tour. L’origine du péché originel est cette faute commise par ces premiers humains, faute qui cause leur expulsion de l’Éden.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Adam

    Derrière ce récit, se cache sans doute une information importante. Je lance une hypothèse. Il apparaît maintenant clairement que l’Homme peut vivre sans manger et sans boire (voir le dossier sur l’alimentation pranique). Si le fait de manger de la nourriture terrestre (viandes, fruits, céréales …) avait simplement fait baisser le taux vibratoire de l’homme alors qu’au départ il avait été conçu pour vivre simplement de prana et d’énergie solaire.

    Le fait de manger a modifié son mécanisme et l’a de ce fait obligé à trouver de la nourriture (chasse, cueillette). Tous les problèmes sur Terre viennent du besoin de l’homme de se nourrir et de sa peur de la famine et de manquer de nourriture. Sur les images nous voyons Adam et Ève avec une pomme et une feuille de vigne. Je pense que la pomme symbolise la nourriture terrestre et la feuille de vigne l’obligation de trouver des vêtements du fait du changement de fonctionnement. Le corps devenant sensible au froid et n’ayant pas la protection des animaux il était impératif pour l’Homme de trouver des grottes, des peaux en fourrure, pour se protéger.

    Si au départ l’Homme est dans une alimentation pranique, nous pouvons imaginer un taux vibratoire assez haut et il est possible qu’à cette époque l’homme était moins dense, moins prisonnier de la matière. Manger use le corps qui se comporte comme une usine pour traiter la nourriture et évacuer les déchets. Le fait de manger de la matière l’a rendu plus dense, cela a fait baisser son taux vibratoire. De ce fait il a été coupé des contacts avec des Êtres moins denses, les Êtres éthériques, les Êtres invisibles qui sont souvent nommés gnomes, fées, lutins, plan angélique, extra-terrestres …

    Nous constatons depuis quelques années une augmentation du taux vibratoire de la Terre. Il y a 20 ans le taux était de 6 500 UB (Unité Bovis), il est actuellement de 14 000 UB. Donc naturellement le taux vibratoire des hommes remontent même s’ils se nourrissent de nourriture vivante. Il est surprenant de voir par contre que dans le même temps la nourriture proposée aux Hommes devient de moins en moins vivante comme pour les empêcher d’évoluer et sortir du piège en place depuis des millénaires. Un américain mange en quantité trois fois plus qu’un habitant de Thaïlande, il n’est pas plus vivant pour autant, et sans doute en moins bonne santé.

    La pomme de Ève est assimilée au péché original, ce qui fait l’affaire de la religion pour rendre l’homme coupable et le manipuler. Mais derrière cette pomme il y a simplement l’indication que l’Homme peut reprendre sa liberté en supprimant tout simplement la nourriture.

    Nous pouvons très bien imaginer la Terre et les Hommes qui ne mangent plus. Plus d’agriculture, plus d’élevage, les terres redeviennent sauvages, les animaux ne sont plus chassés, les poissons ne sont plus pêchés. Le temps passé à travailler est réduit. La famine n’existe plus, les maladies provenant de la nourriture sont supprimées. Son taux vibratoire élevé lui permet d’entrer en contact directement avec des civilisations lointaines. La pollution de l’eau et des terres disparaissent.

    Nous pouvons imaginer que l’avenir de l’Homme sur cette Terre passe par la nourriture pranique et par la suppression de la nourriture terrestre. Nous pouvons imaginer qu’en étant dépendant de la nourriture et de l’eau nous devenons fragiles, manipulables et des esclaves faciles pour ceux qui dirigent le monde.

    Reprendre son pouvoir et sa liberté passent sans aucun doute par la nourriture pranique.

    Bernard Jean

    http://respirationconsciente.wordpress.com/

     
    • Mébahiah 9 h 09 mi le 26 novembre 2010 Permalien | Réponse

      Mmmm, tout cela résonne en moi.
      Je trouve  » triste » de se retrouver autour d’une table pour manger.
      Pour se remplir?
      Nous avons tellemnt d’autres chose à partager. Nous-mêmes déjà.
      Se remplir donc il y a vide.
      Les arguments avancés pour me convaincre du genre
      « Le tour de table est le symbole de la famille »
       » Se nourrire c’est rendre hommage à la terre »
      Pour moi c’est BOF!!
      En tous les cas la lecture de ce texte, m’est  » agréable »
      Belle journée ensoleillée, enneigée à l’auteur.

    • roger 12 h 51 mi le 7 février 2011 Permalien | Réponse

      bonjour ,

      voici mon raisonnement à propos de l’alimentation pranique : dans le bouddhisme pour trouver l’ame ,on divise le corps à l’infini sans jamais rien trouver de concret ,cela rejoint la théorie quantique qui dit que plus on décompose le corps en particules , plus on se dirige vers l’infini et on ne parvient pas à prouver l’existence du corps de manière matérielle.
      donc , vouloir à tout prix nourrir un corps qui n’existe pas avec de la nourriture de la meme veine ,me parait absolument incompréhensible.
      pour moi prendre directement son énergie par la respiration et la lumière est tout à fait réaliste.
      mais nous avons tous baigné depuis notre plus tendre enfance dans la soupe aux « concepts et aux dogmes » dévoyés par l’homme pour servir des intérets aussi vils qu’inutiles.
      il suffit pour s’en convaincre d’observer les réactions de ma famille lorsque je prends mon repas du matin presque exclusivement composé de fruits

      merci pour toutes vos informations qui nous sortent de ce monde aux vues étriquées et à la pensée unique.

      au plaisir d’un autre commentaire

      roger

  • Bernard Jean 12 h 04 mi le 1 October 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , nourriture,   

    L’alimentation pranique, un chemin d’exception 


    (MISE EN GARDE : Cet article n’est pas une invitation à pratiquer l’alimentation pranique tout azimut. Par contre, les personnes intéressées y trouveront des références pertinentes pour approfondir le sujet et contacter des ressources avisées.)

    Si on s’intéresse à l’alimentation vivante, inévitablement à un moment ou l’autre de notre démarche, on sera interpellé par l’alimentation pranique. Dans cette perspective toute particulière de la nutrition devenue explicitement spirituelle, l’expression bien connue « vivre pour manger ou manger pour vivre » pourra s’adjoindre une troisième alternative : manger en toute conscience pour Être.

    Qu’est-ce que l’alimentation pranique?

    Selon les Upanishads -écritures anciennes de l’Inde, le prana (terme sanskrit) est une énergie vitale universelle qui imprègne tout et que les êtres vivants absorbent par l’air qu’ils respirent. Voilà, tout serait donc déjà dit : l’alimentation pranique, c’est se nourrir de prana !

    L’alimentation pranique, ce n’est donc pas ne pas manger, c’est bien plutôt manger du prana, beaucoup de prana, en toute conscience.

    L’inconscience humaine
    Selon Reine Claire Lussier, pionnière de l’alimentation vivante au Québec (et ailleurs, car dans ce domaine les pionniers sont rares), la mécanique biologique maintient l’être humain dans un état d’inconscience. C’est-à-dire que n’étant pas « maître de sa matière » (l’expression est de R-C), l’humain peut s’accommoder de vivre en mode réflexe sa vie durant. On sait que notre organisme opère principalement par automatismes, les systèmes nerveux sympathique et parasympathique étant responsables des fonctions essentielles du corps : digestion, pulsations cardiaque, respiration, etc. Pour les adhérents à l’Âge du Verseau, l’humain est un être de lumière expérimentant la vie terrestre dans un corps de chair. À cette enseigne, son objectif est de maîtriser SA propre matière. C’est-à-dire spiritualiser son enveloppe physique à l’instar, peut-on dire, du créateur virtuose qui transmute littéralement la substance de son environnement : matériaux, sons, saveur, vibrations visuelles,… en chef-d’œuvres!

    Transformer son code biologique
    Pour vivre de prana, il faut d’abord réussir à transformer son code biologique (les fonctions digestives à tout le moins) en code pranique (la capacité d’extraire sa vitalité, dans le sens littéral du terme, de l’air ambiant). C’est quand même pas de la tarte! Là aussi, il faut être…virtuose. Maintenant, vivre de prana n’équivaut pas, selon Reine Claire, à arrêter de manger. C’est une conséquence possible. Hum, cette distinction a son importance, car la valeur de la démarche est transposée sur la conscience à acquérir vis-à-vis la nourriture -qu’elle soit dense avec les aliments physiques ou éthérée avec le prana, plutôt que sur le fait de ne plus manger. Le but recherché à travers l’alimentation pranique est donc de mettre de la conscience dans SA matière. Le chef-d’œuvre à réaliser, c’est soi-même! À l’instar de certains yogis qui possèdent la maîtrise de leur respiration et peuvent conséquemment réaliser des prodiges : longévité inhabituelle, insensibilité à la douleur, don d’ubiquité, etc, les adeptes de l’alimentation pranique réalisent ce qui nous semble aussi un phénomène improbable : ne plus manger.

    C’est-tu vrai ?
    Les adeptes de l’alimentation pranique sont désignés par les termes respirien, inédien ou pranien. S’ils ne sont pas légion, leur existence, même rarissime, s’impose à notre intérêt tel un formidable manifeste quant aux capacités de l’être humain.

    L’histoire officielle, mais surtout officieuse, nous signale au-delà d’une vingtaine de cas hypothétiques. Parmi les plus référencés dans notre culture judéo-chrétienne, signalons la française Marthe Robin qui a vécu sans nourriture pendant 50 ans et mourut en 1981 à 78 ans et Thérèse Neuman, cette allemande qui pendant près de 40 ans se nourrit exclusivement d’hosties humectées d’eau jusqu’à son décès à 69 ans. Actuellement, un ascète Hindou du nom de Prahladbhai Maganlal Jani anime le débat: il s’alimenterait de prana depuis 69 ans. Il aurait aujourd’hui 81 ans. En 2003, ce dernier a accepté de participer à une étude scientifique menée à l’hôpital Sterling d’Ahmedabad (état du Gujarat, Inde), sous surveillance vidéo constante. Plus récemment, en avril 2010, le même ascète s’est soumis à une autre étude, et ce encore pendant une dizaine de jours sans manger ni boire. Si la science n’a pas voulu valider l’expérience, faute d’un protocole considéré inattaquable, ce type de démonstration « alimente » assurément l’énigme des respiriens.


    Plus près de nous, d’autres personnes, apparemment saines de corps et d’esprit, jeunes et moins jeunes, confient leur cheminement d’exception sur Internet. Pour l’instant, il faut les croire sur parole. À cet égard, signalons l’athlète américain Jericho Sunfire (http://www.youtube.com/watch?v=ER7bmUSwsUI), la française Isabelle Hercelin (http://www.senourrirdelumiere.wordpress.com ) , le shaman Henri Monfort (http://www.wideo.fr/video/iLyROoafJK_K.html ), Ellen Greve alias Jasmuheen, la plus connue et assurément la plus décriée des respiriens http://www.jasmuheen.com et enfin la québécoise Reine-Claire Lussier par qui nous avons été sensibilisée à ce type d’alimentation http://www.ecole-de-vie-consciente.com. Marie-France Bernard responsable à « Conférences Québec » présente ainsi ses récentes allocutions:

    Se nourrir de Prana, Mythe ou Réalité ?

    «Tout être humain qui s’éveille à sa potentialité peut devenir autonome et s’affranchir des lois terrestres. C’est là le destin de l’humain : maîtriser totalement sa matière. Le corps humain est conçu pour vivre uniquement de l’énergie divine.» (Les Guides)

    Reine-Claire a transformé sa mécanique biologique en mécanique pranique. En toute simplicité et transparence, elle nous livre son expérience de cette troublante mais fascinante déprogrammation cellulaire. En nous décrivant ses peurs, ses résistances, ses recommencements, sa constance à poursuivre son objectif de maîtriser sa matière humaine, elle nous apprivoise et nous invite sur un chemin nouveau : celui de dépasser sans cesse ses limites et de s’harmoniser avec l’appel de son âme.

    Voir aussi le courageux livre de Reine-Claire et de son conjoint Gaal, Transparence II paru aux Éditions Ariane. Un journal de bord intime sur leurs aventures, si je peux me permettre, avec le prana.

    Dans cet article-ci, je m’inspire d’ailleurs largement de l’expérience de Reine-Claire.

    Alimentation pranique, mode d’emploi
    L’être humain s’alimente d’eau, de nourriture végétale et, selon le cas, de chair animale. Il se nourrit aussi de façon réflexe par tous les pores de sa peau grâce aux rayons du soleil et à l’air. Ce dernier élément également inhalé par ses poumons, une bonne dizaine de fois par minute. Ainsi, c’est d’abord l’air qui «nourrit» le corps de façon essentielle. Toutefois, pour la plupart des gens, manger renverra naturellement aux trois repas quotidiens. Alors, l’idée demeurera toujours : On mange sinon on ne mange pas. Ce n’est toutefois pas si simple.

    Sur la base de certaines expériences partagées (on est quand même en pleine « terra incognita »), on apprend que le processus de transformation du code biologique vers le code pranique se déroule –habituellement- par étape. Nous ne parlons pas ici de jeûner, car c’est une autre histoire. Nous en parlerons plus loin. Je laisse la parole à YV, l’auteur d’un site dédié http://www.pranique.com/

    Au sujet de la purification des corps physique, mental, émotionnel et spirituel par la maîtrise de l’alimentation, il semble qu’il y ait un parcours classique d’étapes, mais néanmoins toujours individualisé et personnel.

    […]

    Carnivore-omnivore→Végétarien (c’est moi qui ajoute ces étapes préliminaires potentielles)

    végétalisme/frugivorisme → élimination des feuilles, tiges, racines et tubercules amène au fruganisme → diminution drastique des fruits graines et de la majeure partie du cuit amène au fruitarisme/fructivorisme → élimination des fruits-graines comme les noix et les graines de tournesol (alimentation concentrée) amène au paradisianisme ou pulpivorisme ou fruitarisme/fructivorisme sans graines → phénomènes mystiques et/ou besoin de manger encore plus léger amène au liquidarisme → un passage difficile et inconfortable de 3 semaines à un mois en sevrage radical, ou bien progressivement en diminuant les repas jusqu’à ne plus prendre qu’un repas de jus de fruit par semaine sans perdre trop de poids amène à l’aquavorisme → curiosité et besoin de cohérence pousse à réduire aussi l’eau et amène au respirianisme […]

    […]Il est dit qu’il faut environ un an pour consolider chaque étape de ce parcours, au moins jusqu’à l’aquavorisme, pour se sevrer de tout aliment sauf l’eau, soit 5 ans.

    Ça peut paraître un peu compliqué, mais on comprend l’idée générale : on ne passe pas du steak au poivre au respirianisme. Reine-Claire, quant à elle, parle de sa démarche avec simplicité. D’omnivore-carnivore gourmande à végétarienne (cette étape initiée au début de la trentaine), elle est passée à l’alimentation vivante inspirée par une guidance intérieure, développant peu à peu son intérêt et ses connaissances de ce régime, pour finalement commencer à intégrer l’alimentation pranique en l’an 2000. Aujourd’hui son corps est ajusté à la mécanique pranique, elle peut ou non manger matériel à sa convenance. Elle confiera «partager» occasionnellement un repas avec son conjoint, au même titre qu’une autre activité comme aller au cinéma.  Depuis 10 ans, elle s’est prêtée à beaucoup d’expériences de transmutation cellulaire et après quelques mois à se nourrir presqu’exclusivement de prana, elle a adopté de façon définitive le morceau de pain quotidien qu’elle ajoute à ses repas de prana, avec beaucoup d’eau.

    L’importance du prana

    Tout est constitué de prana : vous, moi, la planète et tout ce qu’elle contient. Alors, la pomme ou la pizza, ou encore la boîte qui la recouvre, c’est seulement une question de quantité de prana. Quand on parle d’assimilation, autrement dit de transmutation alimentaire, il faut se rappeler que les aliments cuits fournissent peu de prana. Ils sont dévitalisés. Certains diront plus carrément, ils sont morts, car il ne reste aucun enzyme suite à leur cuisson au-delà de 104F. Quant à manger du carton… Enzymes = prana ? Un peu, oui. L’alimentation vivante ayant conservée ses enzymes contient de ce fait plus de prana. C’est le prana qui véritablement nourrit notre organisme, que l’on soit conscient ou non de son action subtile.

    L’alimentation pranique engage la conscience de l’action du prana et son utilisation optimale dans notre organisme.

    Lorsqu’on mange des aliments matériels, du plus dense au plus éthéré (viande, aliments cuits, aliments crus, liquides, eau), notre système digestif doit travailler en proportion afin d’en extraire le prana. Plus l’aliment est dévitalisé, plus le corps travaille laborieusement et plus la quantité est au rendez-vous dans notre assiette. On mange trop? Oui, car on mange vide. Le corps a faim, non pas de quantité, mais de qualité…Il a besoin de prana! Il est reconnu que les adeptes de l’alimentation vivante ont moins besoin de manger que ceux qui mangent cuit. Bon, je viens de prêcher pour ma paroisse.

    Nourrir les trois corps

    Manger pranique touche directement les trois corps suivants : physique, émotionnel et mental. Curieusement, on s’attendrait à ce que ce soit le corps physique qui se rebelle. Eh bien non, Reine Claire souligne que ce sont nos émotions et notre mental qui font le plus sérieusement obstruction à cette démarche. Le corps, au contraire, serait ravi de notre décision, quand elle est vraiment prise.

    En supposant qu’on désire s’initier à l’alimentation pranique, comment doit-on s’y prendre, en gros?
    Je précise bien EN GROS, car ce n’est surtout pas un mode d’emploi à l’aveugle… D’abord, lâcher prise à la performance. On n’y arrive pas avec son ego. Maintenir son régime alimentaire habituel. Si on aime la viande, on mangera de la viande. Si on est végétalien convaincu, on poursuivra sur cet élan. Même chose si on est un adepte de l’alimentation vivante. On part d’où l’on est; le prana fait le reste. C’est-à-dire? La première et la plus importante chose à faire, en fait la seule, c’est d’intégrer la conscience que c’est le prana et seulement le prana contenu dans l’aliment ingéré qui nourrit. On intériorisera cette idée de « manger » du prana avant le repas. On peut bien sûr faire l’« exercice » plus souvent, tout le temps. C’est encore mieux, car plus on « assimilera » le concept, plus on expérimentera véritablement ses effets dans notre corps, lequel va commencer à nous parler… En clair, il va peu à peu nous donner le goût du prana et donc, si on parle de nourriture matérielle, d’une alimentation de plus en plus vivante. Parallèlement, et conséquemment, on aura moins d’élan, et finalement plus d’élan du tout, pour la nourriture cuite. Éventuellement, constatant que notre corps se nourrit parfaitement de prana (attention, il y a des paramètres précis pour le vérifier), on décidera de ne plus manger de nourriture matérielle, car devenue superflue. La démarche, dans sa totalité, peut prendre un temps variable. On parle habituellement d’années. Mais comme le but, vous vous rappelez, n’est pas d’arrêter de manger, mais de mettre de la conscience dans notre matière, on suivra donc son bonhomme de chemin sans se soucier de la destination.

    Dans le cadre de ses conférences, Reine-Claire propose quelques fois à la curiosité de son auditoire quelques trucs pour « déjouer la révolte de la matière » pendant la « difficile » période du sevrage. Là, c’est presque rigolo de voir comment le corps fonctionne à l’automatique. Mais bon, ce n’est pas le propos de cet article d’aller dans le détail du pratico pratique. Je soulignerai cependant l’importance de l’eau à cette étape. Plusieurs litres (5-6) seraient requis en période de sevrage. L’eau est un remarquable véhicule (homéopathie) de l’information. Selon Reine-Claire, pas besoin d’appareils sophistiqués pour hausser ses fréquences. Il suffit de mettre notre eau de boisson (verre ou pichet) à hauteur du cœur et de formuler en conscience notre intention. On peut faire de même avec la nourriture, et ce en toute discrétion en mettant nos mains de chaque côté de notre assiette ou en inclinant le torse (ici c’est le chakra du cœur qui est sollicité) vers celle-ci.

    Enfin, ceux qui sont sérieusement intéressés par la démarche de l’alimentation pranique seront bien avisés de se faire accompagner adéquatement sur ce chemin d’exception, potentiellement dangereux s’il est vécu dans l’ignorance de tous ses aboutissants.

    Se nourrir de prana, ce n’est pas jeûner

    Venons-en au jeûne. On peut survivre, selon les conditions, une semaine (certains même pas 3 jours) sans boire et un mois sans manger, plus longtemps pour  les constitutions solides. Alors, comment fait-on pour vivre sans manger des années durant? Voilà ce que j’en comprends : Quand on jeûne, on envoi aux cellules du corps le message suivant : « Prends ton mal en patience cocotte, on va re-manger bientôt » ou alors « C’est bien dommage, mais si on ne mange pas bientôt, on va mourir mon coco! ». L’un comme dans l’autre, le corps est en attente ou en panique et « gruge » dans la matière biologique. Les résultats peuvent être favorables si on sait contrôler l’expérience ou (c’est bien ça) mortels si ça dure trop longtemps. Par contre, quand on a vraiment transmuté son code biologique en code pranique, le corps a définitivement « compris » qu’il peut non seulement survivre, mais vivre de prana. Il a également admis que le prana vital peut être ingéré à partir de l’air ambiant. On est alors devenu un mutant, une mutante. Cool. On dirait de la science fiction.

    Mais pourquoi arrêter de manger? C’est si bon maman!

    À partir du moment où j’accepte que je puisse effectivement modifier ma mécanique biologique et vivre de prana, je calme mon corps mental. Quand j’ai enfin vérifié dans ma chair que je peux vivre de prana, j’ai définitivement rassuré le corps mental. La mécanique pranique est installée. Mon corps physique, lui, sait dès le départ qu’il peut réaliser ce prodige. Par contre, personne ne peut m’enlever les mémoires agréables que j’associe au fait de manger. Eh oui, manger est un plaisir (surtout dans notre société) même s’il s’évalue inégalement sur l’échelle du bien-être selon les individus et le moment. Le corps émotif résiste à ce qu’il considère comme une abomination : ne plus manger. Vivre de prana est donc une démarche extraordinaire qui ne rencontrera, éventuellement, la complicité des trois corps que très progressivement. Alors pourquoi se donnerait-on le défi inconcevable pour la plupart de ne plus manger? Pour devenir le maître de sa matière, lancerait assûrément une Reine-Claire triomphante; pour goûter la légèreté intrinsèque d’un corps libéré des contingences de la digestion (un immense travail au quotidien), pour l’éclatant regain d’énergie qui s’en suit, pour la diminution de nos besoins en sommeil (un p’tit 4 heures de sommeil, super), pour l’expansion de nos facultés intellectuelles et parapsychiques et, plus pragmatiquement, pour épargner tout le temps et l’argent qui sont liés au fait de manger, au niveau individuel et, imaginez la merveille, au niveau planétaire…

    Mettre du prana dans mon assiette et dans ma vie

    En conclusion, si vous êtes comme moi,  ben tiens, nous sommes les plus nombreux à cette étape, vous serez plutôt interpellés par le projet de mettre davantage de prana dans votre assiette, c’est-à-dire tout en continuant de manger. En premier lieu, en ce qui me concerne, à travers les bienfaits reconnue de l’alimentation vivante et aussi l’incorporation consciente du prana. Mon programme est simple. C’est d’ailleurs une des convictions que partage volontiers Reine Claire Lussier : plus c’est simple, plus c’est efficace! Alors quoi? Manger vivant en conscientisant l’importance du prana dans ma nourriture. Parallèlement, respirer le prana dans l’air ambiant, le plus souvent et particulièrement quand je suis en nature, en méditation, au lever et au coucher. Boire plus d’eau, une eau programmée par mes soins à ma fréquence lumineuse, celle de mon âme. Et puis laisser vivre tout ça dans mon corps, dans la Joie.

    Voilà, j’espère que cette incursion sommaire dans le monde de l’alimentation pranique vous aura inspiré le meilleur pour votre cheminement personnel. Toutefois si jamais vous êtes de ceux qui sont interpellés plus radicalement par la démarche, n’hésitez pas à contacter des personnes ressources compétentes. Au Québec, Reine-Claire Lussier http://www.ecole-de-vie-consciente.com

    Bon prana!

    Publié par Sylvie Alice Royer http://www.vertparnature.blogspot.com



     
    • bisson veroniqueb 13 h 27 mi le 9 décembre 2010 Permalien | Réponse

      bonsoir , je souhaiterai connaitre des personnes respiriennes . Pouvez-vous SVP m’aider ?

  • Bernard Jean 16 h 54 mi le 16 September 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , nourriture,   

    Se nourrir de Prana, mythe ou réalité ? 


    Conférence avec Reine-Claire Lussier
    Dimanche 19 septembre 2010 à Québec | 13h30 | 20$

    Reine-Claire a transformé sa mécanique biologique en mécanique pranique. En toute simplicité et transparence, elle nous livre son expérience de cette troublante mais fascinante déprogrammation cellulaire.

    En nous décrivant ses peurs, ses résistances, ses recommencements, sa constance à poursuivre son objectif de maîtriser sa matière humaine, elle nous apprivoise et nous invite sur un chemin nouveau : celui de dépasser sans cesse ses limites et de s’harmoniser avec l’appel de son âme.

    «Chaque jour de ma vie est un pas de plus dans cette merveilleuse aventure qu’est l’exploration de la mécanique pranique. Je ne cesse de découvrir les subtilités du fonctionnement de mon véhicule humain, d’observer combien le corps physique se suffit à lui-même quand il est alimenté consciemment et directement par le prana, et de m’émerveiller, lorsque je travaille physiquement, en constatant combien puissante est la force qui l’habite.

    Lorsque j’ai cru que j’avais «réussi», que je touchais à la liberté totale, la victoire, les Guides m’ont dit que ce n’était pas un point final et que je me leurrais… Je cherchais désespérément ce que je n’avais pas terminé dans ce programme pranique, jusqu’à ce que je comprenne qu’il s’agissait de la transmutation cellulaire. C’est alors que j’ai accepté de continuer mon expérience en mangeant parfois, dans le but de transformer cellulairement les aliments que je mettais dans mon corps. Oui, mais … qu’allais-je faire avec la construction qui s’était érigée tout autour de moi et qui se nommait : « Reine-Claire ne mange plus ! » ?

    Je ne savais plus comment répondre aux questions des gens. Non je ne mange plus ? Euh… mais il m’arrive de manger. Cependant je ne mange plus pour vivre. Je n’ai plus besoin de manger de nourriture matérielle pour assurer ma survie. Oui, je vis de prana, mon corps se nourrit principalement de prana. Principalement ? Non, totalement, car lorsque je mange ce n’est pas pour m’alimenter ; c’est pour faire plaisir à mon corps émotif ou pour encourager et récompenser mon corps physique ou pour pousser plus loin mes expériences de transmutation cellulaire. Bref, mon discours devint incohérent ; alors, j’ai fait silence… ça fera bientôt 10 ans.

    Je ne peux pas nommer ce que je vis. Tout ce que je sais, c’est que j’ai fait l’expérience de la liberté ! Quand on n’a plus de définition de soi-même, on peut commencer à être…

    (Source : Conférences Québec)
    Date : Dimanche 19 septembre 2010
    Heure : 13h30
    Coût : 20$

    Lieu : Centre Victor-Lelièvre
    475, boul. Père-Lelièvre
    G1M 1M9

    Ville : Québec
    Liens : http://www.conferencesQuebec.com

     
    • Julie Martineau 3 h 45 mi le 17 septembre 2010 Permalien | Réponse

      Excellente information et très beau témoignage, merci !

      • lililei 18 h 20 mi le 24 avril 2011 Permalien | Réponse

        vous oubliez le nombre de décès et ……de suicide caché par cette nourriture pranique …et je ne compte pas les familles détruites …..

    • lelsadenoch 11 h 03 mi le 17 septembre 2010 Permalien | Réponse

      Merci beaucoup d’avoir transmis ce sujet très intéressant 🙂 Transformons nos cellules et écoutons nos ressentis et nos guides… Encore un grand merci !

      • Goutchtat 12 h 19 mi le 10 septembre 2012 Permalien | Réponse

        Un grand merci pour ces renseignements. J’ai prévu dans 2 jours de commencer le processus décrit par Jasmuheen mais en buvant de l’eau. J’espère ainsi devenir pranic

    • BenvoyonsDonc 11 h 01 mi le 19 avril 2013 Permalien | Réponse

      N’importe quoi. « car lorsque je mange ce n’est pas pour m’alimenter ; c’est pour faire plaisir à mon corps émotif « . Ben oui me semble. Youhouuuu on peut se faire croire des choses et en être bien convaincu mais si vous n’avez plus besoin de manger alors pourquoi cet hyprocrésie et pourquoi ne pas tout simplement faire assumer à votre corps votre nouvel état cellulaire.

      Moi demain je me transforme en viandosaure et m’assure que mes cellules sont bien au courant de mon nouveau choix de vie.

      Pis quoi encore !!!!!!

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