Mises à jour de avril, 2014 Activer/désactiver les fils de commentaires | Raccourcis clavier

  • Bernard Jean 7 h 47 mi le 10 April 2014 Permalien | Réponse
    Tags : olives,   

    Seul est vaincu celui qui renonce – Babeth et Raphaël Colicci – Un film de Jean-Yves Bilien 


    colicci1Avec : Pierre Bardina , André Bervillé, Maurice Chaudière, Jean Luc Daneyrolles, Dr Jacques Dubois, Marion kaplan, Dominique Lussan, Franck Poirier, Pr Henri Pujol, Pierre Rabhi, Raphael Souchier.

    Dans le cadre naturel et sauvage des contreforts du Larzac ,dans un petit village languedocien, Babeth et Raphaël Colicci (Agriculteurs et thérapeutes) nourrissent depuis longtemps une passion, une philosophie de la culture de l’olivier, des fruits oubliés ,et des médecines douces .

    Ils vont avec force se battre pour faire pousser sur une terre aride, stérile de roche et d’argile des oliviers ,des fruitiers dans ce chaos de la nature qui semble insurmontable,pour créer une extraordinaire oasis de la biodiversité .

    Nous partirons à la rencontre de leurs amis avec lesquels ils construisent ce monde de demain. Dans une démarche de développement durable, fondée sur le respect de l’être et de l’environnement qui sert d’écrin aux arbres et plantes qu’il essaiment sur leurs terres. Pour commander le film de 75 minutes…

     
  • Bernard Jean 9 h 38 mi le 23 March 2014 Permalien | Réponse
    Tags : ,   

    Le glutamate lié aux douleurs chroniques 


    « Que ton aliment soit ta première médecine ».

    Ce conseil d’Hippocrate (460-356 avant J.-C.), père de la médecine moderne, n’a jamais perdu de sa pertinence.

    140321_4n2fs_migraine-douleur-chronique_sn635

    D’abord un neurotransmetteur naturel associé à l’apprentissage et la mémoire, le glutamate se retrouve aussi dans la nourriture que l’on consomme. En trop grande quantité, peut-il causer des douleurs chroniques? Lire la suite…

     
  • Bernard Jean 1 h 23 mi le 8 February 2012 Permalien | Réponse
    Tags : aliments, expo   

    Expo manger santé et vivre vert 


    Image

     
  • Bernard Jean 2 h 39 mi le 20 December 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , ,   

    Un café « expresso » avec une machine très simple 


    Presso-Hand-Pressed-Espresso-Maker-Gear-Patrol-2Nous allons continuer sur le thème du café. Je vous propose aujourd’hui une machine très simple pour faire un « expresso » authentique. J’utilise cette machine depuis 7 ans et je peux vous assurer que le café est excellent. Vous pouvez faire plus avec cette machine qu’avec une machine hyper-sophistiquée à 2000 $. Cette machine ne coûte que 160 $ et fonctionne sans électricité. Un nettoyage très facile de l’ensemble. Coût des pièces d’usure à changer au bout de 7 ans : 15 $.

    Le fabricant anglais : PRESSO

    Le site internet anglais : http://www.presso.co.uk

    Le site international : http://presso.com

    Le site du distributeur en Ontario pour le Canada : http://shop.presso.ca

    En plus d’être hautement recyclable, Presso a obtenu de nombreux prix de design dont les prestigieux « Good Design Award » et « Silver D&AD Award »

    L’Expresso sans sa capsule…

    Autrefois réservé aux cafés et restaurants, l’expresso a gagné nos cuisines grâce à l’invention de la machine individuelle. Pratique, élégante, elle prépare un café de qualité en quelques secondes. Mais cet objet ingénieux est arrivé accompagné d’un nouveau type de déchet: la capsule ou dosette jetable.

    Outre leurs tarifs exubérants, ces doses individuelles remplissent les poubelles à un rythme étonnant… L’ADEME estime par exemple qu’un paquet de 250g de dosettes café génère jusqu’à 10 fois plus de déchet qu’un sachet de café traditionnel !

    Comme souvent, le confort a été acquis aux dépends de la planète…

    Oui mais voila… L’habitude de l’expresso à la maison s’est répandue et pour beaucoup, un retour en arrière est inconcevable! Alors comment faire pour concilier ce nouveau plaisir et le respect de l’environnement?

    Presso is the answer!

    Presso vous propose de préparer un véritable expresso sans capsule et sans électricité (ou presque, il faut tout de même chauffer l’eau).

    Son fonctionnement est le même que celui d’un percolateur traditionnel: vous remplissez le presse-mouture avec le café de votre choix que vous faites en suite traverser par de l’eau chaude sous pression.

    Seule différence, la pression nécessaire n’est pas obtenue grâce à un moteur électrique comme dans un percolateur traditionnel mais par la pression manuelle des bras de Presso… Le résultat est saisissant et comparable à celui des meilleurs percolateurs… Un café fort en arômes recouvert d’une mousse légère.

    6 bonnes raisons de choisir Presso

    1. Un expresso est tellement meilleur qu’un café en filtre…

    2. Avec Presso, votre choix de café ne se réduit pas à celui de votre marque de dosettes. Bio, Equitable, pas cher… c’est vous qui voyez!

    3. Un expresso en dosette coûte de 2 à 8 fois plus cher qu’un expresso utilisant du café en sachet comme Presso.

    4. Selon des tests réalisés en 2007 en Australie (par l’organisme d’état NAEEEC): préparer un café avec Presso consomme moins d’énergie qu’une machine a café électrique quand elle est en veille!

    5. Selon l’ADEME, un paquet de 250g de dosettes café génère jusqu’à 10 fois plus de déchet qu’un sachet de café traditionnel comme celui que vous utilisez avec Presso !

    6. Grâce à son fonctionnement totalement silencieux, le café du matin est beaucoup plus calme avec Presso qu’avec les machines à expresso électriques…

    Vidéo

    Ils en parlent…

    Marie Claire Maison : « Elle fonctionne sans énergie électrique donc est économe et vous permet par la même occasion de muscler vos petits bras. » – Voir l’article

    Economie magazine : « Des coûts d’entretien moindres, sans oublier que vous n’aurez plus besoin d’acheter d’onéreuses capsules dans le commerce.On y retrouve surtout tout le plaisir de se préparer un café soi-même, plutôt que d’appuyer sur le bouton d’une austère machine hors de prix et aux ronronnements industriels… » (02/06/2010) – Voir l’article

    Deco in : « Grand prix du design 2004, cette cafetière expresso manuelle révolutionne la façon de préparer le café. » – Voir l’article

    In We : « Son design élégant et chromé confère à la cafetière Presso un style rétro et tendance, de quoi convaincre les sceptiques : faire du bon avec du beau, c’est possible ! » ( 06/07/2010) – Voir l’article

     
    • Cat 4 h 53 mi le 12 juillet 2012 Permalien | Réponse

      De quoi alors du bon café, sain et « frais ». Je crois qu’une amie à moi l’utilise ou en a une du même genre, elle se régale pour ma part, je suis plutôt café au lait donc je massacrerai un peu le goût du café avec mon lait si j’avais une machine comme sa.

  • Bernard Jean 8 h 38 mi le 16 December 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , , ,   

    Développer les 5 sens, avec le café 


    Nous avons un corps qui permet de développer nos cinq sens. Aujourd’hui je vous propose de développer le goût. Le café est un produit utilisé dans le monde entier. Le chiffre d’affaire engendré par le café vient juste derrière le pétrole. Le café fait vivre plus de 70 millions de personnes. Le café est une boisson psychoactive obtenue à partir des graines du caféier, un arbuste du genre Coffea. La culture du café est très développée dans de nombreux pays tropicaux, dans des plantations qui sont cultivées pour les marchés d’exportation. Le café est une des principales denrées d’origine agricole échangées sur les marchés internationaux, et souvent une contribution majeure aux exportations des régions productrices

    Je vous propose d’essayer de nombreux cafés. Ceci est à la portée de tous. Avec le café nous allons développer non seulement le sens du goût mais aussi celui de l’odorat. Il existe sur le marché des outils très simples pour préparer à la perfection des cafés.

    Je vous suggère le matériel suivant, qui pourrait se trouver sur votre liste de cadeaux pour Noël :

    1/ Un filtre métallique pour ne plus utiliser les filtres en papier, le café est bien meilleur. Fabriqué au USA par Coava pour 50 $ :

    http://coava.myshopify.com/products/kone

    2/ Un récipient en verre fabriqué aux USA par Chemex, pour moins de 50 $ :

    http://www.chemexcoffeemaker.com/Coffeemakers.htm

    3/ Une balance digitale pour peser le café et l’eau avec précision (1 g), pour moins de 20 $ :

    4/ Une bouilloire Kettle V60 de 1,2L, fabriquée par Hario au Japon pour 50 $ :

    La recette :

    1/ Mettre 25 grammes de café moulus à 6, dans le cône métallique.

    2/ Mettre 100 grammes d’eau filtrée à 90 degrés Celcius, pour faire gonfler la mouture pendant 45 secondes.

    3/ Ajouter 300 grammes d’eau filtrée à 90 degrés Celcius sur la mouture et attendre 2 minutes.

    4/ Servir dans une tasse en céramique épaisse chaude, voir ACF en Italie.

    Maintenant vous pouvez tester tous les cafés du monde de 2 $ les 100 grammes à plus de 80 $ les 100 grammes.

    Voici les cafés les plus chers du monde :

    Le Blue Montain en Jamaïque.

    Le Bourbon Pointu de la Réunion.

    Le Kopi Luwak en Indonésie (le kilo vaut plus de 1000 $).

    Je vous souhaite de développer vos cinq sens dans la JOIE pour les fêtes de cette fin d’année 2011.

    Je m’amuse à tester les cafés depuis 10 jours…

    Bernard Jean

     
    • Julie 8 h 46 mi le 16 décembre 2011 Permalien | Réponse

      Merci Bernard! Bio et équitable si possible le café… 🙂

  • Bernard Jean 13 h 54 mi le 6 October 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , , Pronovost   

    Paysans et Mangeurs au cœur de notre agriculture 


    Conférencier : Roméo Bouchard, coalition SOS Pronovost et ex-président de l’Union paysanne

    Malgré l’échec appréhendé de la réforme Pronovost et l’emprise croissante à prévoir de l’industrie agroalimentaire, est-il encore possible de nous réapproprier nos terres et notre nourriture par un plan de souveraineté alimentaire dans chaque territoire, y compris les territoires urbains? Nous sommes en train de céder nos terres et notre agriculture à des consortiums, dont les dirigeants sont à l’étranger le plus souvent, qui les exploiteront de plus en plus aux fins de leurs projets commerciaux mondiaux. D’ailleurs, le recul du gouvernement sur la réforme Pronovost ne fait que laisser le champ libre à ces intégrateurs qui avalent nos fermes locales et indépendantes les une après les autres. Monsieur Bouchard nous présentera un modèle de réappropriation de nos terres agricoles par les communautés locales et régionales et du citoyen-mangeur, qui occupe un rôle prépondérant par rapport à celui de l’agrobusiness préconisé dans le Livre vert publié cet été.

    Quand : Jeudi 13 octobre à 19h15
    Lieu : 870, av. Salaberry, salle Michel Jurdant (322) Québec- Canada
    Contribution volontaire de 2$ à 5$
    Les AmiEs de la Terre de Québec
    Origine de l’information >>> ICI

    .

    SOS-Pronovost

    Une nouvelle coalition d’agriculteurs et de citoyens prend la défense du Rapport Pronovost

    SOS-Pronovost

    Coalition pour la mise en œuvre du rapport Pronovost sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois.

    Une coalition réunissant plusieurs groupes importants d’agriculteurs, de consommateurs, de citoyens et d’écologistes, donc à la fois les volets agriculture, alimentation, environnement et santé, pour défendre le Rapport Pronovost et exiger du Gouvernement sa mise en œuvre sans délai. vous pouvez vous joindre à cette Coalition* qui  entend  veiller et intervenir jusqu’à ce que le virage agricole préconisé par le Rapport Pronovost soit mis en œuvre. Vous pourrez suivre les démarches de la Coalition et consulter ses documents sur ce site. Lire la suite …

    Rapport Pronovost – Vers la ferme nouveau genre

    « Répondre à l’appel des consommateurs québécois en faveur de produits différenciés à haute qualité nutritive »

    Vente de produits sur une ferme biologique. Le rapport Pronovost déplore le fait que «les producteurs biologiques ont dû expérimenter eux-mêmes, et à leurs frais, l’efficacité de certaines méthodes de production ou de commercialisation».

    Photo : Jacques Nadeau
    Vente de produits sur une ferme biologique. Le rapport Pronovost déplore le fait que «les producteurs biologiques ont dû expérimenter eux-mêmes, et à leurs frais, l’efficacité de certaines méthodes de production ou de commercialisation».
    Les propositions formulées dans le rapport de la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois ont réjoui les partisans d’un virage vers une industrie à visage plus humain. Le rapport Pronovost reconnaît en effet «le besoin de diversifier la production, de miser sur la valeur ajoutée, de développer les produits de niche et du terroir de même que la production biologique». Bref, il pourrait bien ouvrir la porte aux idées qu’ils préconisent depuis des années. À condition que les élus emboîtent le pas.«Le rapport Pronovost est une révolution complète, affirme d’entrée de jeu le porte-parole de l’Union paysanne, Benoît Girouard. On y vise vraiment une nouvelle forme d’agriculture au Québec, en vertu de laquelle on valoriserait les fermes familiales et l’agriculture de proximité, mais aussi les produits biologiques et le terroir. On propose d’ailleurs des mesures concrètes pour y arriver. C’est du jamais vu.»Certaines recommandations contenues dans le document, intitulé «Agriculture et agroalimentaire: assurer et bâtir l’avenir», marquent en effet un changement de cap certain dans la façon d’envisager la production de ce qui se retrouve dans nos assiettes: «Sans négliger pour autant les productions qui constituent l’assise principale du secteur, beaucoup d’intervenants ont fortement suggéré de miser sur des produits diversifiés et de développer, de manière complémentaire, une agriculture dite de proximité.» Des préoccupations largement reprises tout au long des 272 pages du rapport rendu public en février.Cette nécessaire diversification agroalimentaire est saluée par l’Union paysanne, qui presse le gouvernement d’aller dans cette direction depuis déjà quelques années. «C’est impossible, souligne M. Girouard, de lutter contre les agricultures des pays émergents dans la production de masse, comme le poulet ou les oeufs par exemple. On peut, au contraire, diversifier notre agriculture, la spécifier. On se mettrait à l’abri des règles commerciales mondiales, on permettrait un développement régional et on stimulerait les produits de niche, ce qui permettrait à notre agriculture de survivre.»Autre piste intéressante envisagée par les auteurs du rapport, la question du développement de produits «à valeur ajoutée» est chère à l’organisme Solidarité rurale du Québec. Son président, Jacques Proulx, reprend d’ailleurs à son compte l’exemple donné par M. Pronovost: le sirop d’érable. Le Québec, qui domine haut la main les exportations du précieux liquide sucré dans le monde, gagnerait selon lui à en faire un produit doté d’une certaine image de marque, à l’instar de ce qui se fait pour l’huile d’olive dans d’autres pays.Financement essentiel

    La question du financement est évidemment le nerf de la guerre. En ce sens, l’État a un rôle essentiel à jouer pour stimuler cette créativité agroalimentaire. «Il importe de soutenir, de manière plus tangible que nous ne l’avons fait jusqu’ici, les fermes différentes qui ont décidé de répondre à l’appel des consommateurs québécois en faveur de produits différenciés à haute qualité nutritive, de mettre en valeur les terroirs, de pousser les spécialités de niche, d’accroître la production biologique, d’étendre les appellations contrôlées, etc.», expliquent les auteurs du rapport.

    Le document, fruit d’une longue réflexion alimentée par plus de 700 mémoires, une tournée des régions et diverses autres consultations, souligne d’ailleurs les retombées positives pour des régions qui en ont bien besoin. «L’accompagnement de cette agriculture dite émergente est requis au nom de l’innovation dont elle fait preuve, de sa contribution à la diversification de la production agricole et du potentiel qu’elle présente pour la revitalisation de plusieurs collectivités rurales.»

    Or, jusqu’à maintenant, constate-t-on, «le soutien aux entreprises agricoles de petite taille est largement déficient et les entrepreneurs qui veulent démarrer une telle entreprise éprouvent de grandes difficultés à la développer». Autre chose? «Les productions en émergence, celles qui peuvent contribuer à la diversification de la production agricole, sont peu soutenues par la recherche, le transfert technologique, les services-conseils, la formation et l’aide financière.»

    Le diagnostic est on ne peut plus clair et est accompagné de propositions pour revoir en profondeur le système d’aide financière aux agriculteurs, ce qui ouvrirait la porte aux petits producteurs et à l’agriculture biologique. «Une très bonne idée», affirme Benoît Girouard. Il explique qu’actuellement, «le gouvernement accorde plus de 300 millions de dollars par année aux grands producteurs de porc, de maïs, de vaches et de veaux, contre un maigre million à ceux qui se consacrent au bio. C’est un scandale».

    Le porte-parole de l’Union paysanne salue les recommandations du rapport Pronovost sur l’aide financière, estimant que de telles réformes sont essentielles. Présentement, laisse-t-il tomber, «les 1000 fermes qui font du biologique se retrouvent le plus souvent avec zéro dollar de subvention». Le rapport Pronovost relève lui aussi cette lacune: «Les producteurs biologiques, par exemple, ont dû expérimenter eux-mêmes, et à leurs frais, l’efficacité de certaines méthodes de production ou de commercialisation.»

    Résultat? Alors que la demande augmente, le nombre de fermes stagne dans la province. Or, indique M. Proulx, la demande pour des produits plus fins et de meilleure qualité ne peut qu’augmenter, et ce, au Québec comme ailleurs dans le monde.

    Retour à la terre

    Conséquence surprenante de l’arrivée massive des «baby-boomers» à l’âge de la retraite, M. Girouard croit que ceux-ci pourraient être nombreux à effectuer une sorte de retour à la terre en se lançant dans de petites productions biologiques, de produits du terroir, etc. Bref, si le gouvernement leur offre des conditions propices au démarrage de ce type d’entreprises, le porte-parole de l’Union paysanne prédit «un boom» rural très bénéfique pour le Québec.

    Afin de stimuler cet essor des campagnes, Jacques Proulx presse l’État d’assouplir la Loi sur la protection du territoire agricole, dans le sens où l’entend M. Pronovost dans son rapport: «Les règles du jeu actuelles rendent difficile l’aménagement d’un gîte du passant, d’une table champêtre, d’une école d’équitation ou d’un atelier de petite transformation alimentaire en territoire agricole, parce que ces activités ne sont pas spécifiquement agricoles.» Pourtant, à peine plus de 50 % du territoire agricole est utilisé à des fins de production agricole, et une bonne planification de l’utilisation du territoire pourrait facilement anticiper les problèmes de cohabitation que ces activités pourraient soulever, croit M. Proulx.

    Le territoire agricole pourrait par exemple servir d’assise à des activités à caractère touristique, à l’agroforesterie, à des commerces de produits du terroir, à des activités de transformation alimentaire, à la production de produits non alimentaires et d’énergie, et à plusieurs autres usages compatibles avec le maintien d’une agriculture dynamique. Cette approche devrait aussi permettre l’installation de fermes sur de petites superficies, dans la mesure où les projets envisagés sont viables.

    Reste que les changements contenus dans le rapport sont plus que majeurs, à l’image des défis qui attendent un secteur agroalimentaire bousculé, non seulement ici, mais à l’échelle planétaire. Mais il ne faut pas perdre de vue qu’il en va de ce que l’on mange jour après jour, mais aussi de la pérennité de l’environnement, qui seul peut soutenir la vie. Et dans ce domaine, le temps presse, selon ce qu’ont affirmé tous les intervenants interrogés par Le Devoir.

    Nature Québec, un regroupement d’organismes écologistes, a d’ailleurs vertement critiqué l’annonce récente faite par Laurent Lessard, le ministre de l’Agriculture, de la création de trois «chantiers» chargés de trouver des solutions aux problèmes mis en lumière dans le rapport Pronovost. «Dans sa trop courte réponse, le ministre n’aborde les questions environnementales et l’agriculture biologique que du bout des lèvres, et il continue de centrer son action autour de modèles industriels qui ne remplissent pas leurs promesses», a souligné Christian Simard, porte-parole du regroupement. Les craintes formulées par Nature Québec sont partagées par l’Union paysanne et Solidarité rurale du Québec.

    L’attaché de presse du ministre, Jack Roy, se veut toutefois rassurant. Selon lui, le rapport est, pour le ministre Lessard, une véritable source d’inspiration. Il souligne d’ailleurs que les nouvelles formes d’agriculture font partie des priorités du ministre. «Le temps du changement est venu», fait valoir M. Roy, mais ce changement devra s’opérer «étape par étape», d’autant plus qu’il met en cause plusieurs ministères. Origine du texte >>> ICI

     
  • Bernard Jean 10 h 05 mi le 30 September 2011 Permalien | Réponse
    Tags : ,   

    Rendez-vous bio 


    30 SEPTEMBRE, 1 ET 2 OCTOBRE à l’université Laval

    La présente est pour vous inviter à participer au Rendez-Vous Bio qui se déroule en fin de semaine à l’Université Laval! Il s’agit d’une fin de semaine de conférences et d’ateliers, qui s’adresse avant tout aux étudiants intéressés par l’agriculture biologique, mais qui est également ouvert au grand public pour la journée du samedi! Tous les détails figurent sur notre site web.

    http://www.rendezvousbio.qc.ca

    Nous invitons les gens à s’inscrire d’avance pour nous aider à l’organisation. Les inscriptions se font via le site web, et les personnes qui s’inscrivent avant jeudi profitent d’un prix plus bas (voire gratuitement!). Le tout se déroule au Pavillon Paul Comtois, l’accueil se fait à l’entrée principale !

    Parlez-en à vos amis et au plaisir de vous y voir !

    Toute l’équipe du Rendez-Vous Bio 2011

    Le Rendez-Vous Bio est une activité qui se tient à chaque année depuis près de 10 ans. Initiés à l’origine par des étudiants d’agronomie de l’Université Laval et du Cégep de Victoriaville, l’événement tourne depuis d’une institution d’enseignement agricole à une autre (Cégeps, ITA, Université McGill…). L’événement est d’abord et avant tout le rassemblement annuel du Réseau québécois des étudiants en agriculture biologique (RÉAB), mais c’est également le moment d’échanger et d’en apprendre plus sur les nouveautés dans le monde de l’agriculture durable. Se déroulant sur toute une fin de semaine, le Rendez-Vous Bio est meublé de conférences, d’ateliers, de moments d’échanges et d’activités artistiques de toutes sortes. Cette année, l’équipe de VIA Agro-écologie vous invite à la Faculté des Sciences de l’Agriculture et de l’Alimentation de l’Université Laval pour le Rendez-vous bio 2011.

     
  • Bernard Jean 10 h 48 mi le 26 September 2011 Permalien | Réponse
    Tags : ,   

    Projection-discussion : Solutions locales pour un désordre global Lundi 26 septembre à 18h30 


    Projection-discussion : Solutions locales pour un désordre global
    Lundi 26 septembre à 18h30

    Bibliothèque Gabrielle-Roy à Québec

    Le dérèglement écologique mondial est une conséquence directe de notre système de production et de consommation. Il en résulte une crise profonde des ressources de la Terre qui menace gravement la sécurité alimentaire de la planète. Pourtant, des solutions existent. Et toutes se fondent sur l’élaboration d’un autre type de société… Il est urgent de présenter ces alternatives qui promettent de sauver la planète et l’humanité par la même occasion ! Un film de Coline Serreau (La belle verte). (Durée: 113 min).

    La diffusion du film sera suivie d’une discussion dont l’animation sera faite en collaboration avec le Marché de Solidarité régionale de Québec.

    Quand : Lundi 26 septembre à 18h30
    Lieu : Bibliothèque Gabrielle-Roy, salle polyvalente, 3e étage
    Coût: Gratuit.
    Autres projections: Mardi 27 septembre à 14h00, Mercredi 28 septembre à 18h30 et Jeudi 29 septembre à 14h00 (sans discussion)
    Synopsis

    « Les films d’alertes et catastrophistes ont été tournés, ils ont eu leur utilité, mais maintenant il faut montrer qu’il existe des solutions, faire entendre les réflexions des paysans, des philosophes et économistes qui, tout en expliquant pourquoi notre modèle de société s’est embourbé dans la crise écologique, financière et politique que nous connaissons, inventent et expérimentent des alternatives. »
    Coline Serreau

    Dépassant la simple dénonciation d’un système agricole perverti par une volonté de croissance irraisonnée, Coline Serreau nous invite dans « Solutions locales pour un désordre global » à découvrir de nouveaux systèmes de production agricole, des pratiques qui fonctionnent, réparent les dégâts et proposent une vie et une santé améliorées en garantissant une sécurité alimentaire pérenne.

    Caméra au poing, Coline Serreau a parcouru le monde pendant près de trois ans à la rencontre de femmes et d’hommes de terrain, penseurs et économistes, qui expérimentent localement, avec succès, des solutions pour panser les plaies d’une terre trop longtemps maltraitée.

    Pierre Rabhi, Claude et Lydia Bourguignon, les paysans sans terre du Brésil, Kokopelli en Inde, M. Antoniets en Ukraine… tour à tour drôles et émouvants, combatifs et inspirés, ils sont ces résistants, ces amoureux de la terre, dont  le documentaire de Coline Serreau porte la voix.

    Cette série d’entretiens d’une incroyable concordance prouve un autre possible : une réponse concrète aux défis écologiques et plus largement à la crise de civilisation que nous traversons.


    La décroissance : une alternative socioéconomique viable?
    Dans notre monde contemporain, la croissance économique est un dogme intouchable à l’aune duquel on mesure l’état de l’économie : s’il y a croissance, elle est en santé, mais si elle diminue, on parle alors de crise économique. Or, depuis quelques années, des économistes et militants sociaux proposent que la vraie santé économique, sociale et écologique passerait d’abord par une décroissance économique. S’agit-il d’une orientation viable? À quoi ressemblerait une société qui ne serait pas fondée sur la croissance? Quelles sont les limites et les contradictions d’une telle approche?

    À Québec
    Lundi 3 octobre 2011, de 19 h à 21 h 30
    Centre culture et environnement Frédéric-Back
    870, avenue de Salaberry, salle 322-324

    avec:
    • Yves-Marie Abraham, sociologue, professeur aux HEC de Montréal;
    • François L’Italien, doctorant en sociologie à l’Université Laval et membre du Collectif d’analyse de la financiarisation du capitalisme avancé (CAFCA);
    • Louis Marion, philosophe et coauteur de Décroissance versus développement durable (Écosociété, 2011).

    Contribution suggérée : 5 $
    Renseignements: http://www.cjf.qc.ca/soirees_relations ou Agustì Nicolau: 514-387-2541, # 241 / anicolau@cjf.qc.ca

     
  • Bernard Jean 18 h 42 mi le 4 September 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , , ,   

    Un nouveau site sur l’alimentation vivante « www.vertgaia.com » 


    Vous voulez changer votre alimentation, vous voulez trouver des solutions pour perdre du poids et vivre en santé et en harmonie avec votre environnement, je vous suggère de consulter régulièrement le site « VertGaïa » animé par Sylvie Alice Royer.

    Si vous habitez la ville de Québec au Canada, venez assister aux ateliers, aux conférences, aux 5 à 7. Venez participer aux marches afghanes dans le parc des Plaines d’Abraham.

    Vous voulez changer ce monde, alors il est bien de commencer par soi et à changer son monde.

    Voir le site >>> ICI

     
  • Bernard Jean 11 h 34 mi le 29 August 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , livre vert   

    Consultation livre vert 


    Le ministère de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation est actuellement en consultation concernant le livre vert pour la création d’une politique bioalimentaire du Québec intitulé « Donner le goût du Québec ». Nous vous invitons à aller consulter le livre vert ainsi qu’à répondre à un sondage afin de donner votre opinion à son propos. En tant que mangeur de proximité, c’est une bonne occasion d’exprimer votre vision de l’agriculture et de l’alimentation afin de tenter d’influer le gouvernement dans la mise en place d’une politique plus humaine et écologique.

    Vous pouvez le consulter au http://www.mapaq.gouv.qc.ca/fr/Ministere/Livrevert/Pages/Livrevert.aspx et trouver le lien vers un sondage à son propos.


     
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