Le film complet de 2 heures: Notre poison quotidien de Marie-Monique Robin
Origine de cet article >>> ICI
Certains le savaient déja ce reportage doit être diffusé le 15 mars 2011 sur Arte. Je vous le partage en avance, profitez en et faites le tourner!
Après «Le monde selon Monsanto», la journaliste Marie-Monique Robin présente un film sur les produits chimiques présents dans nos aliments…
Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage est de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?
De la Mutualité sociale agricole (MSA) à l’OMS (Organisation mondiale de la santé), Marie-Monique Robin a recueilli les témoignages de tous les experts impliqués dans le système de règlementation, la recherche ou l’utilisation des produits chimiques. Et les a mis face à leurs contradictions: les décisions de l’OMS basées sur des études confidentielles fournies par les industriels, l’Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) qui emploie des experts également salariés dans des entreprises utilisant des produits chimiques, les listes de produits cancérigènes du Circ (Centre international de recherche sur le cancer) qui ne correspondent pas aux conclusions de certains de leurs rapports…
«La littérature scientifique est polluée par des études faites sur mesure pour l’industrie», dénonce Marie-Monique Robin. Et lorsque les autorités, Efsa ou OMS, tentent de fixer des limites de consommation des produits chimiques, « doses journalières admissibles » ou «limites maximales de résidus», la complexité de la tâche les transforme en «acrobates des limites»: «Nous sommes dans une société du risque où nous acceptons des effets collatéraux au nom du progrès», analyse Marie-Monique Robin.
Alors que l’OMS a qualifié d’«épidémie» l’augmentation du nombre de cancers dans les pays développés depuis une trentaine d’années, Marie-Monique Robin veut démontrer qu’il n’est plus possible aujourd’hui de dire que les produits chimiques présents dans l’alimentation n’y sont pas liés. En prenant notamment pour preuve les agriculteurs, victimes «à la source» des produits phytosanitaires, qui sont de plus en plus nombreux à affirmer que les cancers ou les maladies neuro-dégénératives dont ils sont victimes sont causées par les pesticides.
Liens pour Le monde selon Monsanto:
http://cequevousdevezsavoir.wordpress.com/2010/11/04/le-monde-selon-monsanto-une-enquete-de-arte-a-voir-absolument/
http://s0.videopress.com/player.swf?v=1.02
Le film complet de 2 heures ici >>>
Lorsqu’on lance une vidéo tout devient blanc, c’est normal, ça peut durer 15 à 30 secondes et la vidéo commençera. Il faut simplement patienter un peu, ces vidéos font entre 700Mo à 900Mo, alors c’est normal.
À la fin du film il est dit que ton aliment soit ta médecine et ta médecine ton aliment.
Une citation populaire d’Hyppocrate qui est la base d’une vie en santé. Manger est un besoin fondamentale. Nous devons redéfinir nos valeurs alimentaires. Revenir à l’essentiel. Dicter au compagnies ce que l’on veut voir et ce que l’on ne veut pas voir sur les tablettes des épiceries.
Le pouvoir citoyens est bien plus grand que l’on peut penser.
L’histoire l’a démontré à plusieurs reprises. Si nous arrêtons tous d’acheter leur produits empoisonnés ils n’auront pas d’autres choix que de se plier à nos exigeances alimentaires, sinon il est clair qu’ils fermeront boutique asser rapidement.
Manger bio coute il vraiment plus cher?
Non, car lorsqu’on mange bio on ne gaspille plus et on achète que ce que l’on a vraiment besoin. De plus lorsqu’on le fait pour les bonnes raisons et bien de nouvelles valeurs s’installent petit à petit dans notre vie. Faites le test. Sinon et bien acceptez les conséquences et ne pointez pas du doigt les industriels, lorsque nous acceptons de vivre dans un système basé sur le capitalisme et le consumérisme il ne faut pas s’étonner de tout cela.
Vous savez que la tentation vient de la publicité qui vous lave le cerveau à votre insu, et bien débarassez vous de votre téléviseur et revenez à l’éssentiel.
Êtes vous forcé de manger des OGM, des pesticides, de boire des sodas légers ou standards à haute teneur en glucose-fructose? Êtes vous forcé de fumer un paquet de cigarettes par semaine? Êtes vous forcé de manger du McDonald? Quelqu’un vous a t’il empêché de regarder ce documentaire de Marie-Monique Robin?
Vous connaissez la réponse et comme vous savez très bien que vous n’êtes pas forcé, demandez vous, qui est le monstre?
roger 5 h 36 mi le 14 mars 2011 Permalien |
bonjour bernard,
j’adhère de nouveau à cette manière de concevoir la vie.
après plusieurs tentatives de sensibilisation au sujet du « déraillement » de l’espèce humaine ,dans ma famille , je pense etre arrivé à un résultat.
mais comme je l’ai écrit dans un autre commentaire ,la révolte doit etre « soft ».
j’ai commencé par changer moi-meme et évidemment les questions de mes proches ont fusé immédiatement :pourquoi tu ne manges presque plus de viande ,pourquoi tu manges autant de fruits ,de légumes ,bref autant de pourquoi que de changements.
et cela a porté ses fruits , car de manière douce , la petite graine a commencé à germer dans leur cerveau : et s’il avait raison , t’as vu la forma qu’il a , il pète le feu pour ses 55 balais.
et petit à petit , ils ont commencé à m’imiter de manière cool.
je pense que c’est la meilleure méthode et quand je compare mon caddie à la sortie du magasin avec celui des autres clients et ben : y a pas photos , des fruits , des légumes , des bons produits équitables , bref un maximum de choses bonnes pour la santé et choisies avec soin. Ma compagne en est extrèmement fière.
à bientot
roger ( spécimen protégé en voie de disparition)