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  • Bernard Jean 2 h 06 mi le 14 March 2011 Permalien | Réponse
    Tags : maladie, monsanto, ,   

    Le film complet de 2 heures: Notre poison quotidien de Marie-Monique Robin 


    Origine de cet article >>> ICI

    Certains le savaient déja ce reportage doit être diffusé le 15 mars 2011 sur Arte. Je vous le partage en avance, profitez en et faites le tourner!

    Après «Le monde selon Monsanto», la journaliste Marie-Monique Robin présente un film sur les produits chimiques présents dans nos aliments…

    Elle n’hésite pas à utiliser le mot «poison» pour désigner les multiples conservateurs, colorants, anti-oxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques qui traînent dans nos assiettes. Le nouveau reportage est de Marie-Monique Robin, journaliste et réalisatrice en 2008 du documentaire Le monde selon Monsanto. Pour Notre poison quotidien, elle a enquêté sur les substances chimiques présentes dans l’alimentation. Sont-elles responsables des maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neuro-dégénératives,…)? La réglementation protège-t-elle efficacement les consommateurs?

    De la Mutualité sociale agricole (MSA) à l’OMS (Organisation mondiale de la santé), Marie-Monique Robin a recueilli les témoignages de tous les experts impliqués dans le système de règlementation, la recherche ou l’utilisation des produits chimiques. Et les a mis face à leurs contradictions: les décisions de l’OMS basées sur des études confidentielles fournies par les industriels, l’Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) qui emploie des experts également salariés dans des entreprises utilisant des produits chimiques,  les listes de produits cancérigènes du Circ (Centre international de recherche sur le cancer) qui ne correspondent pas aux conclusions de certains de leurs rapports…

    «La littérature scientifique est polluée par des études faites sur mesure pour l’industrie», dénonce Marie-Monique Robin. Et lorsque les autorités, Efsa ou OMS, tentent de fixer des limites de consommation des produits chimiques, « doses journalières admissibles » ou «limites maximales de résidus», la complexité de la tâche les transforme en «acrobates des limites»: «Nous sommes dans une société du risque où nous acceptons des effets collatéraux au nom du progrès», analyse Marie-Monique Robin.

    Alors que l’OMS a qualifié d’«épidémie» l’augmentation du nombre de cancers dans les pays développés depuis une trentaine d’années, Marie-Monique Robin veut démontrer qu’il n’est plus possible aujourd’hui de dire que les produits chimiques présents dans l’alimentation n’y sont pas liés. En prenant notamment pour preuve les agriculteurs, victimes «à la source» des produits phytosanitaires, qui sont de plus en plus nombreux à affirmer que les cancers ou les maladies neuro-dégénératives dont ils sont victimes sont causées par les pesticides.

    Liens pour Le monde selon Monsanto:

    http://cequevousdevezsavoir.wordpress.com/2010/11/04/le-monde-selon-monsanto-une-enquete-de-arte-a-voir-absolument/
    http://s0.videopress.com/player.swf?v=1.02

    Le film complet de 2 heures ici >>>

    Lorsqu’on lance une vidéo tout devient blanc, c’est normal, ça peut durer 15 à 30 secondes et la vidéo commençera. Il faut simplement patienter un peu, ces vidéos font entre 700Mo à 900Mo, alors c’est normal.

    Erreur
    Cette vidéo est suspendue pour violation des Conditions d’Utilisation

    À la fin du film il est dit que ton aliment soit ta médecine et ta médecine ton aliment.

    Une citation populaire d’Hyppocrate qui est la base d’une vie en santé. Manger est un besoin fondamentale. Nous devons redéfinir nos valeurs alimentaires. Revenir à l’essentiel. Dicter au compagnies ce que l’on veut voir et ce que l’on ne veut pas voir sur les tablettes des épiceries.

    Le pouvoir citoyens est bien plus grand que l’on peut penser.

    L’histoire l’a démontré à plusieurs reprises. Si nous arrêtons tous d’acheter leur produits empoisonnés ils n’auront pas d’autres choix que de se plier à nos exigeances alimentaires, sinon il est clair qu’ils fermeront boutique asser rapidement.

    Manger bio coute il vraiment plus cher?

    Non, car lorsqu’on mange bio on ne gaspille plus et on achète que ce que l’on a vraiment besoin. De plus lorsqu’on le fait pour les bonnes raisons et bien de nouvelles valeurs s’installent petit à petit dans notre vie. Faites le test. Sinon et bien acceptez les conséquences et ne pointez pas du doigt les industriels, lorsque nous acceptons de vivre dans un système basé sur le capitalisme et le consumérisme il ne faut pas s’étonner de tout cela.

    Vous savez que la tentation vient de la publicité qui vous lave le cerveau à votre insu, et bien débarassez vous de votre téléviseur et revenez à l’éssentiel.

    Êtes vous forcé de manger des OGM, des pesticides, de boire des sodas légers ou standards à haute teneur en glucose-fructose? Êtes vous forcé de fumer un paquet de cigarettes par semaine? Êtes vous forcé de manger du McDonald? Quelqu’un vous a t’il empêché de regarder ce documentaire de Marie-Monique Robin?

    Vous connaissez la réponse et comme vous savez très bien que vous n’êtes pas forcé, demandez vous, qui est le monstre?

    Mais là encore, je sais très bien que beaucoup regarderont ce documentaire sans changer leur habitudes car cela est un trop gros « sacrifice ». Si votre santé et le respect de l’environnement ne compte pas pour vous et bien faites le pour la force du nombre. C’est la seule façon que nous avons pour faire changer les choses. Il est utopique de penser que des systèmes régulés par les gouvernements ou bien régulés par des membres ayant des intérêts avec les corporations qui nous ont déja trahi de nombreuses fois dans le passé, changeront leur fusil d’épaule du jour au lendemain. Devenons des consommateurs responsables et avisés. Cherchons la vérité et diffusons cette information pour le bien de tous.

    Origine de cet article >>> ICI

     
    • roger 5 h 36 mi le 14 mars 2011 Permalien | Réponse

      bonjour bernard,

      j’adhère de nouveau à cette manière de concevoir la vie.

      après plusieurs tentatives de sensibilisation au sujet du « déraillement » de l’espèce humaine ,dans ma famille , je pense etre arrivé à un résultat.
      mais comme je l’ai écrit dans un autre commentaire ,la révolte doit etre « soft ».
      j’ai commencé par changer moi-meme et évidemment les questions de mes proches ont fusé immédiatement :pourquoi tu ne manges presque plus de viande ,pourquoi tu manges autant de fruits ,de légumes ,bref autant de pourquoi que de changements.
      et cela a porté ses fruits , car de manière douce , la petite graine a commencé à germer dans leur cerveau : et s’il avait raison , t’as vu la forma qu’il a , il pète le feu pour ses 55 balais.
      et petit à petit , ils ont commencé à m’imiter de manière cool.
      je pense que c’est la meilleure méthode et quand je compare mon caddie à la sortie du magasin avec celui des autres clients et ben : y a pas photos , des fruits , des légumes , des bons produits équitables , bref un maximum de choses bonnes pour la santé et choisies avec soin. Ma compagne en est extrèmement fière.

      à bientot

      roger ( spécimen protégé en voie de disparition)

  • Bernard Jean 17 h 12 mi le 13 March 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , maladie, ,   

    Message de Marie-Monique ROBIN 


    Notre poison quotidien – la recette de la tarte aux cerises

    J’ai le plaisir de vous informer que le film « Notre poison quotidien »

    > > sera diffusé le 15 mars 2011 sur ARTE, à 20 heures 40.

    > > Je commence aujourd’hui une série de papiers qui vont expliquer la démarche que j’ai suivie pour réaliser cette longue enquête qui m’a conduite dans six pays européens (France, Italie, Allemagne, Suisse, Grande Bretagne, Danemark), aux Etats Unis, au Canada, au Chili, et en Inde.

    Pourquoi cette enquête?

    Alors que je travaillais sur le passé et le présent peu glorieux de Monsanto et que je découvrais comment depuis sa création au début du XXème siècle la firme n’a cessé de cacher la haute toxicité de ses produits, je me suis posé *trois questions:
    1. Est-ce que le comportement de Monsanto constitue une *exception* dans l’histoire industrielle.
    2. Comment sont *réglementés les 100 000 molécules chimiques qui ont envahi notre environnement depuis la fin de la seconde guerre mondiale?
    3. Y-a-t il un lien entre l’exposition à ces produits chimiques et « l’épidémie de maladies chroniques évitables » que l’*Organisation mondiale de la santé OMS) a constatée surtout dans les pays dits « développés »* ( les termes que j’ai mis entre guillemets sont ceux utilisés par l’OMS)?

    Consciente que le champ d’investigation était très vaste, j’ai décidé de ne m’intéresser qu’aux seuls produits chimiques qui entrent en contact avec notre chaîne alimentaire du champ du paysan (pesticides) à l’assiette du consommateur (additifs et plastiques alimentaires).

    Avant d’entreprendre mon nouveau tour du monde, j’ai réalisé un long travail de recherche* préparatoire qui a consisté à lire de nombreux livres (une centaine, essentiellement anglophones), rapports, études scientifiques et j’ai rencontré des experts (toxicologues, biologistes, représentants des agences de réglementation), soit directement lors de rendez-vous personnels ou lors de colloques spécialisés. J’ai aussi consulté les *archives d’organisations internationales comme l’OMS ou le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) qui dépend de la première.

    Des infos http://robin.blog.arte.tv/category/notre-poison-quotidien

    Et pour illustrer et vous couper l’appétit : la « recette de la tarte aux cerises »

    Voici, la liste des produits chimiques utilisés pour la fabrication d’une tarte aux cerises de supermarché, depuis le champ de blé jusqu’à l’usine agro-alimentaire. Bon appétit!

    Histoire de la Pâte

    Pour obtenir la farine, les grains de blé ont été enrobés d’un fongicide avant semis.
    Pendant sa culture, le blé a reçu de 2 à 6 traitements de pesticides selon les années, 1 traitement aux hormones pour raccourcir les tiges afin d’éviter la verse et 1 dose importante d’engrais: 240 kg d’azote, 100 kg de phosphore et 100 kg de potassium à l’hectare, tout de même !
    Le blé moissonné, dans le silo, après récolte, les grains sont fumigés au tétrachlorure de carbone et au bisulfide de carbone, puis arrosés au chlopyriphosméthyl.

    Pour la Mouture

    La farine reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de l’acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l’amylase.
    Ensuite, il faut faire lever la pâte. La poudre levante est traitée au silicate de calcium et l’amidon est blanchi au permanganate de potassium.

    Pas de pâte sans corps gras. Ceux-ci reçoivent un antioxydant (pour éviter le rancissement) comme l’hydroxytoluène de butyl et un émulsifiant type lécithine.

    Histoire de la Crème

    La crème sur laquelle vont reposer les cerises se fait avec des œufs, du lait, et même de l’huile.

    • Les œufs proviennent d’un élevage industriel où les poules sont nourries avec des granulés contenant des :
    • antioxydants (E300 à E311),
    • arômes,
    • émulsifiants: alginate de calcium,
    • conservateurs : acide formique,
    • colorants : capsanthéine,
    • agents liants: lignosulfate
    • et enfin des appétants : glutamate de sodium, pour qu’elles puissent avaler tout ça.

    Elles reçoivent aussi des antibiotiques, bien entendu, et surtout des anticoccidiens. Les œufs, avant séchage, reçoivent des émulsifiants, des agents actifs de surface comme l’acide cholique et une enzyme pour retirer le sucre du blanc.

    • Le lait provient d’un élevage industriel où les vaches reçoivent une alimentation riche en produits chimiques :
    • antibiotiques : flavophospholipol (F712) ou monensin-sodium (F714)
    • antioxydants : ascorbate de sodium (F301), alphatocophérol de synthèse (F307), buthyl-hydrox-toluène (F321) ou éthoxyquine (E324),
    • émulsifiants : alginate de propylène-glycol (F405) ou polyéthylène glycol (F496),
    • conservateurs : acide acétique, acide tartrique (E334), acide propionique (F280) et ses dérivés (F281 à E284),
    • composés azotés chimiques : urée (F801) ou diurédo-isobutane (F803),
    • agents liants : stéarate de sodium,
    • colorants : F131 ou F142
    • et enfin des appétants pour que les vaches puissent manger tout ça, comme le glutamate de sodium.
    • Les huiles, quant à elles, ont été :
    • extraites par des solvants comme l’acétone,
    • puis raffinées par action de l’acide sulfurique,
    • puis lavage à chaud,
    • neutralisées à la lessive de soude,
    • décolorées au bioxyde de chlore ou au bichromate de potassium
    • et désodorisées à 160°C avec du chlorure de zinc.
    • Enfin, elles ont été recolorées à la curcumine.

    La crème de la tarte, une fois fabriquée, reçoit des arômes et des stabilisants comme l’acide alginique (E400).

    Histoire des Cerises

    (complété d’après des éléments de « Aromathérapie » Jean Valnet 1990, Maloine)

    Les cerisiers ont reçu pendant la saison entre 10 et 40 traitements de pesticides selon les années.

    • Les cerises sont :
    • Décolorées à l’anhydride sulfureux
    • et recolorées de façon uniforme à l’acide carminique ou à l’érythrosine.
    • Elles sont plongées dans une saumure contenant du sulfate d’aluminium
    • et à la sortie, reçoivent un conservateur comme le sorbate de potassium (E202).

    Elles sont enfin enduites d’un sucre qui provient de betteraves qui, comme les blés, ont reçu leur bonne dose d’engrais et de pesticides. Ce sucre est extrait par :

    • défécation à la chaux et à l’anhydride sulfureux,
    • puis décoloré au sulfoxylate de sodium,
    • puis raffiné au norite et à l’alcool isopropylique.
    • Il est enfin azuré au bleu anthraquinonique.

    Par ces traitements, les cerises ayant donc perdu tout leur goût, il est nécessaire d’ajouter un parfum artificiel alimentaire. Ce parfum est une recréation synthétique du goût et de l’odeur à partir d’éléments artificiels issus de la chimie du pétrole aux prix de revient extrêmement faibles- par économie d’échelle – en comparaison du parfum naturel de fruit.

    L’exemple développé est ici la cerise, mais de tels composés servent à recréer aussi bien des parfums artificiels de fraise, d’ananas, de framboise, de miel, de caramel, de muguet.. etc.

    • Le parfum artificiel de cerise se compose donc des molécules synthétiques (donc à la stéréochimie inversée) suivantes :
    • Acétate d’éthyle
    • Acéthyl méthylcarbinol.
    • Butyrate d’isoamyle
    • Caproate d’éthyle
    • Caprylate d’isoamyle
    • Caprate d’ethyle
    • Butyrate de terpenyle
    • Géraniol
    • Butyrate de geranyl – acetylacetate d’ethyle
    • Héptanoate d’éthyle
    • Aldéhyde benzoïque
    • Aldéhyde p-toluique
    • Vanilline
    • Essence artificielle d’amande amère SAP
    • Essence artificielle de girofle Bourbon
    • Essence artificielle de cannelle Ceylan
    • Essence de lie de vin.

    Ce texte, consacré à « la tarte aux cerises de supermarché » a été rédigé par Claude Bourguignon, un ingénieur agronome qui travailla à l’INRA, avant de quitter l’honorable maison pour cause de désaccord. Spécialiste de la microbiologie des sols, c’est lui qui démontra, pour la première fois, que les sols cultivés à grand renfort d’engrais chimiques et de pesticides, étaient biologiquement … morts. Tout ce qui fait la vie, et donc la qualité des terres, à savoir les populations microbiennes et fongiques, est détruit par les produits chimiques, conduisant à une perte des nutriments et à l’érosion des sols. Membre de la Société américaine de microbiologie – En France, il n’ y a plus aucune chaire de microbiologie des sols, y compris à l’INRA!

    Claude Bourguignon a créé avec sa femme le Laboratoire d’analyse microbiologique des sols, qui intervient dans de nombreux pays, pour aider les agriculteurs à retrouver la fertilité de leurs sols.

     
    • roger 5 h 03 mi le 14 mars 2011 Permalien | Réponse

      « NO COMMENT » et un grand merci de tout coeur à marie-monique robin pour son remarquable travail.
      c’est notre devoir de citoyen de la soutenir et de l’aider dans sa démarche.
      mais la révolution doit etre « soft » ,et sans animosité aucune à la manière de « GANDHI ».
      sinon on prend la place des « bourreaux ».

      à bientot et c’est toujours un plaisir de lire vos articles , ils m’ont déjà beaucoup appris.

      votre blog est d’une grande valeur.

      roger (specimen appartenant à une espèce menacée)

  • Bernard Jean 15 h 50 mi le 24 February 2011 Permalien | Réponse
    Tags : maladie, , ,   

    La maladie a t’elle un sens ? 


    La maladie a-t-elle un sens ? Voilà une question qui nous concerne tous. Pourtant la médecine ne se la pose plus, en soignant le corps sans se soucier de l’intégralité de la personne humaine. Privilégiant la compréhension des détails, la médecine conventionnelle oublie les liens qui unissent les patients au monde dans lequel ils vivent.

     
    • Elissadenoch 4 h 29 mi le 4 mars 2011 Permalien | Réponse

      Un grand merci pour ce partage… Je me permets de mettre cette vidéo sur mon blog, mais je n’hésite pas à mettre un lien vers votre blog dans l’article (par la suite sur ma page)… Je l’apprécie énormément, il est vraiment intéressant et enrichissant… Merci !

  • Bernard Jean 22 h 12 mi le 12 February 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , , maladie, , porc, ,   

    H1N1: pourquoi c’est tombé sur les Mexicains ? 


    Un excellent reportage de la télévision suisse romande « tsr.ch ». La durée du reportage est de 43 minutes.

    Personne ne sait vraiment la tête qu’il a, mais tout le monde en parle depuis neuf mois, c’est le H1N1. Faut-il se faire vacciner ou pas, qui fait partie des groupes à risque, a-t-on acheté trop de doses ?

    Comment vivent les mexicains avec sur leur territoire les plus gros élevages de porcs du monde pour fournir le marché des USA ? Comment les contrôles sanitaires sont effectués ? Pourquoi les nappes phréatiques sont polluées ?

    De nombreuses questions pour les journalistes suisses, avec des réponses éloquentes dans un reportage percutant.

    Voir le reportage du début à la fin, pour comprendre la logique des grosses entreprises multinationales.

    Prendre soin de la Terre, c’est prendre soin de Soi

     
  • Bernard Jean 18 h 31 mi le 23 November 2009 Permalien | Réponse
    Tags : , mal, maladie   

    La maladie est un outil de croissance 


    « Si quelqu’un me guérit et me retire mon mal, j’entends aussi qu’il me hisse au niveau de conscience que j’aurais atteint si j’avais moi-même résolu ce que ce mal devait m’apprendre. Sinon, s’il me laisse dans le même état de conscience après m’avoir retiré mon mal, il me vole l’outil de ma croissance que peut être cette maladie. »

    Yvan Amar (1950-1999)

    Fondateur des Editions du Relié

    Yvan Amar (1950-1999) est un philosophe novateur et est considéré comme un des sages qui ont éclairé la fin du XXéme siècle.
    Il a publié aux Editions du Relié : Les nourritures silencieuses, La pensée comme voie d’éveil et L’Obligation de conscience ainsi qu’un guide pratique avec CD audio, La conscience corporelle. Il a publié chez Albin Michel, L’effort et la grâce, Les dix commandements intérieurs, et le Le maître des béatitudes.
    Marie de Hennezel lui a consacré un livre entier : Mourir les yeux ouverts, paru en Mars 2005 aux Editions Albin Michel et réédité fin 2007 chez Pocket.

     
    • Olivier 6 h 36 mi le 22 mars 2015 Permalien | Réponse

      Bonjour,

      Je trouve la citation de Yvan Amar publiée sur cette page très intéressante. Merci de l’avoir publiée.
      J’aimerais pouvoir m’y référer, dans un texte scientifique, et j’aimerais en connaître la référence précise (au moins savoir de quel livre elle est issue, sinon la page également). Le sauriez-vous ? Pourriez-vous me communiquer cette information ?

      En vous remerciant de votre attention,
      en vous souhaitant un joyeux printemps,
      avec mes meilleures salutations,

      Olivier

    • Bernard Jean 7 h 21 mi le 22 mars 2015 Permalien | Réponse

      Bonjour,
      Je pense que cette citation est dans le livre de Yvan Amar : La conscience corporelle aux éditions : Les éditions du Relié. Mais ceci est à vérifier.
      Cordialement,
      Bernard

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