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  • Bernard Jean 10 h 26 mi le 22 April 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , bateau, eau, HHO, hydrogène, moteur   

    Moteurs à eau 


    Un bateau à moteur véritablement écolo, dont le seul carburant serait l’eau de mer. Si cela est vrai, c’est une révolution au niveau des transports. Il suffit alors de faire la même chose pour les voitures et mettre de l’eau à la place de l’essence… Génie ou savant fou ? Révolution ou délire motonautique ? L’avenir nous le dira. Dossier à suivre car le bateau sera présenté prochainement en Bretagne. Mais la plaquette publicitaire est différente des articles de la presse, qui annonce une autonomie illimitée. Le carburant ne serait pas de l’eau mais de l’essence super mais avec une économie de 70%, ce qui est très étonnant car actuellement sur les voitures la réduction obtenue par un générateur HHO est au maximum de 50%. Tout ceci n’est pas très clair :

    Première information du fabricant :
    Au niveau de la motorisation, le moteur « MERCRUISER » a été choisi pour sa fiabilité. Ce groupe propulseur reçoit une préparation permettant de fonctionner au super avec générateur hydrogène nouvelle génération. Développé par nos soins, il permet une économie d’environ 70 % ce qui est une avancée importante pour le respect de l’environnement dans le monde du nautisme. Réservoir d’essence de 220 litres. http://data6.blog.de/media/325/5166325_522daf3953_d.pdf
    Deuxième information du fabricant :
    Aucun rejet de Co2 et particules seul de la vapeur d’eau d’eau sortant de l’échappement. Motorisation Mercruiser avec adaptation du kits 100 % hydrogène, pas de réservoir sous pression, aucun risque d’inflammation, production en direct pendant la navigation. Utilisation de l’eau de mer comme carburant, plus de passage à la pompe laborieux et exorbitant. Motorisation hydrogène autonome sans réservoir et sans recharge, pas de rejet de CO2 , pas de passage à la pompe.  http://www.luxury-sea.fr

    Voici pour compléter ce dossier des infos concernant le développement de l’hydrogène comme carburant :

    Le moteur à eau est-il une arnaque ?
    Chalutier à hydrogène : la révolution est en marche
    L’Alternative Hydrogène, une solution qui dérange
    Kit hydrogène pour camion
    Le moteur à hydrogène non-stocké
    Laboratoire Leclerc

    Deux systèmes font l’objet d’une attention particulière par le Laboratoire Lecler : le générateur électrique de Tesla et, dans une moindre mesure, le moteur à hydrogène non stocké.
    Générateur électrique de Tesla :
    La réinvention de ce « nouveau » type de générateur est en cours (Tesla l’avait inventé dans les 1930). Compte-tenu du précédent et de la protection illusoire par brevet, ce système ne sera pas breveté.
    Moteur à hydrogène non stocké :
    Malgré son intérêt évident, l’industrialisation du moteur à hydrogène non stocké semble incertaine car il remet en question certains intérêts économiques. Ainsi, malgré l’appui de diverses personnalités politiques et la volonté affichée par le Gouvernement, notamment par le biais du Grenelle de l’Environnement, il n’y a eu aucune suite. Un document de présentation (PDF 1,32 Mo) de cette invention a pourtant été transmis, en Septembre 2007, par Monsieur Le Sénateur de La Manche à Monsieur Le Ministre de l’Ecologie.

    Il n’y avait eu aucun résultat avec le Gouvernement précédent, contacté en 2005.
    La demande de brevet est consultable ici : demande de brevet finale (PDF 213 Ko). Ceux qui le souhaitent peuvent également consulter la demande initiale (PDF 119 Ko).

    Luxury, un bateau rapide et écolo construit à Quimperlé, motorisation hydrogène

    0212 mars 2011. Le Télégramme.com

    Un bateau à moteur véritablement écolo, dont le seul carburant serait l’eau de mer, vous y croyez, vous? Angi Le Floch, oui. Puisqu’il en est le concepteur et producteur et promet les premiers modèles pour l’été.

    Dans sa robe noire luisante, il fait penser à un requin, dont il a également le ventre blanc. Avec une motorisation d’une puissance annoncée de 500 chevaux pour un poids de 1,3 tonne, une vitesse maximum de 70 noeuds (45 pour la vitesse de croisière), le premier prototype du Luxury MIG675 a tout pour séduire l’amateur de bateau «off shore».

    Autonome en énergie et non polluant 

    Tout et même plus que la concurrence: «La grande innovation réside dans l’absence de réservoir d’essence. J’ai développé un générateur autonome de 50.000 volts qui produit, à partir de l’eau de mer qu’il pompe, l’hydrogène qui alimente le moteur. Il n’y a aucun rejet d’oxyde de carbone ni de résidus polluants et on n’a plus besoin de passer à la pompe, une autonomie illimitée». En ces temps où le prix du pétrole flambe, l’argument ne peut laisser personne insensible. Et les défenseurs du développement durable et de l’environnement ne devraient rien trouver à y redire.

    Constructeur autodidacte 

    Angi Le Floch, 28 ans, gérant de la société Luxury, en cour de création, se définit comme un autodidacte. Bac pro de chaudronnier puis études de commerce ne devaient pas en faire un constructeur naval. Le jeune Quimperlois commence à travailler dans l’entreprise paternelle de chaudronnerie industrielle, comme dessinateur. «J’ai travaillé avec Guy Fillon, un spécialiste de voiliers tout alu. J’ai participé à l’élaboration d’un bateau qui a fait la Route du Rhum». C’est alors que mûrit son projet personnel. «Comme je ne connais pas la voile, j’ai plutôt été intéressé par les bateaux à moteur». Et le chaudronnier qu’il est opte pour l’aluminium, «qui offre l’avantage d’un gain de poids par rapport à la fibre, pour une résistance supérieure».

    Ligne séduisante 

    Il va d’abord se concentrer sur la ligne, «je voulais une forme originale, qui tranche avec la production actuelle. Et de ce côté, j’ai eu de bons retours». Quant à la motorisation, «au départ, j’intégrais un moteur standard mer cruiser 350 mag compressé que j’ai ensuite fait évoluer. J’ai créé le générateur autonome, dont le dossier de brevet est en cours». Le bateau est équipé de matériel domotique tactile haute technologie «comme dans les berlines haut de gamme actuelles». Long de 6,75 m, le bateau accepte cinq passagers et comporte une cabine de proue pouvant accueillir trois personnes, pour une ou deux nuits.

    250.000 € l’unité 

    La coque fabriquée dans l’entreprise paternelle, les équipements fournis par des entreprises bretonnes, Angi Le Floch se réserve la fabrication du générateur. Il prévoit la sortie des premiers modèles à la vente dans quatre mois. À 250.000 € l’exemplaire, même remorque comprise, ce n’est pas le petit pêche promenade mais un bateau de luxe qui devra trouver son créneau. Quant à la pression du lobby pétrolier, il ne la craint pas. «C’est pour cela que je me cantonne au bateau de petite série».

    http://luxury-sea.fr/
    parrution ouest france Quimperlé

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    Origine du texte : ledevoir.com

    Les moteurs aiment être dopés à l’eau ou à l’hydrogène

    L’industrie automobile tarde à utiliser des technologies éprouvées, plus propres et plus efficaces.

    Louis-Gilles Francoeur   12 mars 2008

    Deux avions de chasse Spitfire survolant la campagne anglaise. Durant la Deuxième Guerre mondiale, les pilotes de ces appareils emportaient de l’eau qu’ils injectaient dans le moteur pour en augmenter soudainement la puissance afin d’échapper aux

    Photo : Agence Reuters
    Deux avions de chasse Spitfire survolant la campagne anglaise. Durant la Deuxième Guerre mondiale, les pilotes de ces appareils emportaient de l’eau qu’ils injectaient dans le moteur pour en augmenter soudainement la puissance afin d’échapper aux allemands.

    Antoine Gillier est un paisible agriculteur de l’Allier, en France, qui ne se doutait pas que ses talents de bricoleur allaient le rendre célèbre à l’échelle internationale. Agriculteur biologique, il pestait depuis des années, raconte-t-il au Devoir, chaque fois qu’il voyait son moteur diesel cracher ses épaisses fumées. Jusqu’au jour où il est tombé sur un devis de Paul Pantone, cet ingénieur américain qui a donné son nom à une invention offerte gratuitement à la communauté internationale sur son site Internet en 1999 pour que son moteur à essence, dopé à l’eau, finisse par s’imposer à l’industrie automobile. Ce n’est pas d’hier que des inventeurs utilisent de l’eau pour augmenter la performance des moteurs à essence, aussi paradoxal que cela puisse paraître. Durant la Seconde Guerre mondiale, les Britanniques dotaient leurs avions de chasse Spitfire d’un petit réservoir rempli d’eau pour disparaître littéralement de la mire des Messerschmitts allemands, équipés de moteurs à réaction plus rapides. L’eau, injectée directement sur les pistons, portait le régime du moteur à des sommets invraisemblables, ce qui imposait souvent de refaire le moteur au retour. Mais le pilote était sauf. Quand les premiers chasseurs américains ont tenté de s’envoler des porte-avions, la piste de métal était décidément trop courte. Les F4U Corsair ont alors été équipés d’injecteurs d’eau, ce qui faisait passer instantanément leur puissance de 1850 CV à 2400 CV, le temps d’un envol!

    De nombreux systèmes ont été utilisés depuis la fin du XIXe siècle pour ajouter aux moteurs thermiques la puissance de l’eau et celle de la chaleur perdue dans les échappements.

    Charles Nelson Pogue, un inventeur canadien, a obtenu un brevet en 1935 qui atomisait littéralement l’essence en la surchauffant avec les gaz d’échappement, ce qui permettait de remplacer tout simplement le carburateur classique. Il prétendait pouvoir faire passer ainsi la consommation d’essence autour de 200 milles au gallon en alimentant le moteur avec une vapeur d’essence plus fine que les gouttelettes des injecteurs actuels. Son idée, très juste, vient d’être reprise par la société Fuel Vapor de Vancouver, qui se prépare à commercialiser la Alé, une voiture trois roues capable de grimper à 100 km/h en cinq secondes avec une consommation de 2,5 litres par 100 km et une réduction de 75 % des émissions de CO2!

    Le «réacteur» Pantone

    Même si des centaines de brevets proposent des façons d’utiliser de l’eau dans des moteurs à essence, c’est l’ingénieur Paul Pantone qui a vraiment proposé en 1998 un premier système adaptable et relativement simple à bricoler. Un réservoir de cinq litres situé sous le capot, appelé le «bulleur», contient un mélange d’essence et d’eau dans lequel sont injectés une partie des gaz de l’échappement, qui portent ce liquide au point d’ébullition. La pression générée par cette vapeur mixte la pousse dans une tubulure dirigée vers l’admission d’air du moteur. Mais avant d’y arriver, les vapeurs d’eau et d’air passent dans un tube surchauffé par les gaz d’échappement dans un montage qui ionise peut-être les gaz en question; personne ne sait vraiment faute de véritables études en laboratoire.Il en résulte, explique Pierre Langlois, un physicien et consultant qui va publier à l’été chez Multimondes un livre intitulé Rouler sans pétrole, qu’une partie de l’énergie perdue dans l’échappement est récupérée par les gaz surchauffés qui sont aspirés par le moteur, d’où un gain certain d’énergie.Le devis de Pantone, qui a fait le tour du monde sur Internet, a émoustillé les clubs de bricoleurs de la planète alors que les bureaux d’ingénieurs des constructeurs automobiles restaient de glace. C’est alors qu’Antoine Gillier, du fond de l’Allier, s’inspirant des essais d’autres inventeurs de son pays, décide d’adapter le système Pantone à son tracteur diesel, ce qui ne s’était pas encore fait. Il a d’abord éliminé le mélange eau-essence proposé par Pantone pour se contenter d’un «bulleur» d’eau, laquelle est surchauffée par la chaleur de l’échappement. La vapeur ainsi produite est injectée dans l’admission d’air du diesel tout simplement.Ce système éminemment simplifié rend pourtant le moteur diesel plus puissant, plus tranquille, moins polluant et énormément moins énergivore. Aujourd’hui, près de 1000 tracteurs de ferme ont été équipés en France du système «G-Pantone» (pour Gillier-Pantone), qu’on vient voir de partout dans le monde, ce qui embarrasse fort ce paisible paysan, d’abord préoccupé de ses champs. Mais si son système s’adapte particulièrement bien aux vieux diesels, il est difficile à adapter aux systèmes contrôlés par ordinateur d’aujourd’hui, qui ne comprennent pas ce qui se passe quand on leur envoie des gaz trop propres parce que dopés à l’eau! Ils réclament alors plus de pétrole pour les pistons, qu’ils estiment sous-alimentés.

    De sa ferme, Antoine Gillier nous raconte qu’il a obtenu une réduction de 60 % de sa consommation de pétrole, «ce qui soulage beaucoup le budget», et que le rendement énergétique est plus élevé quand son moteur dopé à l’eau travaille plus fort, sans doute en raison de la hausse de température dans l’échappement. La plupart des agriculteurs-bricoleurs qui utilisent son système obtiennent en moyenne des réductions de consommation de 30 à 40 %, dit-il.

    La chaîne TFI a testé — le reportage est disponible sur YouTube — une petite voiture diesel dopée à l’eau avec le système G-Pantone. Les émissions de CO2 (le gaz à effet de serre de référence) chutent alors de 8,6 % à 0,1 %, alors que les oxydes d’azote passent de 348 parties par million à 168 ppm et que les hydrocarbures chutent de 3 à 1 ppm, avec une consommation d’essence réduite d’environ 20 %.

    Un mystère

    Même pour un physicien comme Pierre Langlois, ce qui se passe dans une chambre de combustion dopée à l’eau demeure une inconnue, d’autant plus outrageante, dit-il, que l’industrie automobile n’approfondit pas ces résultats obtenus par ces bricoleurs, que l’on snobe parce que leurs idées ne viennent pas d’ingénieurs ou de laboratoires patentés.

    Au Québec, le professeur Yvon Tremblay, du Cégep d’Alma, qui vient d’écrire un livre sur les moteurs de tracteurs, a décidé de soumettre le système G-Pantone à une série de tests scientifiques afin d’élucider quels sont les paramètres déterminants de cette technologie pour mieux la domestiquer.

    Plusieurs avancent l’hypothèse que la vapeur d’eau qui dope les moteurs est fragmentée sous la pression et la chaleur extrêmes des chambres de combustion. De l’hydrogène et de l’oxygène à l’état pur s’ajouteraient alors au carburant, augmentant la qualité, l’efficacité et la puissance de l’explosion.

    On sait depuis longtemps qu’il suffit d’ajouter seulement 1 % d’hydrogène dans un moteur thermique en fonctionnement pour augmenter considérablement sa performance, un procédé que plusieurs sociétés, explique Pierre Langlois, commercialisent depuis des années de différentes manières. Méconnus du grand public, ces procédés de «dopage à l’hydrogène» donnent des résultats très semblables à ceux du moteur G-Pantone, dopé pourtant simplement à l’eau.

    Le MIT a mis au point dans les années 90 un système qui produit de l’hydrogène à bord d’un véhicule par l’utilisation d’un arc électrique de faible puissance alimenté par l’alternateur. Ce système décompose un mélange d’eau et de carburant. Ce petit appareil, baptisé Plasmatron, ne consomme que 100 watts. Il permet, grâce aux atomes d’hydrogène injectés dans le moteur, d’en réduire jusqu’à 30 % la consommation et d’éliminer 80 % des oxydes d’azote, sans catalyseur.

    Le Los Alamos National Laboratory des États-Unis arrive à un résultat similaire par une décharge de courant dans le carburant un peu avant qu’il se présente aux injecteurs, qui l’introduisent dans le moteur. Il se produit alors un minuscule plasma qui atomise littéralement l’essence en plus de dégager des molécules d’hydrogène. Près d’une dizaine de sociétés commercialisent déjà d’autres systèmes de dopage «embarqués», qui produisent de l’hydrogène par électrolyse de l’eau, assurant des économies de 10 à 20 % de carburant à des centaines de poids-lourds nord-américains et une réduction équivalente de leurs émissions de GES.

    Personne ne peut expliquer pourquoi ces dispositifs éprouvés ne se retrouvent pas sur des voitures de série.

    «Deux grands facteurs expliquent le peu d’intérêt des constructeurs automobiles pour ces solutions qui pourraient avantageusement remplacer les convertisseurs catalytiques et réduire substantiellement la consommation de carburant, explique le physicien Langlois. D’abord, ils boudent en général les idées des bricoleurs, même de génie, alors qu’ils devraient être les premiers à reprendre ces idées, à les tester et à en tirer des équipements plus performants. Mais on ne peut pas non plus éliminer l’idée de la vieille collusion avec l’industrie pétrolière, qui remonte à l’association entre GM, Standard Oil et Firestone dans les années 30, lesquels avaient été condamnés pour avoir fait disparaître les tramways des villes pour les remplacer par de gros autobus polluants. Les constructeurs font toujours de plus gros bénéfices avec la vente de gros moteurs et l’industrie pétrolière y trouve évidemment son compte!»

     
    • le floch 3 h 44 mi le 12 août 2014 Permalien | Réponse

      voir le patent n°WO2014091094 A1

    • CRUZ Francis TEL 06 18 98 12 08 email : franciscruz.nja@gmail.com 5 h 45 mi le 14 octobre 2015 Permalien | Réponse

      même si l’hydrogène ne peut du jour au lendemain remplacer le nucléaire, toutes les énergies renouvelables le solaire, l’éolien, la marée motrice, la biomasse la méthanisation des déchets et des algues, la géothermie doivent se développer pour produire les besoins de la planète et l’autonomie énergétique des nations pour supprimer totalement le pétrole et ses dérivés qui génèrent tant de pollution tant de conflits tant de malheurs, tant de maladies qui finiront par détruire le monde. UTILISONS LES FORCES DE LA NATURE avant de chercher à la dominer par des solutions artificielles

      le nucléaire est d’autant plus dangereux qu’il n’existe pas de solution pour éradiquer totalement la radioactivité des déchets nucléaires que nous abandonnant lâchement aux générations futures, A NOS ENFANTS !!! alors essayons au moins de limiter la pollution et quoi de plus naturel que l’eau, le soleil et le vent.pour produire de l’électricité propre.?

  • Bernard Jean 3 h 17 mi le 31 March 2011 Permalien | Réponse
    Tags : eau, ,   

    Cérémonie de l’eau avec le Dr. Masaru Emoto 


    « L’eau de la centrale nucléaire de Fukushima, nous sommes désolés de vous faire souffrir. S’il vous plaît pardonnez-nous. Nous vous remercions, et nous vous aimons.”

    Voici l’email reçu. Il n’a rien de personnel, il est publié tel quel.

    Pour toutes les personnes autour du monde. S’il vous plaît envoyez vos prières d’amour et de gratitude à l’eau des centrales nucléaires à Fukushima, Japon!

    Après le séisme de magnitude 9 massive et le surréaliste tsunami, plus de 10.000 personnes sont toujours portées disparues … même maintenant … 16 jours ont passé déjà depuis la catastrophe. Le pire est que l’eau dans les réacteurs des centrales nucléaires Fukushima a commencé à fuir, et à contaminer l’océan, l’air et les molécules d’eau des zones environnantes.

    La sagesse humaine n’a pas été en mesure de faire beaucoup pour résoudre le problème, mais nous essayons seulement de refroidir la colère des matières radioactives dans les réacteurs en évacuant l’eau à leur disposition.

    N’y a-t-il vraiment rien d’autre à faire? Je pense que si ! Pendant plus de vingt années de recherche à mesurer le hado et la technologie des cristaux d’eau photographique, j’ai été témoin de ce que l’eau peut devenir positive quand elle reçoit la vibration pure de la prière de l’homme, peu importe comment elle est loin. La formule de l’énergie d’Albert Einstein, E = MC2 signifie en réalité que de l’énergie = nombre de personnes et de la place de la conscience des gens.

    Il est maintenant temps de comprendre le vrai sens. Joignons-nous tous la cérémonie de prière en tant que citoyens de la planète Terre. Je voudrais demander à toutes les personnes, pas seulement au Japon, mais partout dans le monde s’il vous plaît de nous aider à trouver une issue à la crise de cette planète!

    La procédure de la prière est la suivante.

    Nom de la cérémonie :

    « Envoyons nos pensées d’amour et de gratitude à toutes les eaux dans les centrales nucléaires à Fukushima »

    Jour et heure :

    31 mars 2011 (jeudi)

    12:00 midi dans chaque fuseau horaire

    S’il vous plaît dire la phrase suivante :

    « L’eau de la centrale nucléaire de Fukushima, nous sommes désolés de vous faire souffrir. S’il vous plaît pardonnez-nous.

    Nous vous remercions, et nous vous aimons.” S’il vous plaît dites à haute voix ou dans votre tête. Répétez trois fois en joignant les mains dans une position de prière. S’il vous plaît offrez votre prière sincère.

    Merci beaucoup du fond du cœur.

    Avec amour et de gratitude,

    Masaru Emoto

    Messager de l’eau

     
    • roger 7 h 47 mi le 31 mars 2011 Permalien | Réponse

      bonjour ,

      il s’agit de la formule magique du HO’OPONOPONO ( mot hawaien qui signifie corriger , rectifier)

      je suis désolé , je te demande de m’aider à me pardonner , je te remercie et je t’aime

      « divinité , nettoie en moi ce qui contribue à ce problème »

      mes mémoires je vous aime.

      je vous remercie de l’opportunité que vous me donnez de vous libérer; et de me libérer.

      « créateur divin, père , mère , fils tous en un…

      si moi , ma famille, mes parents , et ancetres

      ont offensé , ta famille ,tes parents , et tes ancetres avec

      des pensées , des mots , faits et actions

      depuis le début de notre création jusqu’à aujourd’hui,

      nous demandons pardon…

      fais que soit nettoyé , purifié, libéré , coupe toutes les

      mémoires ,blocages , énergies , et vibrations négatives

      et ransmute ces énergies indésirables en lumière pure…

      et qu’il en soit ainsi.

  • Bernard Jean 12 h 13 mi le 7 October 2010 Permalien | Réponse
    Tags : automne, eau   

    L’eau 


    Le moment présent (l’automne au bord du lac)

     
  • Bernard Jean 13 h 13 mi le 13 September 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , épuration, eau, lagunage   

    Le lagunage ou la phytoépuration 


    Le lagunage est une technique naturelle d’épuration des eaux basée sur la déseutrophisation. Il s’inspire des systèmes naturels d’épuration et filtration par des micro-organismes, des algues et des plantes aquatiques. Parfois, on fait aussi ruisseler l’eau au travers des racines de plantations d’arbres, éventuellement des saules traités en taillis coupés en courte rotation (Taillis à courte rotation). Origine du texte >>>

    Description

    Le lagunage consiste à établir un écoulement lent par gravité des eaux usées dans plusieurs bassins de rétention peu profonds en éliminant le risque d’infiltration dans les eaux souterraines.

    L’eau usée arrive d’abord dans les prétraitements : dégraisseurs, déshuileurs, dessableurs, etc. qui, comme leur noms l’indiquent, sont chargés d’éliminer les particules solides et les graisses.

    Les premiers bassins sont des bassins à micro-organisme, où est dégradée la matière organique (MO) contenue dans les eaux usées. L’eau transite ensuite dans des bassins moins profonds, à macrophytes (iris, roseaux, joncs…). Ceux-ci absorbent les éléments minéraux issus de la dégradation de la matière organique pour leur croissance.

    Cette technique présente la caractéristique de nécessiter une surface importante, entre 15 et 20 m² pour un volume de 50 m³ d’eau, voilà pourquoi on lui attribue la propriété extensive. Le temps de séjour doit être élevé (minimum 30 jours, voire plus). Les boues se concentrant sur le fond et intervenant dans la biologie du système ne doivent être évacuées qu’après quelques 5 à 10 années.

    Les lagunes de terre, pourvues de talus ayant une pente d’un tiers. Si une protection contre l’infiltration dans les eaux souterraines est nécessaire, les fonds et les remblais doivent être colmatés. Elles sont généralement rectangulaires.

    L’eau qui sort de ce système est conforme aux normes de la directive 91-271 du 21 mai 1999 concernant les paramètres d’épuration : DCO, DBO, MeS, Pt, Nk…

    Entretien

    Pour éviter toute contamination de l’eau, il faut faucarder les macrophytes chaque année, en automne. C’est l’un des principaux poste d’entretien des stations de lagunage. Les autres sont : un curage tous les 5 à 10 ans, un nettoyage hebdomadaire des pré-traitements, une tonte régulière des abords, et une surveillance hebdomadaire de l’ensemble de la station.

     
  • Bernard Jean 17 h 38 mi le 5 September 2010 Permalien | Réponse
    Tags : eau, , toilette sèche   

    Toilettes sèches en Suède 


    Afin de limiter les consommations en eau, la commune de Tanum (12.000 habitants), en Suède, a interdit depuis janvier 2002, l’installation de toilettes classiques dans la commune. Pour les nouvelles constructions et rénovations, il y a obligation d’opter soit pour des toilettes sèches, soit pour des toilettes à séparation urine-matière fécale.
    Depuis 3 ans, des centaines de maisons sont désormais équipées par ces nouveaux WC respectueux de l’environnement, ainsi que la bibliothèque municipale et le lycée local. Ceux qui ont des toilettes à séparation voient leurs urines collectées par des agriculteurs qui l’utilisent ensuite comme engrais. La matière solide est soit évacuée, soit compostée. D’autres villes de Suède sont actuellement en train d’étudier une réglementation similaire.

    Les toilettes sèches c’est quoi ? Le principe est simple. Une toilette sèche se différencie d’une toilette à chasse d’eau par le simple fait qu’elle n’utilise pas d’eau. A la place, on recouvre les déjections d’une litière sèche généralement carbonée. Tout ce qui est disponible localement convient : sciure de bois, copeaux, paille ou foin séché et broyé, chanvre en paillettes, balle d’avoine… On les appelle aussi toilettes à compost car on valorise ensuite le potentiel fertilisant des urines et des matières fécales. La présence d’une base carbonée comme la sciure évite le développement d’odeurs désagréables. Certains esprits inventifs vont même jusqu’à connecter la prise d’air de leur VMC sur le réceptacle de la toilette sèche, assurant ainsi l’assèchement partiel des matières et permettant de diminuer le nombre de manipulations pour évacuer le mélange fèces + copeaux.

    Une chasse d’eau consomme de 1.5 l (cas rare mode économique sur toilette très économique) à 12 l pour une chasse d’eau « normale » d’une toilette « gaspi ».

    Un minimum de 8 m3 d’eau par an et par habitant dans nos toilettes. En prenant pour hypothèse raisonnable trois chasses d’eau par jour (2 chasses d’eau de 6 l correspondant à la chasse d’eau « économique » d’une toilette normale et une chasse d’eau de 10 l) et par habitant, la généralisation des toilettes sèches permettrait une économie de 22 litres d’eau par jour et par habitant soit 8 m3 d’eau par an par habitant, (32 m3 pour une famille de 4 personnes).

    Outre que les toilettes sèches permettent de diminuer de manière importante la consommation d’eau, en diminuant les rejets vers les stations d’épuration, les toilettes sèches permettent d’améliorer la qualité d’épuration des eaux (moins de matière organique dans les eaux à épurer = meilleure qualité des eaux épurées). Dans l’idéal, seules les eaux grises devraient être traitées en station d’épuration à défaut d’un traitement individuel. Et la production de compost chez les particuliers disposant d’un jardin diminuerait l’utilisation des engrais, tout en amendant les sols.

    Actuellement les toilettes sèches concernent environ 1500 foyers en France, à comparer aux 30 millions d’habitations, il nous reste une marge de progression importante et si, faute d’eau en quantité suffisante, 80% des toilettes sont sèches dans le monde, certains pays ‘développés’ (riches) sont nettement en avance sur nous. En Suède, la commune de Tanum (12000 habitants) a interdit depuis Janvier 2002 l’installation de toilettes classiques dans la commune pour les nouvelles constructions et les rénovations. Depuis 3 ans, des centaines de maisons sont équipées de ces nouveaux WC respectueux de l’environnement, ainsi que la bibliothèque municipale et le lycée local. D’autres villes de Suède sont actuellement en train d’étudier une règlementation similaire. A noter que le premier congrès sur les toilettes sèches s’est tenu en 2003 à Stockholm, la capitale suédoise.

    De plus, il est parfaitement possible de coupler les toilettes sèches avec le lombricompostage, les lombrics assurant un compostage rapide (quelques semaines) et une neutralisation des éléments pathogènes. Les streptocoques et staphylocoques passant par le système digestif d’un lombric sont éliminés. L’utilisation du compost sans phase exothermique (la réaction de production de chaleur que l’on retrouve dans les tas de fumier ou dans les tas de tontes d’herbe et qui permet une pasteurisation du compost avec élimination des germes) est alors possible.

    Cas particulier des toilettes sèches en France

    Les toilettes sèches enfin légales !
    Petit extrait du journal officiel du 9 octobre 2009

    Par dérogation à l’article 3, les toilettes dites sèches (sans apport d’eau de dilution ou de transport) sont autorisées, à la condition qu’elles ne génèrent aucune nuisance pour le voisinage ni rejet liquide en dehors de la parcelle, ni pollution des eaux superficielles ou souterraines.

    Les toilettes sèches sont mises en œuvre :

    • soit pour traiter en commun les urines et les fèces. Dans ce cas, ils sont mélangés à un matériau organique pour produire un compost ;
    • soit pour traiter les fèces par séchage. Dans ce cas, les urines doivent rejoindre la filière de traitement prévue pour les eaux ménagères, conforme aux dispositions des articles 6 et 7.

    Les toilettes sèches sont composées d’une cuve étanche recevant les fèces ou les urines.
    La cuve est régulièrement vidée sur une aire étanche conçue de façon
    à éviter tout écoulement et à l’abri des intempéries.
    Les sous-produits issus de l’utilisation de toilettes sèches doivent être valorisés
    sur la parcelle et ne générer aucune nuisance pour le voisinage, ni pollution.

    Sciures de bois

    Toilette séche

    Ustensiles en acier inoxydable

    Composteur


     
    • martini sylvie 0 h 51 mi le 29 août 2013 Permalien | Réponse

      bonjour, que devient le papier WC? des amis ont installé ce type de toilettes , ils mettent le papier Wc dans le poêle (qui se trouve dans la cuisine et qui ne brûle pas en permanence), comment désinfecter la cuvette? eau et eau de javel font-ils bon ménage avec cette technique? merci!

  • Bernard Jean 12 h 08 mi le 15 May 2010 Permalien | Réponse
    Tags : eau, rêve, voyages   

    Vivre son rêve, au lieu de rêver sa Vie 


    «Il ne faut pas être quelqu’un de spécial pour réaliser quelque chose d’incroyable, il faut juste avoir un rêve, y croire, et travailler dur pour cela», a dit la jeune navigatrice, expliquant qu’elle avait prouvé qu’on peut tout faire si «on programme son cerveau, tout est possible».

    Jessica Watson (16 ans)

    Une adolescente australienne, Jessica Watson, a bouclé samedi son tour du monde en solitaire à la voile, sans escale et sans assistance, entrant dans l’histoire comme la plus jeune navigatrice ayant réussi un tel exploit.

    Après 210 jours en mer et avec un mois d’avance sur le programme, Jessica Watson, 16 ans, a franchi la ligne d’arrivée sous les hourras, à l’entrée du port de Sydney, peu avant 14H00 (04H00 GMT).

    Voir son site : ICI >>

     
  • Bernard Jean 21 h 28 mi le 19 April 2010 Permalien | Réponse
    Tags : , eau, feu, , volcan   

    Eau, terre, feu, air 


    « Prendre soin de Soi, c’est prendre soin de la Terre. Prendre soin de la Terre, c’est prendre soin de Soi »


    Les quatre éléments pour un spectacle grandiose, la puissance de la Terre, la puissance du souffle, la puissance du son.

    Le système financier de l’Islande s’effondre en premier sur cette Île du Nord et comme par hasard la Terre gronde maintenant sur cette petite Île en se permettant au passage de bloquer les avions sur une grande partie de la planète.

    Comment ne pas voir un lien entre les deux, sachant que lorsque cette terre volcanique c’est exprimée fortement par le volcan Laki en 1783 cela a déclenché la révolution française de 1789…

    La nature est en interaction avec la vie des humains, nous sommes tous reliés. Les amérindiens en langue « Lakota » l’expriment clairement :

    O Mitakuye Oyasin : nous sommes tous reliés

    … ne cherche pas dehors ce qui est au-dedans …

     
  • Bernard Jean 21 h 35 mi le 12 March 2010 Permalien | Réponse
    Tags : eau, gaspillage,   

    Tirer la chasse est véritablement un acte contre-Nature 


    Les WC à chasse d’eau sont une véritable catastrophe pour les générations futures.

    Depuis toujours, je me suis senti concerné pas l’Eau, ce véritable élixir de Vie.
    Et même si je n’ai certainement pas la notoriété d’Al Gore, j’ai emmagasiné, au fil du temps, les connaissances nécessaires et suffisantes pour attirer votre attention sur un sujet qu’il faut cesser de considérer comme Tabou.

    A ce niveau-là, nous sommes tous pareils : nous mangeons ce que notre Mère à tous, la Terre, a généreusement produit et nous rejetons tous, riches comme les pauvres, les beaux comme les affreux, les gentils comme les bandits et tous les autres,… ce que notre corps n’a pas voulu… !

    La moindre des choses que nous avons le devoir de faire c’est de rendre à la Terre tous ces déchets dans les meilleures conditions pour qu’Elle puisse continuer à produire les meilleurs aliments,… bref, pour qu’Elle puisse continuer à nous nourrir, nous mais aussi les Générations Futures … !

    A l’heure où je vous écris, nous sommes presque 7 milliards !!!!

    Il ne s’agit vraiment plus de faire n’importe quoi.

    Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard !!!!

    Les multinationales nous ont « lavé le cerveau » et ont carrément endormi nos dirigeants pour pouvoir nous tondre à volonté.

    Au-delà d’une simple question de bon sens, c’est, ni plus ni moins, une question de survie.

    Et, n’en déplaise aux multinationales qui ont pris le pouvoir pour nos presser comme des citrons, il n’y aura besoin de se risquer dans des jeux d’apprentis sorciers comme les engrais chimiques, les pesticides, les OGM…. !

    Depuis que le Monde existe, tout a toujours parfaitement fonctionné tout seul jusqu’à ce que l’Homme, soi-disant l’Etre Vivant le plus évolué, ait l’orgueil de se mêler de vouloir faire mieux que la Nature … !

    En moins d’un siècle, les « progrès » ont carrément tout chamboulés et mis véritablement en péril la Vie sur notre Mère Terre.

    Malgré les alertes et mises en garde répétées du Professeur Joseph Orszagh, dont les travaux à l’Université de Mons, il y a plus de 10 ans déjà, ont démontré, à suffisance, de façon irréfutable, que mettre les matières fécales dans de l’eau et les mélanger avec nos autres eaux usées et les eaux de pluie dans les égouts étaient la cause d’un véritable désastre au point de vue écologique (pour ainsi dire irréversible.. .!!), on nous fait encore croire que tirer la chasse, c’est la seule solution en matière d’hygiène.

    Il n’y a qu’à payer ses taxes pour la dépollution, et la station d’épuration biologique va remettre les compteurs à zéro.

    Ce que l’on ne nous dit évidemment pas, c’est que ces stations d’épuration, tant individuelle que pour les collectivités sont totalement incapables d’y arriver… !

    Au début de ma carrière d’Ingénieur Industriel, j’en ai personnellement réalisé et surtout assuré l’entretien pendant 7 ans avant d’abandonner, carrément dégoûté de devoir constater que tous ses investissements, de notre argent à tous, ne permettaient nullement d’atteindre l’objectif pourtant légitime de remettre l’eau, polluée par l’activité humaine, dans l’état où elle était avant de l’utiliser comme dépotoir.

    Ce qu’il faut bien avoir à l’esprit, c’est que si on considère que toutes les eaux de notre Planète représentent 1000 unités, seules 3 sont disponibles pour la vie humaine !

    Il est donc faux de croire que puisque nous sommes entourés d’eau et qu’il pleut souvent en Belgique, ce problème ne nous concerne pas… !

    Car nos excréments vont compliquer d’une façon importante le processus d’épuration de nos autres eaux usées (eaux grises) et en augmenter exagérément les coûts et surtout se retrouver sous forme de nitrates et de phosphates extrêmement gênants pour la qualité des eaux que tôt ou tard nous et (ou) nos enfants auront à boire.

    D’ailleurs, il n’y a pas d’autres espèces vivant sur la terre à l’état sauvage (qui ont gardé, eux, leur instinct de survie) qui se permettent de souiller de l’eau et à fortiori de l’eau rendue potable à grands frais.

    D’ailleurs, tous les petits enfants, sans exception, refusent avec opiniâtreté, de « faire dans le petit pot »
    Dans la prime enfance, on a encore l’instinct de survie…ce n’est que la pression de l’ « éducation » qui nous le fait perdre !!

    Il ne faudrait surtout pas croire que les toilettes sèches à litière bio maîtrisée TLB, mises au point et largement testées, par le Professeur ORSZAGH sont un retour en arrière.

    Cela n’a plus rien à voir avec les toilettes de nos grands parents :

    • qui se trouvaient toujours à l’extérieur du logement proprement dit
    • on ne couvrait pas les déjections avec de la sciure après chaque utilisation
    • cela sentait vraiment mauvais
    • et, il y avait des mouches
    • c’était une fosse qu’on ne vidait qu’une fois par an
    • donc cela avait eu le tant de pourrir…
    • et après épandage les microorganismes du sol mettaient bcp de temps à se remettre !

    Etant donné que l’on utilise un seau en inox ou en polyéthylène noir et que chaque utilisateur recouvre ses excréments avec de la sciure ou des copeaux de bois, la lignine réagit avec l’urée en bloquant toute formation d’odeurs et il n’y a pas de mouches, puisque tout est bien couvert, …. !
    On peut installer une TLB même dans la chambre d’un malade, par exemple, sans réel inconvénient olfactif.
    De plus, il ne faut qu’une semaine pour qu’un utilisateur ait rempli un seau de 12 l, le contenu du seau n’a donc pas le temps de pourrir et c’est le complément idéal pour composter les autres déchets végétaux de la préparation des repas et du potager.
    Comme le rapport C/N/P est idéal la formation d’un excellent humus se fait 2 fois plus vite que s’il n’y avait que des déchets de végétaux.

    Quand on utilise, ce véritable « or brun », pour fertiliser le sol, c’est bien plus bénéfique pour les microorganismes que le contenu pestilentiel de la fosse de nos grands-parents …. !

    Donc, on économise plus de 16 m³ d’eau par utilisateur et par an, ce qui est loin d’être négligeable surtout que c’est, le plus souvent, de l’eau potable…. !
    Mais, surtout, nos déjections qui proviennent de l’alimentation que la Terre nous a généreusement offert, vont pouvoir lui être rendues, dans le meilleur état, afin qu’Elle puisse continuer à nous nourrir en produisant des fruits et des légumes sains, plein de vitalité, sans engrais chimiques ni pesticides.

    En tirant la chasse, on souille irrémédiablement l’eau et on appauvrit la terre.

    Il est plus que temps d’arrêter ce gâchis puisqu’une solution géniale existe : la TLB.

    Bien moins chère à l’achat et à l’utilisation qu’un WC à chasse d’eau.

    On peut l’installer à la place du WC très facilement ou à l’endroit qui vous convient le mieux dans votre habitation aujourd’hui si vous le voulez.

    Il n’y a donc pas vraiment d’excuse valable pour ne pas l’adopter.

    Quand on a réellement compris l’enjeu pour notre avenir et celui des Générations Futures.

    Tirer la Chasse est incontestablement un acte contre Nature.

    Extrait du document remis lors de l’entretien du 13 novembre 2007 à Namur.

    Au Cabinet de Monsieur le Ministre Benoit LUTGEN
    Ministre wallon de l’Agriculture et de l’Environnement.

    par Francis BUSIGNY
    Ingénieur Industriel

    Origine du texte et suite ICI >>

     
  • Bernard Jean 13 h 47 mi le 4 March 2010 Permalien | Réponse
    Tags : eau, , radiesthésie, source, sourcier   

    Ça coule de source 


    Documentaire sur la radiesthésie et la géobiologie

    http://video.google.ca/videoplay?docid=-70918056792434619&ei=uv6PS4zxA5KBlgenxJXmBg&q=ca+coule+de+source&hl=fr&client=safari#

     
  • Bernard Jean 22 h 12 mi le 12 February 2010 Permalien | Réponse
    Tags : eau, , , , porc, ,   

    H1N1: pourquoi c’est tombé sur les Mexicains ? 


    Un excellent reportage de la télévision suisse romande « tsr.ch ». La durée du reportage est de 43 minutes.

    Personne ne sait vraiment la tête qu’il a, mais tout le monde en parle depuis neuf mois, c’est le H1N1. Faut-il se faire vacciner ou pas, qui fait partie des groupes à risque, a-t-on acheté trop de doses ?

    Comment vivent les mexicains avec sur leur territoire les plus gros élevages de porcs du monde pour fournir le marché des USA ? Comment les contrôles sanitaires sont effectués ? Pourquoi les nappes phréatiques sont polluées ?

    De nombreuses questions pour les journalistes suisses, avec des réponses éloquentes dans un reportage percutant.

    Voir le reportage du début à la fin, pour comprendre la logique des grosses entreprises multinationales.

    Prendre soin de la Terre, c’est prendre soin de Soi

     
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