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  • Bernard Jean 15 h 41 mi le 21 November 2009 Permalien | Réponse
    Tags : Pasteur, ,   

    Vaccins : Quelques avis significatifs de médecins et de scientifiques 


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    Jean-Luc Guilmot – jlg911(at) gmail.com – Version du 13/10/09

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    Ce recueil de brèves citations vise à sensibiliser le public sur la question de la vaccination – ce concept si bien ancré dans les esprits, notamment par des expressions populaires comme « majeur et vacciné ». Pourtant le principe de la vaccination continue à diviser le monde médical. Et il existe des raisons de croire que ses bases scientifiques ne sont pas aussi solides que ce que l’on serait en droit d’attendre. A l’heure où l’on évoque une campagne de vaccination sans précédent au niveau mondial, avec de surcroît un vaccin expérimental préparé dans l’urgence, cela donne à réfléchir.

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    « Primum non nocere »

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    « Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient.»

    Pr Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971).

    « C’est dans les sociétés libres que l’invisible police de l’esprit est le plus efficace précisément parce qu’on croit qu’elle n’existe pas. »

    B. Cassou, M. Schiff, dans : Qui décide de notre santé ? (1998).

    « Il n’existe pas de preuve scientifique sur l’utilité des vaccins ».

    Dr Jean-Michel DUBERNARD, Député, chirurgien et docteur honoris causa de l’Ulg, dans la conclusion d’une table ronde qu’il présidait au Sénat français en 2007 en présence des représentants de l’industrie « Les vaccins en France: quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? » Comptes rendus de l’office parlementaire d’évaluation des politiques de santé. http://www.senat.fr/bulletin/20070604/sante.html

    « Aucun historien des sciences digne de ce nom ne conteste le fait que Pasteur s’est trompé sur de très nombreux points. Aucun ne conteste non plus son opportunisme, les nombreuses entorses à la méthode qu’il professait, ou encore le pillage d’autres chercheurs. […] Il est évident que l’engouement pour l’aventure vaccinale est très largement mercantile, car les vaccins sont à l’origine de profits fabuleux. Cela tient sans doute au formidable crédit de son idée de base : la maladie vient de l’extérieur. »

    Dr Jacques LACAZE, dans la préface de : En finir avec Pasteur, 2005, du Dr Eric Ancelet.

    En médecine actuellement, la Cochrane collaboration […] a pour objectif de «préparer, tenir à jour, et diffuser les revues systématiques sur l’efficacité des thérapeutiques et des stratégies thérapeutiques ». Quoique ses évaluations
    – en principe indépendantes – ne soient pas forcément au-dessus de toute critique, elles sont largement tenues comme parmi les plus fiables en matière de médicament.
    Précisément […], la Cochrane collaboration a récemment publié une série assez systématique d’évaluations concernant les vaccins antigrippaux : en toute logique et compte tenu de ce qui vient d’être rappelé, celles-ci devraient d’autant plus valoir pour le dernier mot sur la question qu’elles sont extrêmement récentes – peu susceptibles, à ce titre, d’avoir été rendues obsolètes par des investigations méconnues. Or, comparées à l’activisme promotionnel implacable des autorités sanitaires, leurs conclusions sont accablantes. […] Bien sûr, personne n’est réputé avoir le monopole de la vérité. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que par leur exhaustivité (toutes les études publiées sur une période de 40 ans), la transparence de leur méthodologie, la convergence de leurs résultats – pour ne point parler de la déférence accordée, par principe, aux évaluations de la Collaboration Cochrane –, ces revues tranchent avec l’assertivité expéditive des administrations sanitaires ou des « experts » quant au bénéfice – voire à l’ardente nécessité – d’une vaccination antigrippale.
    Depuis 1966, les fabricants ne se sont jamais donné la peine de fournir le minimum de preuves suffisantes quant à l’efficacité de leurs vaccins antigrippaux, que ce soit chez les « espèces » traditionnellement protégées par l’éthique de la recherche clinique (sujets âgés, enfants, nourrissons), dans populations réputées à risque (professionnels de santé) ou, tout simplement, chez les sujets en bonne santé.
    Les autorités sanitaires, qui octroient régulièrement les autorisations de mise sur le marché à ces vaccins antigrippaux, n’ont jamais exigé des fabricants ce minimum de preuves.
    Que, malgré une telle carence de preuves, les dits vaccins soient autorisés au remboursement et qu’ils fassent même l’objet d’une promotion de plus en plus intensive (notamment chez l’enfant) place les responsables de ce remboursement et de cette promotion – les autorités de santé – en situation patente de conflit d’intérêts : on n’attend pas d’elles qu’elles reconnaissent rétrospectivement qu’elles ont promu et payé des médicaments dont le rapport bénéfice/risque) serait à ce point problématique.

    Dr Marc GIRARD, Sept. 2009, dans « Vacciner ou pas ? » en ligne (et vivement recommandé) sur http://www.rolandsimion.org

    Les rares médecins restés fidèles à la Tradition, qui s’évertuent à redonner à leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque jour sur un obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide, et épais comme les dogmes : le mythe pastorien de l’origine bactérienne des maladies. […] Désormais figées dans la certitude matérialiste, la Médecine a suivi le chemin facile des petits esprits, de ceux qui voient l’ennemi partout, le tuent à l’arme antibiotique ou le trompent par ruse vaccinale.

    Dr Jean ELMIGER, Lausanne, dans la préface de : En finir avec Pasteur, 2005, du Dr Eric Ancelet.

    Alors, quelles sont les véritables raisons de ce déclin ?

    Dans son livre Health and Healing, le docteur Andrew Weil répond de la manière suivante :

    « La médecine scientifique a pris crédit pour certaines avancées dans le domaine de la santé qu’elle ne mérite pas. La plupart des gens croient que la victoire sur les maladies infectieuses du siècle dernier est due à l’invention des immunisations. En fait, le choléra, le typhus, le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, etc., étaient en régression avant que les vaccins spécifiques ne soient devenus disponibles – et cette régression résultait de l’amélioration des conditions d’hygiène, de l’évacuation des eaux d’égout, et de la distribution de la nourriture et de l’eau. »

    La suite ici du document pdf de 18 pages >>

     
  • Bernard Jean 23 h 55 mi le 19 November 2009 Permalien | Réponse
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    «Grippe porcine» et l’avenir des survivants en Ukraine 


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    http://www.segodnya.ua/news/14095058.html

    Traduction automatique du Russe en Français par Google. >> ICI

    «Grippe porcine» et l’avenir des survivants

    Nous récupérons de la souffrance du cœur et augmente le risque de contracter à nouveau

    Les personnes qui guérissent de la grippe porcine », en particulier dans la forme sévère, ne doit pas relâcher après récupération – mai, ils ont une atteinte pulmonaire grave. Selon le pneumologue chef de Lviv Hope Roudnitskaya, les gens qui ont souffert de pneumonie, mai développer une maladie pulmonaire chronique: une maladie pulmonaire, l’asthme bronchique ou des changements fibreux (il est irréversible des changements organiques). Comment affectent-elles la vie, les médecins ont encore du mal à prédire.

    « Nous commençons tout juste à écrire les patients premier, et nous les suivons, en leur demandant de donner régulièrement des tests: le sang, l’urine. Il ya des changements irréversibles dans les poumons, nous ne les avons pas encore vu, – dit le médecin chef adjoint du travail médical à Ivano-Frankivsk infectieuses Hôpital Love Andrusishin. – Mais ils ont tous mal se remettre de l’immunité affaiblie, et donc le risque élevé de contracter à nouveau quelques douloureux. Plusieurs enfants qui guérissent de la grippe, quand ils sont à nouveau nous frapper avec une température de 40 °. Maintenant, nous avons trois personnes en soins intensifs en metagrippal méningo-encéphalite (inflammation du cortex cérébral. – AUTH.). Et notre personnel qui a transféré la grippe sur leurs pieds, maintenant souffrir de myocardite.

    (Lire la suite…)

     
  • Bernard Jean 11 h 16 mi le 18 November 2009 Permalien | Réponse
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    Le virus en Ukraine ! 


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    Les dernières informations

    http://www.spreadthetruth.fr/?p=5486

    http://fr.cctv.com/program/journal/20091118/101705.shtml

    http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-h1n1-en-ukraine-la-flambee-se-poursuit-avec-1.400.000-cas-declares_2192.htm

     
  • Bernard Jean 17 h 16 mi le 17 November 2009 Permalien | Réponse
    Tags : , pandémie, , , , virus   

    Le syndrome de Guillain-Barré 


    Origine de l’image >>

    Voir ce lien : http://www.spreadthetruth.fr/?p=5357

    Le virus de la grippe A/H1N1 aurait’il muté ? Serait-il devenu une forme semblable à la grippe espagnole de 1918 ? Les patients mourants en Ukraine souffrent de la destruction totale de leurs poumons !

    Il semblerait que de nombreuses femmes enceintes vaccinées, prioritaires ont des fausses couches.

    Le virus de 1918

    Voir ce lien >>
    Les caractéristiques génétiques du virus ont pu être établies grâce à la conservation de tissus prélevés au cours d’autopsies récentes sur des cadavres inuits et norvégiens conservés dans le pergélisol (sol gelé des pays nordiques). Ce virus est une grippe H1N1.
    Virus père, souche inconnue : virus de grippe source, à forte contagiosité mais à virulence normale qui, par mutation, donna le virus de la grippe espagnole. Le virus père ne fut identifié et suivi rigoureusement qu’à partir d’avril, et jusqu’à juin 1918, alors qu’il sévit probablement dès l’hiver 1917-1918 en Chine.
    Virus de la grippe espagnole, souche H1N1 : virus à forte virulence apparemment apparu aux États-Unis et ayant finalement tué plus de 21 millions de personnes à travers le monde ; cette appellation inclut généralement aussi son « virus père ». Cette version plus létale sévit en deux vagues meurtrières, l’une de mi-septembre à décembre 1918, l’autre de février à mai 1919. Tous les continents et toutes les populations ont été gravement touchés.
    Grâce au travail de plusieurs équipes de chercheurs, en particulier américains, il a été en 2004 possible pour la première fois de synthétiser artificiellement le virus de 1918.

    La pandémie de 1918-1919 a été, avec 30 millions de morts selon le consensus généralement admis 5, la première grande pandémie de l’ère moderne. Elle est l’une des plus grandes pandémies humaines, comparable en nombre de victimes à celles de la peste et du sida. Ce dernier continue cependant à tuer au-delà des 24 millions de victimes déjà comptabilisées.
    (Lire la suite…)

     
  • Bernard Jean 20 h 32 mi le 16 November 2009 Permalien | Réponse
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    La grippe a sonné des cloches 


    BELL TOLLING for the Swine Flu (CAMPANAS por la gripe A) subtitled from ALISH on Vimeo.

    LA GRIPPE A SONNÉ DES CLOCHES

    (BELL TOLLING for the Swine Flu)

    Transcription d’une entrevue avec TERESA FORCADES
    Monastère de san Benet, Monteserrat, Barcelone, le 23 septembre 2009.

    CAMPANAS por la gripe A
    Reportage de Alicia Ninou et de Judith Abadias
    http://vimeo.com/7298827

    Mon nom est Teresa Forcades i Villa. Je suis une sœur Bénédictine au Monastère de san Benet de Monteserrat.

    Avant d’entrer au monastère, j’ai pratiqué la médecine durant plusieurs années.  Je suis un médecin spécialisé en médecine interne et j’ai un doctorat en santé publique à l’université de Barcelone.  J’ai complété une spécialisation à l’université d’état de New York.

    Qu’est-ce qu’on appelle la grippe porcine (A)? C’est aussi appelé, principalement en Catalogne, ‘’La nouvelle grippe’’. Ce terme (La nouvelle grippe) peut amener les gens à croire que le virus de la grippe de type ‘’A‘’ est un nouveau virus.  Bien ce n’est pas un nouveau type de virus.  Les virus de type ‘’A‘’ font partie de la grippe commune annuelle… la grippe saisonnière. (…)

    Peut-être que vous êtes déjà au courant, mais je débute toujours avec les éléments de base.
    Nous avons les types de virus A, B, C.  Ces derniers sont les virus connus affectant  les humains.  Vu que normalement  le virus ‘’C’’ n’affecte qu’une petite partie de la population, il n’est pas utilisé pour fabriquer des vaccins annuels.  Par conséquent, chaque année, le vaccin de la grippe saisonnière est un mélange de virus  de types ‘‘A’’ et ‘’B’’.  Donc, la soi-disant  ‘’nouvelle grippe ou la grippe porcine’’ n’est pas nouvelle parce qu’elle est de type ‘‘A’’.  Alors, certains vont soutenir qu’elle est nouvelle à cause des antigènes du virus A-H1N1.  Du virus A-H1N1, l’hémagglutinine (H) et la neuraminidase (N) sont des protéines de surface qui pourraient apparaître pour donner la nouvelle nature.  Bien, ce n’est pas le cas.

    On doit le dire ces protéines n’apporte pas une nouvelle nature à ce virus, parce que ce même groupe, A-H1N1, fut  le même groupe de virus de la grippe que celui de 1918 qui tua plus de 20 millions de personnes à travers le monde.  C’était le même groupe de virus et il a existé au sein de la population jusqu’au milieu des années ‘’50’’ environs. (Lire la suite…)

     
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