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  • Bernard Jean 8 h 32 mi le 21 March 2014 Permalien | Réponse
    Tags : nez,   

    Le nez humain peut distinguer 1000 milliards d’odeurs 


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    Le nez humain est plus performant qu’on ne le croyait : des chercheurs de l’Université Rockefeller à New York ont déterminé qu’en moyenne un être humain pouvait déceler au moins 1000 milliards d’odeurs. Lire la suite…

     
  • Bernard Jean 15 h 18 mi le 19 February 2014 Permalien | Réponse
    Tags :   

    Le Souffle des dieux 


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    Date de sortie dans les salles de cinéma le 19 mars 2014

    Ce documentaire revient sur les origines du yoga moderne avec clarté et zénitude. Toutefois, les nombreuses démonstrations s’adressent avant tout à ceux qui pratiquent déjà cette discipline, et non aux néophytes.

    Si le documentaire est souvent maladroit sur le plan formel – le cinéaste ne fait visiblement aucun effort pour rendre son périple esthétiquement valable, sans doute pour échapper à l’exotisme et à l’effet carte postale – il parvient à nous éclairer de manière intéressante sur le passé trouble d’une discipline pas si ancienne. Effectivement, le yoga tel que pratiqué de nos jours, est né sous l’impulsion d’un seul homme nommé T. Krishnamacharya (1890-1989). Celui-ci s’est inspiré de textes anciens pour la plupart philosophiques pour les transcrire de manière physique. L’homme au service du Maharaja de Mysore tente donc de concilier une dimension spirituelle, religieuse et physique. Finalement, cette discipline, réservée aux castes supérieures, a connu un véritable engouement, notamment en Occident où la dimension religieuse a été largement édulcorée, voire éliminée, au profit d’une alliance parfaite entre le corps et l’esprit.

    Il est d’ailleurs significatif de constater que les cours de yoga, même en Inde, sont essentiellement suivis par des occidentaux et non pas des indiens.  Lire la suite…

     
  • Bernard Jean 23 h 04 mi le 5 December 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , vol   

    À la découverte des 5 sens 



    SENSE OF FLYING from Goovinn on Vimeo.

    What´s it like flying down a mountain at 250 km/h? Espen Fadnes – The World’s Fastest Flying Human Being 2010 – teamed up with Project Managers Goovinn to communicate the experience of flying. ”SENSE OF FLYING” came out of the collaboration.Turn up the volume, experience it, share it: SENSE OF FLYINGCredits:
    Film by: Stavfel Produktion, Goovinn, Espen Fadnes
    Idea: Espen Fadnes/Paul Göransson/Lars Idmyr
    Wingsuiting: Espen Fadnes
    Cameras: Carl Johan Engberg, Paul Göransson, Espen Fadnes, Lars Idmyr, Kjersti Eide
    Car driver + helping hand: Even FloSpecial thanks to: The village Flo for hospitality and help.Follow us on Goovinn.se
     
  • Bernard Jean 17 h 24 mi le 21 July 2011 Permalien | Réponse
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    Le bicarbonate de soude, ça sert à quoi? 


    Origine de l’article >>> ICI

    Par Anne-Laure Pham, publié le 20/07/2011 à 16:07

    Cette poudre, en plus de blanchir vos dents, représente un allié de poids dans la cuisine! On vous explique tout.

    C’est quoi au fait?
    Derrière la formule chimique NaHCO3 (on révise: Na=sodium, H=hydrogène, CO3=carbonate), se cache l’hydrogénocarbonate de sodium. Plus couramment appelé bicarbonate de sodium ou de soude, ou encore carbonate acide de sodium (dans la composition des pâtisseries industrielles).

    Ça se présente comment?
    Il s’agit d’une fine poudre blanche. Employée dès l’Antiquité égyptienne dans le natron, utile à la momification, elle est aujourd’hui très présente dans les placards de cuisine des pays anglo-saxons – moins chez nous, où sa palette étonnante de propriétés, pas seulement digestives, est méconnue.

    Je le trouve où?
    Au supermarché, au rayon sel, en pharmacie ou en droguerie. Choisissez-le de qualité alimentaire ou pharmaceutique. Attention, on ne le confond pas avec la soude caustique ni avec le carbonate de sodium, tout sauf comestibles, eux!

    C’est cher?
    Pas du tout (à partir de 1€ les 100g, variable selon le conditionnement et le point de vente). Économique aussi parce qu’on l’utilise à petite dose: 1 cuil. à café par gâteau en moyenne -gare au surdosage qui peut laisser un arrière-goût désagréable!

    Pourquoi l’utiliser en pâtisserie?
    Il rend les gâteaux ou pains plus digestes, en remplissant le rôle de levure. Mais c’est seulement combiné à un produit acide -du yaourt, du citron, du miel…- qu’il produit les bulles de dioxyde de carbone qui font gonfler la préparation. À savoir: la réaction démarre dès le mélange des ingrédients, donc il faut vite faire cuire la préparation, pour éviter qu’elle ne retombe à plat.

    En quoi est-il différent de la levure chimique?
    Même si le bicarbonate entre dans sa composition, la levure chimique comprend aussi des phosphates, associés à un élément acide, comme la crème de tartre, et à un stabilisateur, telle la farine de blé. La réaction ne se produit que lors de la cuisson, contrairement au bicarbonate.

    Et pour quels autres usages?
    Multiples! Pour rééquilibrer les préparations au goût trop acide (compote de rhubarbe, sauce tomate…); pour fixer la couleur des légumes verts ou rendre plus digestes les légumes secs (1 pincée de poudre magique par litre d’eau de cuisson, et hop !).

    Mais aussi pour débarrasser les fruits et légumes de leur couche de pesticides (faites-les tremper 5 min avec 1 cuil. de bicarbonate, avant de les rincer). C’est aussi un allié écolo pour toute la maison: il peut remplacer le liquide vaisselle pour un fond de casserole brûlé (versez 1/2 verre de bicarbonate, 2 cuil. à soupe de vinaigre blanc et un peu d’eau chaude, laissez passer une nuit et tout s’en va). Ou encore désodoriser et désincruster vos boîtes, bocaux, ustensiles de cuisines, planches à découper…

     
  • Bernard Jean 13 h 00 mi le 3 May 2011 Permalien | Réponse
    Tags : andré poulin, atelier   

    Arts de la longévité et prévention des maladies selon la médecine chinoise 


    Animateur André Poulin, acupuncteur

    Dates dimanche 15 mai et samedi 11 juin 2011 de 9h à 17h env.
    Lieu : St-Gabriel-de-Valcartier, dans la nature.
    Coût : 2 journées, dîner et thé inclus : 245 $.
    Nombre de participants maximum : 12 personnes.
    Apporter : collation, vêtements confortables et souliers d’extérieur.

    Informations et réservation : Dominique Jeanneret au 418.845.0436 ou par courriel (places limitées, réservez le plus tôt possible).

    Atelier pratique

    Depuis fort longtemps, les taoïstes ont découvert que la longévité pouvait s’aquérir par la pratique soutenue de certains exercices :

    l’ingestion de certains aliments et l’harmonisation de l’être humain avec les cycles de la nature.

    Il s’agit donc de prévention des maladies pour jouir d’une bonne santé à long terme.

    Cette longévité nous amènera vers plus de sagesse…

    Les techniques enseignées incluent :

    1. Diététique des quatre saisons (recettes utilisant des aliments de saisons qui ont pour but d’harmoniser l’être humain avec les changements de saisons).
    2. Des recettes culinaires de longévité.
    3. Différentes plantes et formules de plantes.
    4. Des exercices énérgétiques spécifiques.
    5. Qi Gong, Tai Chi, Ba Gua, etc. qui ont pour but l’union du corps et de l’esprit et l’explication énergétique des différents mouvements qui les composent.
    6. L’harmonisation aux différents cycles de la nature.
    7. La méditation, la respiration, etc.

    Afin d’atteindre le but souhaité, il est préférable de combiner toutes ces techniques. Leur combinaison donne ce que les chinois appellent le Yang Shang Fa ou «méthode de nutrition du principe vital».


     
  • Bernard Jean 9 h 44 mi le 27 February 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , ,   

    Il faut que tu respires ! 


     
  • Bernard Jean 2 h 00 mi le 23 February 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , , ,   

    Dr. Thierry Janssen : apprendre à bien respirer 


    Conseil : apprendre à respirer la sérénité

    Les yogis le savent depuis des millénaires. Les scientifiques le démontrent aujourd’hui : pour gagner la paix du corps et du cœur, il n’y a qu’à… respirer ! En profondeur, lentement, et en toute conscience. Donc en y mettant tout de même un peu du sien !

    Bien respirer ne va pas de soi. Car si nous sommes biologiquement équipés pour une respiration optimale, nous sommes aussi faits de pensées et d’affects… « Notre respiration est directement liée à nos émotions, explique Lionel Coudron, médecin du sport et directeur de l’Institut de yoga-thérapie, à Paris. Dès que celles-ci nous perturbent, elle se modifie. Si nous maintenons une fréquence respiratoire rapide, correspondant à un état de stress ou d’anxiété, nous prolongeons cette émotion. Comme nous sommes les seuls êtres vivants à pouvoir agir sur la fréquence et l’amplitude de notre respiration, la première chose à faire est d’abaisser sa fréquence respiratoire pour faire baisser le stress. La fréquence moyenne est de quinze respirations par minute. Chez des personnes plongées dans un état méditatif, elle descend à six ! »

    En septembre 2003, au Massachusetts Institute of Technology (MIT), haut lieu de la recherche scientifique américaine, les plus grands spécialistes en sciences du cerveau et les instances bouddhistes, présidées par le dalaï-lama, livraient les résultats des études menées depuis plusieurs années sur des moines. Leurs conclusions : la méditation, c’est-à-dire l’action d’apaiser son corps et son esprit en régulant sa fréquence respiratoire, agit sur le cerveau à la façon d’un médicament antistress ; les clichés obtenus grâce à l’imagerie par résonance magnétique (IRM) indiquent que le cerveau émotionnel des méditants ne réagit pas aux stimuli extérieurs agressifs et que leur activité cardiaque demeure stable.
    Bien respirer est donc le moyen le plus simple et le plus naturel de gérer nos émotions et d’apaiser rapidement corps et esprit.

    Une bouffée de bonne santé

    Mais une bonne respiration n’a pas seulement le pouvoir de réguler nos émotions et de chasser le stress, elle agit directement sur notre santé. L’air que nous inhalons est un subtil mélange d’oxygène (environ 20 %), d’azote (79 %), de vapeur d’eau, de gaz carbonique et d’éléments chimiques divers. Cet oxygène nourrit les globules rouges du sang, qui le distribue à son tour dans nos organes et nos tissus. Mieux nous respirons, donc, mieux nous nourrissons notre organisme.
    Mais une bonne respiration peut faire bien plus. Régulation du système cardio-vasculaire, abaissement de la tension artérielle, renforcement des défenses immunitaires, rééquilibrage de l’acidité sanguine…, la liste de ses bienfaits laisse pantois.

    Dans Guérir, le psychiatre David Servan-Schreiber consacre un chapitre à la cohérence cardiaque (lire exercice ci-dessous), une pratique permettant de coordonner respiration et activité cardiaque. Il cite différentes études scientifiques, dont celle menée aux Etats-Unis auprès de cadres de grandes entreprises : « Sur le plan physique, un mois après l’enseignement sur la cohérence cardiaque, leur tension artérielle avait baissé autant que s’ils avaient perdu dix kilos et deux fois plus qu’avec un régime sans sel. Une autre étude suggère aussi une nette amélioration de l’équilibre hormonal : après un mois de pratique, au rythme de trente minutes par jour, cinq jours par semaine, le taux de DHEA, l’hormone de “jouvence”, voit son niveau moyen augmenter de 100 %. »

    La bonne nouvelle, c’est qu’il n’est nul besoin d’avoir recours à des techniques plus ou moins sophistiquées pour intégrer les bienfaits de la respiration au quotidien. Seul un minimum de constance est requis…

    Inspirez, expirez… mais pas trop vite

    Pour Catherine Ternaux, auteur de l’excellent Respirer la vie, il est important de ne pas changer du tout au tout sa respiration du jour au lendemain. « Mieux vaut d’abord prendre bien conscience de la façon dont on respire. Pour cela, on s’allonge sur le dos et on essaie de sentir le mouvement de piston du diaphragme, ce muscle qui s’abaisse pour libérer la partie supérieure de l’abdomen et permettre aux poumons de “faire le plein”. En prendre conscience, c’est sentir que, pendant l’inspiration, le ventre se gonfle, les côtes s’écartent, le bas des poumons se remplit d’air ; puis le niveau de l’air monte dans les poumons, entraînant le soulèvement de la cage thoracique jusqu’au niveau claviculaire. A l’expiration, le diaphragme remonte, donc le ventre s’aplatit ; et les poumons se vidant d’air, la cage thoracique s’abaisse. »

    Si nous ventilons bien, c’est-à-dire que nous respirons un volume d’air suffisant, nous avons en revanche tendance à respirer trop vite. Ce travail sur l’allongement de la respiration est au cœur des recherches que mène Jean-Manuel Fuentes, professeur de yoga depuis trente ans, avec des cardiologues. « L’inspiration dynamise l’organisme et l’expiration l’apaise. Or, pour la majorité des gens, bien respirer c’est prendre une grande inspiration sans s’occuper de l’expiration. Pour une respiration optimale, le dos est droit mais pas raide, il doit respecter les courbures naturelles de la nuque et des reins. Une fois bien installé, on respire, par le nez, en prenant conscience de l’air frais à l’inspiration, de l’air chaud à l’expiration. Expiration que l’on fait durer le plus longtemps possible, sans forcer. »

    « L’expiration est essentielle, car elle chasse les toxines de notre corps, renchérit Lionel Coudron. Elle a également un effet antalgique. Sauf si l’on respire trop vite : dans ce cas, l’échappement trop rapide des gaz carboniques augmente l’acidité dans le sang et provoque des contractures au niveau des muscles. » Une bonne respiration mérite donc qu’on lui consacre quelques minutes par jour. Une contrainte tout à fait relative lorsque l’on prend conscience de ses multiples effets sur notre bien-être physique et émotionnel.

    Corps tonique : un exercice pour faire le plein d’énergie au saut du lit ou s’apaiser en fin de journée.

    • A quatre pattes, les bras dans l’alignement des épaules, inspirez en creusant le dos et en relevant la tête
    • Expirez en arrondissant le dos et en abaissant la tête contre le sternum, à un rythme soutenu pour hyperventiler le corps. Répétez une dizaine de fois.

    Les bienfaits : cet exercice réveille la colonne vertébrale et le système nerveux, améliore la circulation sanguine, assouplit les muscles et prépare à l’activité de la journée en oxygénant le cerveau. Il se pratique dès l’âge de 3 ans. Vous pouvez aussi le faire en fin de journée pour vous détendre. Exécutez-le alors très lentement, pour allonger le plus possible la respiration et apaiser ainsi le corps et l’esprit.

    Coeur léger : un exercice pour entrer en cohérence cardiaque et aider cœur et cerveau à lutter contre le stress.

    • Commencez par respirer lentement et profondément, en marquant une petite pause après l’expiration.
    • Au bout de dix à quinze secondes de cette stabilisation respiratoire, portez votre attention vers le cœur. Visualisez ses mouvements lents et imaginez que l’inspiration lui apporte tout l’oxygène nécessaire et que l’expiration le débarrasse de tous ses déchets
    • « Branchez-vous » sur la sensation de chaleur et d’expansion qui se développe dans la poitrine et accompagnez-la avec des pensées douces : le visage d’une personne aimée, un paysage apaisant… Laissez-vous envelopper par un bien-être physique et émotionne

    Les bienfaits : votre souffle et votre rythme cardiaque ne font qu’un, la cohérence cardiaque est établie. Cerveau émotionnel et cœur s’envoient alternativement des messages pour dire que tout va bien. Cet exercice peut se pratiquer à tout moment de la journée. Il est particulièrement efficace dans les situations de stress ou d’urgence, pour dénouer les tensions.

    Esprit clair : un exercice pour faire une pause et ralentir la cadence.

    A lire :- Mieux vivre par le yoga et Pratiquez la relaxation au quotidien de Lionel Coudron (J’ai lu, 2003, et Ellébore, 2002).
    – Guérir de David Servan-Schreiber (Pocket, 2005).
    – Respirer la vie de Catherine Ternaux (La Table ronde, 2003). 

    • Inspirez sur quatre ou cinq temps, pendant cinq secondes environ.
    • Retenez votre respiration cinq secondes, puis expirez dix secondes.

    Les bienfaits : cet exercice convient parfaitement aux personnes qui ont du mal à s’accorder un peu de repos. Car le fait de suspendre son souffle leur permet de faire une pause consciente. Le bénéfice intervient au bout de trois respirations. Cet exercice est à effectuer le plus souvent possible au cours de la journée.

    Origine du texte >>> ICI

     
  • Bernard Jean 20 h 46 mi le 26 January 2011 Permalien | Réponse
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    L’art du Rebirthing 


    Nous n’apprenons pas à respirer, bien au contraire, les répressions, l’éducation, la société elle-même, nous amènent à bloquer le souffle. La respiration est pourtant la base de notre vie sur Terre. Sans elle, sans ce mécanisme subtil et instinctif, la vie ne serait pas là.

    La Respiration Consciente, ou Rebirthing, nous amène à retrouver cette libre respiration, source de santé et de vitalité. Par une technique douce et profonde, nous retrouvons cet espace du souffle spontané.

    Cette technique libère le corps des mémoires enfouies, des émotions réprimées et des pensées limitantes. Grâce à une pratique régulière de la Respiration Consciente, nous pouvons intégrer toutes les dimensions de notre être et jouir ainsi d’une vie rayonnante d’énergie.

    Anne-Marie de Vinci a plus de vingt années d’expérience, de pratique et d’enseignement. Elle partage ses connaissances avec autant d’intelligence que de coeur. Ce livre est une porte ouverte vers la sagesse du corps et de l’esprit. C’est un ouvrage de référence sur le sujet.

    Un livre à vivre.

     
  • Bernard Jean 13 h 51 mi le 26 January 2011 Permalien | Réponse
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    REBIRTH, Le pouvoir libérateur du souffle 


    REBIRTH, Le pouvoir libérateur du souffle de René SIDELSKY, 1995. Guy Trédaniel Editeur. ISBN : 2-85707-721-1.

    Une séance de respiration consciente et particulière, en position couchée de préférence et les yeux clos, accompagnée par une personne compétente, ainsi se présente le rebirth. Respirer de cette manière revient à nous relier intensément à la vie, à harmoniser notre rapport avec elle, tandis que l’énergie ainsi suscitée purifie et réconcilie le corps et l’esprit.

    Malgré son extrême simplicité de moyens, le rebirth est comme un diamant aux multiples facettes dont la plus connue se réfère à son étonnante capacité de faire revivre des éléments de notre mise au monde et de notre vie périnatale. Ainsi, il est possible de nous libérer des séquelles des traumatismes de la naissance, dont l’impact est si grand sur notre personnalité.

    Le livre donne des informations précises et utiles sur les bienfaits qui pourraient résulter d’une nette amélioration des conditions humaines de la mise au monde ; la joie de vivre serait alors la norme et l’amour serait le mode de relation le plus naturel entre les humains. Une autre facette du rebirth éveille en nous la sagesse profonde qui guide le processus de libération par le souffle.

    Il peut arriver que la personne fasse pendant son rebirth, l’expérience de l’amour infini, de la joie absolue, de la conscience qui transcende toute compréhension et toute catégorie.

     
  • Bernard Jean 21 h 21 mi le 24 January 2011 Permalien | Réponse
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    Rire, Amour, Rebirth 


    Dans ce livre paru aux Editions Trédaniel sont abordés les différents thèmes relatifs à l’analyse émotionnelle et au développement personnel.

    Comment vaincre les démons du narcissisme? Comment apprendre à s’aimer mieux soi-même pour mieux aimer l’autre? Claude-Marc Aubry nous apprend à lire entre les lignes pour y découvrir les grandes directions d’un chemin d’évolution qui passe par Le Rire, l’Amour et le Rebirth.

    Docteur M. Laudy

    Dans cet ouvrage aux multiples facettes, l’auteur nous conduit à une réflexion sur le vrai sens de l’existence puis aborde le Rire ses effets thérapeutiques, ses bienfaits ainsi que sa place dans la spiritualité ; il explique la signification symbolique du souffle, expose la technique du Rebirth et indique comment le pratiquer sans danger ainsi que la manière de travailler sur les chakras. Il nous dévoile les divers aspects de l’ouverture vers les autres, en passant de l’archétype au mythe et établit les trois niveaux de l’Amour. Il esquisse enfin une conclusion sur les trois plans : physique, psychologique et spirituel.

     
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