Mises à jour de novembre, 2014 Activer/désactiver les fils de commentaires | Raccourcis clavier

  • Bernard Jean 10 h 59 mi le 14 November 2014 Permalien | Réponse  

    Le moment présent 


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  • Bernard Jean 12 h 28 mi le 5 May 2014 Permalien | Réponse
    Tags : ,   

    TEASER – La Guerre des Graines – Le 27 mai sur France 5 


    Voici le Teaser du documentaire « La Guerre des Graines » .
    Diffusion en mai 2014 sur France 5 ( Emission Le Monde En Face )
    En attendant, venez consulter le blog du film : http://blog.francetvinfo.fr/guerre-de…

    http://blog.francetvinfo.fr/guerre-des-graines/

     
  • Bernard Jean 13 h 08 mi le 17 April 2014 Permalien | Réponse
    Tags : ,   

    Bande-annonce « Pierre Rabhi, Au nom de la Terre » 


    Ce film retrace l’itinéraire de Pierre Rabhi, du désert algérien à son expertise internationale en sécurité alimentaire. L’histoire d’un homme, et de sa capacité hors du commun à penser et à agir pour un monde différent, fédérant à chaque instant ce que l’humanité a de meilleur pour préserver notre planète des souffrances qu’elle subit. Un homme qui défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la terre et qui soutient le développement de pratiques agricoles accessibles à tous et notamment aux plus démunis, tout en préservant les patrimoines nourriciers.
    Sortie en salles le 27 mars.
    Plus d’infos : colibris-lemouvement.org

    Un film de Marie-Dominique Dhelsing
    Grand succès au cinéma, ce film est disponible en DVD ! Pour (re)découvrir le parcours, la pensée de Pierre Rabhi et les initiatives principales qu’il a soutenues. Une véritable immersion dans la vision du fondateur de Colibris.
    Un cadeau inspirant !

    Prix : 19€

    Pour acheter le film : ICI

     

     
  • Bernard Jean 7 h 29 mi le 27 March 2014 Permalien | Réponse
    Tags : , ,   

    Eco-Dome, Building a Small Home 


    Voir notre dossier complet, sur les constructions en Terre :

    https://oser.wordpress.com/tag/ecodome/

     
    • GIROUSSENS 13 h 43 mi le 10 mars 2016 Permalien | Réponse

      Bonjour
      Je souhaiterai construire un Eco-Dome et je suis très intéressé par des conseil.
      Est’ il possible de converser à ce sujet.
      Cordialement

      • Neil 17 h 14 mi le 16 avril 2017 Permalien | Réponse

        Bonjour/bonsoir, avez vous finalement eu des informations ?
        Cordialement

    • Ratib 17 h 22 mi le 6 Mai 2017 Permalien | Réponse

      Bonsoir,

      J’ai eu la chance de visiter le site de Khalid en CA il y a 10 ans de cela. Le concept m’a interesse. Aujourd’hui, je songe a construire en France mon eco dome comme residance principale. Mais il semblerait que seul le permis de construire est le vrai obstacle. Qu’en est il pour vous ? Des solutions, temoignages ?

      Merci

  • Bernard Jean 1 h 23 mi le 8 February 2012 Permalien | Réponse
    Tags : aliments, expo   

    Expo manger santé et vivre vert 


    Image

     
  • Bernard Jean 22 h 18 mi le 14 November 2011 Permalien | Réponse
    Tags : élections, candidature,   

    Campagne « Tous Candidats » en France en 2012 


    Colibris lance une vaste campagne citoyenne en parallèle des élections présidentielles : « Tous candidats en 2012 ».

    Au-delà de toutes considérations politiques, économiques, partisanes, c’est aujourd’hui à la conscience de chacun d’entre nous que nous faisons appel, pour construire une société plus écologique et plus humaine.

    Combien sommes-nous aujourd’hui à inventer, à construire, une société plus écologique et plus humaine ? Comment mettre en valeur les trésors créatifs que la société civile élabore tous les jours ? Comment agir ensemble ?

    Alimentation, énergie, habitat et urbanisme, économie, éducation… chaque jour, par chacun de nos actes, nous participons à transformer le monde. La campagne « Tous candidats » permettra à chacun, au-delà de toutes considérations politiques, économiques et partisanes, de se déclarer candidat à l’action et de poser les fondements d’une société nouvelle.

    Vous aussi, vous voulez être candidat ? Déclarez-vous sur : touscandidats2012.fr

     
  • Bernard Jean 12 h 40 mi le 17 October 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , ragent   

    Survivre à l’effondrement économique 


    A propos du livre

    Les problèmes auxquels le monde va devoir faire face dans les dix prochaines années sont considérables : surpopulation, pénurie de pétrole et de matières premières, dérèglements climatiques, baisse de la production de nourriture, tarissement de l’eau potable, mondialisation débridée, dettes colossales, immigration massive, violences urbaines, révoltes, révolutions, guerres

    La convergence de tous ces problèmes entraînera  un effondrement économique massif et global qui ne laissera personne, riche ou pauvre, indemne. Comment se préparer ? Comment survivre à ces prochaines années de grands changements qui seront à la fois soudains, rapides et violents ?

    Êtes-vous prêts ?

    Origine de l’information >>> ICI

    Après quelques jours de vacances « forcées », nous revenons avec un entretien exclusif – celui de l’économiste suisse Piero San Giorgio. Auteur d’un livre indispensable, «Survivre à l’effondrement économique», ce spécialiste des marchés émergents d’Europe de l’Est, du Moyen-Orient et d’Afrique dans l’industrie high-tech nous donne sa vision de l’état du monde, et elle n’est pas optimiste : faillites de banques européennes, anéantissement de la classe moyenne, réduction des populations et guerres civiles en devenir.

    Mecanopolis

     
  • Bernard Jean 13 h 54 mi le 6 October 2011 Permalien | Réponse
    Tags : , , Pronovost   

    Paysans et Mangeurs au cœur de notre agriculture 


    Conférencier : Roméo Bouchard, coalition SOS Pronovost et ex-président de l’Union paysanne

    Malgré l’échec appréhendé de la réforme Pronovost et l’emprise croissante à prévoir de l’industrie agroalimentaire, est-il encore possible de nous réapproprier nos terres et notre nourriture par un plan de souveraineté alimentaire dans chaque territoire, y compris les territoires urbains? Nous sommes en train de céder nos terres et notre agriculture à des consortiums, dont les dirigeants sont à l’étranger le plus souvent, qui les exploiteront de plus en plus aux fins de leurs projets commerciaux mondiaux. D’ailleurs, le recul du gouvernement sur la réforme Pronovost ne fait que laisser le champ libre à ces intégrateurs qui avalent nos fermes locales et indépendantes les une après les autres. Monsieur Bouchard nous présentera un modèle de réappropriation de nos terres agricoles par les communautés locales et régionales et du citoyen-mangeur, qui occupe un rôle prépondérant par rapport à celui de l’agrobusiness préconisé dans le Livre vert publié cet été.

    Quand : Jeudi 13 octobre à 19h15
    Lieu : 870, av. Salaberry, salle Michel Jurdant (322) Québec- Canada
    Contribution volontaire de 2$ à 5$
    Les AmiEs de la Terre de Québec
    Origine de l’information >>> ICI

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    SOS-Pronovost

    Une nouvelle coalition d’agriculteurs et de citoyens prend la défense du Rapport Pronovost

    SOS-Pronovost

    Coalition pour la mise en œuvre du rapport Pronovost sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois.

    Une coalition réunissant plusieurs groupes importants d’agriculteurs, de consommateurs, de citoyens et d’écologistes, donc à la fois les volets agriculture, alimentation, environnement et santé, pour défendre le Rapport Pronovost et exiger du Gouvernement sa mise en œuvre sans délai. vous pouvez vous joindre à cette Coalition* qui  entend  veiller et intervenir jusqu’à ce que le virage agricole préconisé par le Rapport Pronovost soit mis en œuvre. Vous pourrez suivre les démarches de la Coalition et consulter ses documents sur ce site. Lire la suite …

    Rapport Pronovost – Vers la ferme nouveau genre

    « Répondre à l’appel des consommateurs québécois en faveur de produits différenciés à haute qualité nutritive »

    Vente de produits sur une ferme biologique. Le rapport Pronovost déplore le fait que «les producteurs biologiques ont dû expérimenter eux-mêmes, et à leurs frais, l’efficacité de certaines méthodes de production ou de commercialisation».

    Photo : Jacques Nadeau
    Vente de produits sur une ferme biologique. Le rapport Pronovost déplore le fait que «les producteurs biologiques ont dû expérimenter eux-mêmes, et à leurs frais, l’efficacité de certaines méthodes de production ou de commercialisation».
    Les propositions formulées dans le rapport de la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois ont réjoui les partisans d’un virage vers une industrie à visage plus humain. Le rapport Pronovost reconnaît en effet «le besoin de diversifier la production, de miser sur la valeur ajoutée, de développer les produits de niche et du terroir de même que la production biologique». Bref, il pourrait bien ouvrir la porte aux idées qu’ils préconisent depuis des années. À condition que les élus emboîtent le pas.«Le rapport Pronovost est une révolution complète, affirme d’entrée de jeu le porte-parole de l’Union paysanne, Benoît Girouard. On y vise vraiment une nouvelle forme d’agriculture au Québec, en vertu de laquelle on valoriserait les fermes familiales et l’agriculture de proximité, mais aussi les produits biologiques et le terroir. On propose d’ailleurs des mesures concrètes pour y arriver. C’est du jamais vu.»Certaines recommandations contenues dans le document, intitulé «Agriculture et agroalimentaire: assurer et bâtir l’avenir», marquent en effet un changement de cap certain dans la façon d’envisager la production de ce qui se retrouve dans nos assiettes: «Sans négliger pour autant les productions qui constituent l’assise principale du secteur, beaucoup d’intervenants ont fortement suggéré de miser sur des produits diversifiés et de développer, de manière complémentaire, une agriculture dite de proximité.» Des préoccupations largement reprises tout au long des 272 pages du rapport rendu public en février.Cette nécessaire diversification agroalimentaire est saluée par l’Union paysanne, qui presse le gouvernement d’aller dans cette direction depuis déjà quelques années. «C’est impossible, souligne M. Girouard, de lutter contre les agricultures des pays émergents dans la production de masse, comme le poulet ou les oeufs par exemple. On peut, au contraire, diversifier notre agriculture, la spécifier. On se mettrait à l’abri des règles commerciales mondiales, on permettrait un développement régional et on stimulerait les produits de niche, ce qui permettrait à notre agriculture de survivre.»Autre piste intéressante envisagée par les auteurs du rapport, la question du développement de produits «à valeur ajoutée» est chère à l’organisme Solidarité rurale du Québec. Son président, Jacques Proulx, reprend d’ailleurs à son compte l’exemple donné par M. Pronovost: le sirop d’érable. Le Québec, qui domine haut la main les exportations du précieux liquide sucré dans le monde, gagnerait selon lui à en faire un produit doté d’une certaine image de marque, à l’instar de ce qui se fait pour l’huile d’olive dans d’autres pays.Financement essentiel

    La question du financement est évidemment le nerf de la guerre. En ce sens, l’État a un rôle essentiel à jouer pour stimuler cette créativité agroalimentaire. «Il importe de soutenir, de manière plus tangible que nous ne l’avons fait jusqu’ici, les fermes différentes qui ont décidé de répondre à l’appel des consommateurs québécois en faveur de produits différenciés à haute qualité nutritive, de mettre en valeur les terroirs, de pousser les spécialités de niche, d’accroître la production biologique, d’étendre les appellations contrôlées, etc.», expliquent les auteurs du rapport.

    Le document, fruit d’une longue réflexion alimentée par plus de 700 mémoires, une tournée des régions et diverses autres consultations, souligne d’ailleurs les retombées positives pour des régions qui en ont bien besoin. «L’accompagnement de cette agriculture dite émergente est requis au nom de l’innovation dont elle fait preuve, de sa contribution à la diversification de la production agricole et du potentiel qu’elle présente pour la revitalisation de plusieurs collectivités rurales.»

    Or, jusqu’à maintenant, constate-t-on, «le soutien aux entreprises agricoles de petite taille est largement déficient et les entrepreneurs qui veulent démarrer une telle entreprise éprouvent de grandes difficultés à la développer». Autre chose? «Les productions en émergence, celles qui peuvent contribuer à la diversification de la production agricole, sont peu soutenues par la recherche, le transfert technologique, les services-conseils, la formation et l’aide financière.»

    Le diagnostic est on ne peut plus clair et est accompagné de propositions pour revoir en profondeur le système d’aide financière aux agriculteurs, ce qui ouvrirait la porte aux petits producteurs et à l’agriculture biologique. «Une très bonne idée», affirme Benoît Girouard. Il explique qu’actuellement, «le gouvernement accorde plus de 300 millions de dollars par année aux grands producteurs de porc, de maïs, de vaches et de veaux, contre un maigre million à ceux qui se consacrent au bio. C’est un scandale».

    Le porte-parole de l’Union paysanne salue les recommandations du rapport Pronovost sur l’aide financière, estimant que de telles réformes sont essentielles. Présentement, laisse-t-il tomber, «les 1000 fermes qui font du biologique se retrouvent le plus souvent avec zéro dollar de subvention». Le rapport Pronovost relève lui aussi cette lacune: «Les producteurs biologiques, par exemple, ont dû expérimenter eux-mêmes, et à leurs frais, l’efficacité de certaines méthodes de production ou de commercialisation.»

    Résultat? Alors que la demande augmente, le nombre de fermes stagne dans la province. Or, indique M. Proulx, la demande pour des produits plus fins et de meilleure qualité ne peut qu’augmenter, et ce, au Québec comme ailleurs dans le monde.

    Retour à la terre

    Conséquence surprenante de l’arrivée massive des «baby-boomers» à l’âge de la retraite, M. Girouard croit que ceux-ci pourraient être nombreux à effectuer une sorte de retour à la terre en se lançant dans de petites productions biologiques, de produits du terroir, etc. Bref, si le gouvernement leur offre des conditions propices au démarrage de ce type d’entreprises, le porte-parole de l’Union paysanne prédit «un boom» rural très bénéfique pour le Québec.

    Afin de stimuler cet essor des campagnes, Jacques Proulx presse l’État d’assouplir la Loi sur la protection du territoire agricole, dans le sens où l’entend M. Pronovost dans son rapport: «Les règles du jeu actuelles rendent difficile l’aménagement d’un gîte du passant, d’une table champêtre, d’une école d’équitation ou d’un atelier de petite transformation alimentaire en territoire agricole, parce que ces activités ne sont pas spécifiquement agricoles.» Pourtant, à peine plus de 50 % du territoire agricole est utilisé à des fins de production agricole, et une bonne planification de l’utilisation du territoire pourrait facilement anticiper les problèmes de cohabitation que ces activités pourraient soulever, croit M. Proulx.

    Le territoire agricole pourrait par exemple servir d’assise à des activités à caractère touristique, à l’agroforesterie, à des commerces de produits du terroir, à des activités de transformation alimentaire, à la production de produits non alimentaires et d’énergie, et à plusieurs autres usages compatibles avec le maintien d’une agriculture dynamique. Cette approche devrait aussi permettre l’installation de fermes sur de petites superficies, dans la mesure où les projets envisagés sont viables.

    Reste que les changements contenus dans le rapport sont plus que majeurs, à l’image des défis qui attendent un secteur agroalimentaire bousculé, non seulement ici, mais à l’échelle planétaire. Mais il ne faut pas perdre de vue qu’il en va de ce que l’on mange jour après jour, mais aussi de la pérennité de l’environnement, qui seul peut soutenir la vie. Et dans ce domaine, le temps presse, selon ce qu’ont affirmé tous les intervenants interrogés par Le Devoir.

    Nature Québec, un regroupement d’organismes écologistes, a d’ailleurs vertement critiqué l’annonce récente faite par Laurent Lessard, le ministre de l’Agriculture, de la création de trois «chantiers» chargés de trouver des solutions aux problèmes mis en lumière dans le rapport Pronovost. «Dans sa trop courte réponse, le ministre n’aborde les questions environnementales et l’agriculture biologique que du bout des lèvres, et il continue de centrer son action autour de modèles industriels qui ne remplissent pas leurs promesses», a souligné Christian Simard, porte-parole du regroupement. Les craintes formulées par Nature Québec sont partagées par l’Union paysanne et Solidarité rurale du Québec.

    L’attaché de presse du ministre, Jack Roy, se veut toutefois rassurant. Selon lui, le rapport est, pour le ministre Lessard, une véritable source d’inspiration. Il souligne d’ailleurs que les nouvelles formes d’agriculture font partie des priorités du ministre. «Le temps du changement est venu», fait valoir M. Roy, mais ce changement devra s’opérer «étape par étape», d’autant plus qu’il met en cause plusieurs ministères. Origine du texte >>> ICI

     
  • Bernard Jean 13 h 28 mi le 30 September 2011 Permalien | Réponse
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    La décroissance : une alternative socioéconomique viable? 


    Dans notre monde contemporain, la croissance économique est un dogme intouchable à l’aune duquel on mesure l’état de l’économie : s’il y a croissance, elle est en santé, mais si elle diminue, on parle alors de crise économique. Or, depuis quelques années, des économistes et militants sociaux proposent que la vraie santé économique, sociale et écologique passerait d’abord par une décroissance économique. S’agit-il d’une orientation viable? À quoi ressemblerait une société qui ne serait pas fondée sur la croissance? Quelles sont les limites et les contradictions d’une telle approche?

    À Québec
    Lundi 3 octobre 2011, de 19 h à 21 h 30
    Centre culture et environnement Frédéric-Back
    870, avenue de Salaberry, salle 322-324

    avec:
    • Yves-Marie Abraham, sociologue, professeur aux HEC de Montréal;
    • François L’Italien, doctorant en sociologie à l’Université Laval et membre du Collectif d’analyse de la financiarisation du capitalisme avancé (CAFCA);
    • Louis Marion, philosophe et coauteur de Décroissance versus développement durable (Écosociété, 2011).

    Contribution suggérée : 5 $
    Renseignements: http://www.cjf.qc.ca/soirees_relations ou Agustì Nicolau: 514-387-2541, # 241 / anicolau@cjf.qc.ca

     
  • Bernard Jean 10 h 05 mi le 30 September 2011 Permalien | Réponse
    Tags : ,   

    Rendez-vous bio 


    30 SEPTEMBRE, 1 ET 2 OCTOBRE à l’université Laval

    La présente est pour vous inviter à participer au Rendez-Vous Bio qui se déroule en fin de semaine à l’Université Laval! Il s’agit d’une fin de semaine de conférences et d’ateliers, qui s’adresse avant tout aux étudiants intéressés par l’agriculture biologique, mais qui est également ouvert au grand public pour la journée du samedi! Tous les détails figurent sur notre site web.

    http://www.rendezvousbio.qc.ca

    Nous invitons les gens à s’inscrire d’avance pour nous aider à l’organisation. Les inscriptions se font via le site web, et les personnes qui s’inscrivent avant jeudi profitent d’un prix plus bas (voire gratuitement!). Le tout se déroule au Pavillon Paul Comtois, l’accueil se fait à l’entrée principale !

    Parlez-en à vos amis et au plaisir de vous y voir !

    Toute l’équipe du Rendez-Vous Bio 2011

    Le Rendez-Vous Bio est une activité qui se tient à chaque année depuis près de 10 ans. Initiés à l’origine par des étudiants d’agronomie de l’Université Laval et du Cégep de Victoriaville, l’événement tourne depuis d’une institution d’enseignement agricole à une autre (Cégeps, ITA, Université McGill…). L’événement est d’abord et avant tout le rassemblement annuel du Réseau québécois des étudiants en agriculture biologique (RÉAB), mais c’est également le moment d’échanger et d’en apprendre plus sur les nouveautés dans le monde de l’agriculture durable. Se déroulant sur toute une fin de semaine, le Rendez-Vous Bio est meublé de conférences, d’ateliers, de moments d’échanges et d’activités artistiques de toutes sortes. Cette année, l’équipe de VIA Agro-écologie vous invite à la Faculté des Sciences de l’Agriculture et de l’Alimentation de l’Université Laval pour le Rendez-vous bio 2011.

     
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